Votre question est intéressante.
Dans n’importe quel pays au monde elle aurait toute sa place.
Mais ici, en France, comme vous le savez, en ce qui concerne la réponse on n’a légalement pas le choix !
Hé oui, messieurs, votre question en apparence ouverte est non seulement sans objet mais la poser tombe également sous le coup de la loi.
Elle est sans objet parce que des politiciens soumis à la mafia communautaire ont fait adopter une loi mémorielle, dite la loi Gayssot, qui impose à tout citoyen la réponse à accorder à cette question. Pour entendre en réponse ce qu’autorise la loi Gayssot, cette question est donc stupide : relisez la loi Gayssot et cessez de nous faire perdre du temps !
La poser n’a donc a priori pas de sens, sauf dans un cas très précis : quand celui à l’origine de la question espère pousser à la faute celui qui répond, soit par ignorance de la loi soit par conviction, au risque de ne pas respecter la loi en vigueur.
En France, poser cette question est donc un délit. Car pousser un individu à ne pas respecter la loi cela s’appelle de la provocation à la rébellion. Le code pénale, article 433-10, puni cela par 2 mois de prison et 7500 euros d’amende.
Je constate, messieurs, que vous êtes capables de ne pas respecter la loi pour espérer m’amener à faire pareil et ainsi fabriquer un dossier sur moi par une archive qui pourra me suivre éternellement, n’est-ce-pas ?
Je pense ne pas vous surprendre si, en une compagnie aussi souriante que mal intentionnée, je décide que l’interview s’arrête là.
Voilà ce qu’aurait été ma réponse.
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