La guerre la plus meurtrière de l’histoire de France prend fin le 11 novembre 1918. Mais l’Europe est vaincue. Supplantée économiquement par les États-Unis, divisée entre des vaincus et des faux vainqueurs, ébranlée dans
Comme la fête juive de Hanouka ressemble à Noël, celle de Pourim ressemble à Mardi gras. Les deux fêtes se tiennent au cœur de l’hiver, au moment où les jours rallongent, et sont l’occasion de manifestations bruyantes et
Résumé :
« Dans la frénésie qui a saisi l’esprit humain et qui a conduit à l’éviction du beau et du grand par le fantastique et l’extravagant, la musique, pas plus que les autres arts, n’a été épargnée. » Lettre de Gaspare
Le « journaliste » Samuel Laurent est responsable de la rubrique « Les Décodeurs » du Monde, mais on peut constater que ses opérations de désintox ne s’y limitent pas pour autant. Il existe un autre front plus réactif (pour
Alors que le champion de l’oligarchie financière aux élections présidentielles françaises 2017 entame un « Mémorial (entre deux) Tour », pensant ainsi pouvoir se passer d’arguments face à la candidate populaire, cette
Si l’histoire moderne n’a pas réellement produit de système politique au sein duquel le peuple exerce directement le pouvoir, les périodes révolutionnaires ont toutes été fruit de l’action d’une petite bourgeoisie
Comme je l’ai exposé dans mon second volume de chroniques consacrées à la guerre en Syrie (Quand médias et politiques instrumentalisent les massacres), paru en septembre 2016 aux éditions Sigest, la totalité des
Emmanuel Macron, candidat déclaré aux prochaines élections présidentielles et dernièrement gratifié de plus de 20 % des intentions de vote au premier tour en dépit d’un programme souvent qualifié au mieux d’imprécis ou au
Dans son avant-propos, Michéa nous prévient que le livre est composé par agencement arborescent de textes et de remarques (références, approfondissements, exemples, précisions...). Cela semble bizarrement organisé mais
Les mois de turbulences qui s’annoncent – et dont l’apogée sera probablement l’entre-deux-tours de la présidentielle – doivent nous inviter à méditer quelques réalités sociales et géographiques souvent éludées. La misère des
À la faveur de la crise, de l’effondrement du bloc soviétique et particulièrement depuis le 11 septembre 2001, la question raciale vient paradoxalement concurrencer la question sociale comme force motrice de l’Histoire.
Parler du terrorisme aujourd’hui, c’est souvent risquer la mort sociale. Douter, défier, soupçonner, questionner peut vous valoir l’injure des injures : « complotiste ».
Plus que jamais, nous devons retrouver notre Histoire, qui nous a été confisquée. L’histoire de nos ancêtres, issus de tous les territoires, sacrifiés sur l’autel de l’argent.
L’émergence d’un capitalisme dit de la terre brûlée, extractif, où le capital de l’entreprise, via l’emprunt et des montages financiers complexes, est vidé de sa substance.
La liberté d’enseigner bien comprise par le prolétariat
La dénonciation de l’instauration de la laïcité en France, suite à la loi de séparation de l’Église et de l’État de 1905, s’incarnait dans des critiques bien antérieures à celles qui secouent la société française aujourd’hui.
« Les perquisitions, vous les multipliez ; mais il y a un côté où vous ne cherchez pas : c’est le côté d’où viennent les fonds, d’où vient peut-être l’inspiration première. »
Le débat politico-médiatique autour de l’œuvre ne montre réellement qu’une chose : le système éducatif ne nous apprend pas à penser intelligemment… donc à lire intelligemment.
Le parti socialiste et ceux qui, à sa gauche, prétendent le combattre, apparaissent comme une formidable machine de guerre contre les travailleurs français.