True Detective, le passage extrait m’avait marqué, aussi, et plus généralement, le personnage interprété par Matthew McConaughey, qui "existe" d’ailleurs pour une part en contraste avec celui de Woody Harrelson. Il a aussi Vernon J. Geberth sur sa table de nuit.
Les scènes de dialogue dans les films : chez Tarantino, c’est insupportable, le bon mot à tout prix, ça tourne à vide, noyé dans le nombrilisme de personnages finalement très creux, sous le vernis glamour.
True Detective, c’est dans le Sud, et plus généralement, les mecs parlent peu.
Et puis, ils le disent lentement, avec des silences, et y’a aussi un habillage de formules toutes faites, comme un cadre autour d’un tableau, ou un ambiançage, en adéquation rythmique forcément ralentie.
Pourquoi aller vite nulle part.
Donc, ’faut bien écouter, surtout dans ce qui n’est pas formulé avec des mots, l’étendue des silences.
Matthew McConaughey, dans le Sud, on le retrouve dans Killer Joe, un long métrage de Friedkin où s’est posé un problème dans le choix des acteurs.
À l’audition de casting féminin, les aspirantes hésitaient quant à "la gestion de certaines scènes". Heureusement, le Bon Dieu a fait Gina Gershon et Juno Temple.
Un putain d’exploit, ce film, au-delà du crédible, une réflexion sociale, humaine, spirituelle.

Voyage au bout de la nuit : le format n’est pas le problème.
Oui, les épisodes, les "saisons", ça permet une certaine latitude.
Mais les contraintes, c’est encore mieux, parce que ça force à réfléchir, à trouver des solutions, à être au coeur de la chair du sujet, pour le faire vibrer.
Le Voyage, y’a 2 problèmes : le français, et l’époque historique.
Qu’on peut résumer en 1 seul : le génie de Céline.
En comprenant et en ayant digéré la substance universelle du Voyage, son "adaptation" nécessite un autre génie, à son tour, derrière la caméra.
En France actuelle, on a surtout des tâcherons, qui dans le meilleur des cas, arrivent laborieusement à se hisser à un niveau scolaire médiocre, mais vendu avec toute l’artillerie déployée de la propagande la plus crasse.

Seul contre tous, de Gaspar Noé, est une sorte de Voyage au bout de la nuit.
Et si ça réveille les hémorroïdes de certains, c’est normal.
Ce qui l’est moins, c’est qu’elles soient localisées au niveau du cerveau.
On va faire avec. On prend tout. Dieu fera le tri.

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Quelqu’un connaîtrait-il le nom de la musique qui passe à 1h57,50 ?

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A 1H32min.Je vous conseille de voir le documentaire sur youtube."La bataille de Tchernobyl" Ce documentaire est bien fait.De la compréhension, de la bravoure, et les mensonges de cette catastrophe.

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Merci Soral ! il nous faut en ces temps « modernes » le grand guide qu’il est !

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20:28 Tiens, on dirait qu’il y a eu un montage audio pour couper des noms !
D’autres gens dans la confidence quant à Yann Moix, donc ? ;)

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28:00 Attention à ne pas tomber dans l’anti-jeunisme primaire non plus, tout de même : il y a des jeunes très brillants et pertinents, notamment dans la réaction !
Ce sont surtout les jeunes gauchistes qui sont généralement des puits d’arrogance et d’inculture.

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j’ai bien aime la dernière partie sur le sport la culture la France la vrai France

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la poste prod, fantastique !

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Bravo et Merci tonton Soral,
Très fière de vous avoir en France.

Quel travail et quelle générosité que de nous faire partager vos recherches.
Vous payez de votre personne et je pense souvent à vous afin que vous vivez encore très longtemps (on a toujours peur de perdre les gens qui nous apportent beaucoup).

Restez comme vous êtes !

NB : J’ai encore parlé de vous, à mon assureur qui essayait d’être compatissante et râlait sur la société (elle ne vous connaissait pas) + essayait de reblanchir votre nom tout en me faisant mal voir auprès d’une voisine (qui elle pense vous connaitre) —> J’essaie de donner de ma personne à mon niveau pour essayer de répandre la bonne parole dans la paix et la bienveillance...
Encore merci.

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Juste sur le Tour de France, c’est vrai que c’est très curieux cet attrait constant. Malgré le dégout et l’exaspération (dopage, commentaires de F2) impossible de ne pas le suivre. Espérant voir un coureur faire preuve de panache en vain, chacun se satisfaisant de sa place dans le top 10.
Sinon pour le contre exemple, je ne peux que citer Nacer Bouhanni qui n’a pas laissé sa part au chien en terme de souffrance et gamelle à partir du championnat de France notamment.
Après je pense que la banlieue est surement pas l’endroit idéal pour faire des sorties à vélo quand on est jeune. (routes, sécurités, dépaysement, vol..)

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