Pour une question complètement incongrue sur les chambres à gaz, qui n’avait rien à voir avec le sujet très politique de l’invitation d’Étienne Chouard sur la chaîne du Média de Denis Robert et Mathias Enthoven (l’homme de paille de gauche et son commissaire politique sioniste), le tout il y a un an (le 11 juin 2019), le concepteur du RIC se retrouve devant l’officier de police judiciaire pour « contestation de crime contre l’humanité ».

Lire ici le message d’information sur la convocation de Chouard devant l’OPJ de Paris ce 3 juillet 2020.

Voici l’échange, désormais célèbre, de la trahison de Denis Robert qui était pourtant un bon journaliste. Ce verbatim est tiré du site des Inrocks, la propriété du banquier Pigasse (qui perd beaucoup d’argent avec pour peu d’influence). Nous avons changé néanmoins Chaourd en Chouard, ce qui montre le sérieux informationnel de ce média gaucho-bancaire :

Le Traître   : « As-tu un doute, toi, personnel, sur l’existence des chambres à gaz  ? »

La Victime : « Mais qu’est-ce que c’est que cette question-là  ? (Rigole) C’est pas mon sujet, j’y connais rien moi  ! »

Le Traître : « Tu ne peux pas répondre que tu n’y connais rien  ! »

La Victime : « Bien sûr que si  ! Je vais te dire  : “Oui, je n’ai aucun doute. Juste, j’y connais rien”. Je vais te dire ça, parce que sinon je suis un criminel de la pensée  ? Il y a un truc déconnant là. On demande aux gens d’avoir une certitude sur un sujet qu’ils ne connaissent pas. »

Le Traître   : « À ton niveau de popularité, avec ce que tu fais, les procès en sorcellerie qu’on te fait, c’est quand même dingue que tu dises que tu ne sais pas. [...] Le confusionnisme, c’est ce qu’on te reproche. À un moment donné, il faut que tu sois d’une grande intransigeante et d’une grande clarté. »

La Victime   : « Que je dise quoi  ? Les chambres à gaz ont existé de façon tranchée, non ambiguë  ? Je peux le dire si vous voulez, mais rendez-vous compte du truc. Je n’ai rien lu là-dessus. »

Le Commissaire   : « Vous parliez du travail des historiens. Pour les chambres à gaz, c’est incontestable qu’il y a eu un travail historique de fait. J’ai vu Nuit et Brouillard au lycée. J’ai étudié l’histoire un tout petit peu. Je ne suis pas un expert de la Shoah. [...] Je n’ai pas besoin d’avoir lu des ouvrages scientifiques pour vous dire que la Terre est ronde. On est d’accord  ? »

La Victime  : « Oui. »

Le Commissaire    : « Eh ben voilà, j’ai pas besoin d’avoir lu cinquante ouvrages scientifiques pour affirmer que les chambres à gaz existent. »

On appréciera l’attaque inconsciente du Traître avec son « à ton niveau de popularité, avec ce que tu fais, les procès en sorcellerie qu’on te fait » ! Car en le disant il lance le grand procès en sorcellerie antisémite de Chouard !

Un an après ce piège, Chouard se retrouve coincé, car il n’y a plus de place entre les deux chaises. Du moins il n’y en a pas beaucoup : soit on est antisioniste, soit on est sioniste. Le Système et ses agents ne nous laissent pas trop le choah. Il en faut peu aujourd’hui pour basculer dans la prison sioniste, celle qui interdit de parler, d’être entendu, et parfois de survivre économiquement. Le totalitarisme avance à grands pas, la liberté d’expression se terre dans des recoins forcément sombres, à l’abri des caméras croisées de miradors sionistes dans ce camp qu’est devenu le champ médiatico-politique, dans les angles morts, et cela suffit à la qualifier de sombre.

Pauvre Chouard, qui n’a rien dit de grave, qui n’a pas eu les mots en direct pour repousser cette attaque sioniste sous la ceinture, le juge-arbitre étant du côté de l’adversaire. Il est clair pour nous que la question du tandem du Traître et du Commissaire consistait à faire rendre gorge à Chouard de son soralisme, ou de ce qu’il en restait. Et comme dans tout procès public organisé par le maccarthysme sioniste, tous les insoumis doivent abjurer : « je ne connais pas Soral, je n’ai jamais lu Soral, Soral est mauvais ! » À ce prix, après une petite suée, ils pourront reprendre leurs occupations, mais toujours sous surveillance, avec un programme de nettoyage mental adapté, comme celui qu’avait subi Henry de Lesquen. Un grand, très grand moment de dérision !

Pour info, la LICRA et l’UEJF (le CRIF Junior) se félicitent d’avoir eu la peau de Lesquen sur Twitter. Mais les commentaires ne sont pas de leur côté, c’est le moins qu’on puisse dire !

C’est le prix du totalitarisme sioniste répressif. On ne peut pas tout avoir : la répression de la liberté d’expression et l’amour des Français ! Nous on préfère l’amour, voyez-vous.