Parler du terrorisme aujourd’hui, c’est souvent risquer la mort sociale. Douter, défier, soupçonner, questionner peut vous valoir l’injure des injures : « complotiste ».
Plus que jamais, nous devons retrouver notre Histoire, qui nous a été confisquée. L’histoire de nos ancêtres, issus de tous les territoires, sacrifiés sur l’autel de l’argent.
L’émergence d’un capitalisme dit de la terre brûlée, extractif, où le capital de l’entreprise, via l’emprunt et des montages financiers complexes, est vidé de sa substance.
« Les perquisitions, vous les multipliez ; mais il y a un côté où vous ne cherchez pas : c’est le côté d’où viennent les fonds, d’où vient peut-être l’inspiration première. »
Le débat politico-médiatique autour de l’œuvre ne montre réellement qu’une chose : le système éducatif ne nous apprend pas à penser intelligemment… donc à lire intelligemment.
Le parti socialiste et ceux qui, à sa gauche, prétendent le combattre, apparaissent comme une formidable machine de guerre contre les travailleurs français.
Le christianisme institutionnel s’opposa avec férocité à ce vieux christianisme campagnard, indocile, paradoxal et insubordonné qui constitue notre histoire.
La Chine est devenue ces dernières années le deuxième consommateur mondial de pétrole. Rien ne l’empêche demain de payer sa facture dans sa propre monnaie.
Les attaques contre cet édifice social de toute beauté que constitue le mariage monogamique exogamique hétérosexuel sont bien une réaction antiprogressiste.
Du haut de son statut tout-puissant de consommateur, le client-roi ignore qu’une guerre a été déclenchée entre les travailleurs d’une même classe sociale.
À l’heure des tensions raciales, les éloquents exemples historiques d’instrumentalisation des questions communautaires méritent, plus que jamais, d’être remémorés.
Israël a essentiellement utilisé les États-Unis comme un intermédiaire au Moyen-Orient, manipulant le Léviathan militaire américain pour détruire ses ennemis.
Le 31 mars 2014, alors que le PS vient de subir une sévère défaite électorale lors des municipales, Manuel Valls succède à Jean-Marc Ayrault au poste de Premier ministre.