il y a un truc que j’ai du mal à comprendre, tous ces cathos dit traditionnels qui crachent sur le Vatican, pourquoi se disent-ils encore catholiques alors qu’un vrai catholique doit suivre le dogme catholique tel que défini par le Vatican. vous ne voyez pas la contradiction ? les protestants à la limite ont été plus honnêtes dans leur démarche, ils ont quitté le catholicisme car l’Eglise (une institution humaine et donc faillible rappelons le) refusait de se réformer (lisez une histoire de la papauté, ça vaut l’ancien testament)

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L’apostasie de Vincent Reynouard n’a rien de raisonnée mais tout du descriptif formulé :
1- il a la foi
2 - il doute
3 - il va s’enquérir d’une réponse libératrice auprès des officiels catholiques et ne reçoit aucune réponse satisfaisante
4 - il abandonne le catholicisme en prétextant sa foi l’abandonner.

Pour ceux ayant la foi, il est bon et salutaire de s’interroger : d’où vient-elle ?
 d’une auto-suggestion ?
 d’un désir ardent de se visualiser l’avoir ?
 de mon éducation ?
 d’une réflexion logique et rationnelle ?
 aucun intérêt de savoir d’où elle vient car j’ai la foi du charbonnier !

Une donnée est certaine, via un lapsus révélateur, Vincent Reynouard évalue la foi tel un jeu : j’ai joué le jeu, dit-il, du catholique entrepreneur, du bon catho qui a joué le jeu... Vincent, Vincent, si tu vis ta foi comme un jeu, pour sûr, à la fin du jeu tu perçois comme un manque de foi, car fini le rôle à jouer.

Pas facile le distinguo entre celui qui s’imagine avoir la foi et celui en étant pourvu des pieds à la tête surtout si les deux sont des baratineurs de première.
La foi, m’est avis, c’est comme les chiffres du pib et de la finance, ont lui fait dire ce que l’on veut.
La foi, c’est un mot d’ordre de commercial, tu ne peux convaincre personne d’autre que toi d’avoir la foi, dans ce cas, ferme-là, ou alors perdure ta coercition intellectuelle d’étriqué.

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Il n’y a pas d’apostasie raisonnée. Ce qui me dérange dans le discours de Vincent (Je me permets de l’appeler par son prénom car j’ai milité à ses côtés dans la région de Caen au début des années 90 et, depuis, je l’ai toujours suivi et soutenu, il y a des rencontres qui marquent...), c’est de rendre tout cela public. La foi est intime et ne regarde que nos petites personnes.
Comme dit plus haut, Vincent fait un travail d’historien remarquable, il faudrait qu’il se contente de cela comme l’a fait un célèbre professeur...
Petite déception supplémentaire, un peu déçu que ni Vincent, ni ER n’aient rendu hommage à Mgr Williamson (J’ai eu l’immense chance de le "rencontrer" plusieurs fois à l’occasion de messes ou de conférences), le plus grand évêque depuis Mgr Lefebvre (pensées aussi pour Mgr Faure et Mgr Vigano, très courageux).
Vincent l’avait défendu lors de son exclusion de la FSSPX avec un pamphlet et un DVD publiés à l’époque.
Et plus généralement, il me semble que c’est tout E&R, depuis quelques temps, qui est dans l’apostasie, ou dans la critique permanente du vrai catholicisme (Le président Soral, Guyénot, Timmerman...).
On m’a souvent dit "Arrête de lire les ouvrages de KK ou du Cercle Aristote", mais non j’ai ma libre pensée à moi et je continuerai, malgré tout, à soutenir ER, KK, le Cercle et Vincent, sans rien renier de ma foi.
Vive la France et vive le Christ-Roi !

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Le catholicisme ou plutôt les catholicismes, sont une manière de comprendre et vivre sa foi dans les paroles du Christ... !

Mais loin d’être la seule et à mes yeux, beaucoup trop entachése par les traditions humaines au détriment de la pensées de Jésus... !

Sortir du catholicisme ce n’est pas apostasier (abandonner la foi) c’est de suivre Le Seigneur par une autre voie

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Impossible pour Vincent de nourrir ces enfants quand on fait de la prison. Son sujet est deja connu

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Si Vincent Reynouard a apostasié, c’est justement à cause du naturalisme inhérent au national-socialisme, qui se voit dans son interprétation absurde des Écritures, qu’il lit justement dans un sens purement terrestre et matériel, alors même que la Bible a un caractère principalement spirituel.

Le meilleur exemple est l’interprétation de Vincent Reynouard sur le royaume du Christ, lorsqu’il dit que le Christ avait annoncé son royaume comme quelque-chose de prochain qui devait se produire dès les premiers temps suivant sa mort...

Le royaume du Christ, dans les Evangiles, c’est l’Eglise, qui a bien été établie après le Calvaire, mais ça, Reynouard ne semble pas le comprendre, parce qu’il a l’esprit obscurci par le matérialisme et le naturalisme de son idéologie nazie, qui est centrée sur la terre, sur des aspirations terrestres, et non sur Dieu et les vérités surnaturelles.

J’ajouterais que, comme l’a fait remarquer un internaute dans les commentaires ci-dessous, les miracles sont l’une des meilleures preuves de la vérité du catholicisme... Ni Bouddha, ni Mahomet, ni Martin Luther n’ont fait de miracles.

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Vinvcent Reynouard vient de se mettre à l’abri : le système maçonnique a maintenant plus intérêt à le laisser en vie. Il ne risque plus grand chose dorénavant. Le révisionnisme c’est secondaire.

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A mon humble avis, lorsque tu commences à croire que le Christ t’appartient et que tu as la prétention d’être plus proche de lui que les autres, tu t’en éloignes…

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L’église est clandestine
l’eglise visible , la Rome à convoiter le pouvoir temporel au nom du Christ.
elle finira par apostasier devant le troisième temple.

c’est tout.

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Question très pertinente que celle des fondements rationnels de la foi. Les ouvrages de Claude Tresmontant m’ont beaucoup éclairée sur la question. Ce métaphysicien et exégète a tenté de rapprocher la science (notamment l’astrophysique) et la métaphysique au moyen d’une méthode qui procède de l’analyse et non du dogme. Il a salutairement rappelé ce que l’Église professe depuis le premier Concile du Vatican, contre l’irrationalisme ambiant : « C’est la raison qui appelle la révélation, et c’est à la raison que la révélation s’adresse, c’est à la raison que Dieu parle, c’est à la raison qu’il demande la foi, et il ne la lui demande qu’après lui avoir fait voir que c’est lui qui parle. » (Cardinal Dechamps, 1870).

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