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L'actualité en bref
Septembre 2010Source : radio-canada.ca
Au Venezuela, quelque 17,5 millions d’électeurs se rendent aux urnes aujourd’hui pour choisir leurs députés.
Contrairement aux dernières élections, l’opposition a décidé de ne pas boycotter les urnes afin d’enlever au président Hugo Chavez sa majorité qualifiée des deux tiers des sièges du parlement. En 2005, le boycottage de l’opposition de droite avait laissé la voie libre aux partisans d’Hugo Chavez, leur permettant ainsi d’accélérer plusieurs réformes majeures, comme la nationalisation d’entreprises vénézuéliennes et étrangères dans des secteurs clefs de l’économie, comme les mines ou les hydrocarbures.
Chavez aimerait bien que la gauche conserve les deux tiers des sièges afin de poursuivre cette révolution socialiste axée sur des programmes sociaux et un contrôle accru de l’État sur l’économie. Mais douze ans après sa première élection, en décembre 1998, l’avance du parti socialiste s’est réduite sur l’opposition, regroupée au sein d’un Conseil de l’Unité démocratique.
Les sondages prévoient tout de même que son parti remportera une majorité simple des sièges, malgré la très forte hausse de la criminalité et une inflation record de 30 % sur un an. Le dirigeant vénézuélien qui se réclame de Simon Bolivar, le père de l’indépendance, a été très présent durant la campagne. Son image était sur la plupart des affiches des candidats du Parti socialiste, et il a fait de nombreux discours.
Cette élection est aussi perçue comme un test de popularité pour Chavez en vue des présidentielles de 2012.