tant qu’ on attend pas des femmes autre chose que de la superficialité , on peut se satisfaire de ce qu’ elles ont a offrir et même être heureux , voire comblée par leurs prouesses ordinaires..
être soi-même superficiel , peu exigeant , pratique , est une disposition excellente pour profiter et plaire à la diversité féminine , qui sera d’ autant plus rassurée et confiante que son partenaire sera déchiffrable .

alors par contre , avoir des ambitions sentimentales , intellectuelles , ou qualitatives.. et là , commenceront les ennuis , les désillusions , et en général le début de la fin .
conclusion , si on est amoureux d’ une/des femme/s , mieux vaut être simple et probablement infidèle ; et sinon faire de sa peine capitale un métier d’ artistes.. comme écrivain , compositeur , sculpteur , paysan , jardinier , pêcheur de poissons : )

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De toute façon, à quoi bon se faire chier à draguer et à bander, elles sont 90% à se revendiquer clitoridiennes....

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La meilleure de toutes est celle qui résiste. Celle qui ne montre pas son désir... Eh oui ! :)

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J’ai l’âge du patron et c’est marrant de constater que j’en ai de plus en plus rien à foutre de la séduction , le naturel avant tout et qui m’aime me suive ... sinon libre de tout c’est pas mal aussi .
Comme à 20 ans finalement , je baisais et ensuite retour à mes passions , pas d’idéalisation et c’est quand les femmes sont devenues le point essentiel de ma vie , à force de publicité sur leur divinité supposée que les ennuis ont commencé .
Je suis un privilégié d’avoir eu du succès et une descendance , enfants et petits enfants mais c’est arrivé parce que je ne me tracassais pas autant qu’aujourd’hui , trop de déséquilibre actuellement alors autant penser à autre chose .

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Quelque part, Soral nous rappelle "Le jeu de l’Amour et du hasard" de Marivaux.

Dans les Bronzés font du ski, un film sur la drague, on relève cette scène :"on sait jamais, sur un malentendu, ça peut marcher !".

C’est tellement vrai.

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J’ai été kéblo toute ma vie, incapable d’aborder une fille qui me plaisait, du coup je me suis contenté de celles qui voulaient comme disait Timsit qui de par son étiquette sociale a dû en avoir bien plus que moi le bougre. Alors ce que dit Soral me fait mal aux tripes parce que sa vie on ne la recommence pas. Ses propos sont violents parce-qu’ils sont vrais, et la vérité ne fait jamais du bien. Le monde capitaliste est fait comme ça. Ceci dit beaucoup beaucoup de gars sont dans mon cas. Triste consolation. Poil au fion.

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« Y’a que le train qui sois pas passé dessus, manque de bol j’étais dedans... » constat amer de nombreux largués consolés à la veuve poignée, misère du pauvre hère à la Reiser...

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Essayer de se mettre à la place d’une femme c’est comme si une femme essayait de s’imaginer ce qu’est une érection. L’homme fonctionne sur la logique, la femme sur l’émotion.

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J’adore vos analyses sur les rapports homme/ femme. Bravo

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Le livre d’Osee, prophète

Dans la métaphore du couple Dieu/peuple d’Israël, l’homme représente Dieu (masculinisation du divin) et la femme qui représente Israël est sans cesse tentée par l’adultère (femme = péché).

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