Lobby juif US : Candace dit tout haut ce que tout le monde pense tout bas 34
Marianne admet Alain Soral dans les 100 personnalités qui comptent 41
Une semaine sur Twitter S02E46. La récolte hebdomadaire d’Arthur Sapaudia 4
La célèbre cuisinière Maïté est morte, l’anguille enfin vengée 15
Manon Aubry contre « les tontons relous de droite sexistes racistes » à Noël 63
Allemagne : l’extrême droite chiite tue. C’est bon ou on la refait ? 83
Vladimir Poutine accuse les « Juifs ethniques » de fracturer l’Église orthodoxe russe 43
L'actualité en bref
Octobre 2010Source : france-info.com
Elles font partie des rares grandes compagnies pétrolières internationales encore présentes en Iran : les sociétés Shell, Total, Statoil et Eni se sont engagées à ne plus investir dans le pays, qui fait l’objet de sanctions internationales en raison de son programme nucléaire.
Ce sont les Etats-Unis qui ont annoncé la nouvelle : "J’ai le plaisir d’annoncer que nous avons reçu des engagements de quatre entreprises énergétiques internationales qui vont mettre fin à leurs investissements et se refuser à toute nouvelle activité dans le secteur de l’énergie en Iran" a déclaré le secrétaire d’Etat adjoint James Steinberg.
Le groupe français Total, le britannique Shell, le norvégien Statoil et l’italien Eni vont donc progressivement se retirer d’Iran. Une décision importante, selon le gouvernement américain : "L’Iran utilise les revenus de son secteur énergétique pour financer son programme nucléaire" assure le n°2 du département d’Etat. Quatrième producteur mondial de pétrole brut, l’Iran manque de raffineries sur son sol national et dépend donc fortement des importations pour son approvisionnement en essence et produits raffinés.
Total confirme qu’il "se conforme à l’ensemble des lois applicables tant au niveau international et européen qu’au plan national ce qui, dans le cadre des sanctions récemment imposées par l’Union européenne, ne peut que limiter a minima nos activités dans le pays dans lequel nous étions fort peu présents". James Steinberg précise en revanche que le département d’Etat lançait des "enquêtes" visant d’autres compagnies n’ayant pas pris d’engagement semblable.