Egalité et Réconciliation
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Antifas : des flicaillons… même pas payés !

Pour que tout le monde sache où est le Mal, Canal+, soutenue par le CNC, produit un documentaire sur les violences de l’extrême droite, avec un scoop : les images de l’agression de Clément Méric. En fait de scoop, une caméra de surveillance qui montre des pieds. Cela n’empêche pas Thierry Vincent, l’enquêteur maison, vieux gaucho déguisé en clochard (enfin, on espère pour lui que c’est une couverture, histoire d’infiltrer l’extrême gauche ou de marquer sa désapprobation avec les jeunes patriotes bien habillés), de se livrer à un exercice de retournement de haut vol. Nous ne le blâmerons pas : il semble ne pas saisir qui tire les ficelles, puisqu’il fait lui-même partie des marionnettes. Avec de tels naïfs, la manipulation devient un jeu d’enfant. Bienvenue dans le monde des antifas, ces petits soldats inconscients des banques.

 

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Cool, les moins de 10 ans sont exemptés de propagande

 

Le présentateur de l’émission, Stéphane Haumant :

« Aujourd’hui le retour de l’extrême droite violente… Clément Méric… Ce militant d’extrême gauche a péri dans une rixe avec des skinheads en plein Paris… Mais au-delà de ce drame c’est toute la France qui est aujourd’hui le théâtre d’agressions à caractère politique et pour les policiers qui observent le phénomène, on n’avait pas vu une telle violence idéologique depuis les années 1970. »

Un documentaire très drôle, qui complète parfaitement celui de Christophe Nick sur la violence racaille qui n’existe pas. Car deux jours avant la première diffusion du doc de Canal, Infrarouge, le magazine de France 2, envoie son scoop à lui : non, il n’y a pas de lien entre immigration et violence. Ce qu’ont oublié ces petits bourgeois de gauche, c’est que ça, tout le monde le sait, même le FN et les identitaires honnêtes. C’est la misère qui est à l’origine de la violence, pas la couleur de peau – regardez la violence endémique américaine – et aujourd’hui, les pauvres, en France, c’est en bonne partie les immigrés. Certes, il y a les petits paysans, mais leur travail harassant et sous-payé absorbe leur violence potentielle ; ce sont les chômeurs qui ont le loisir de se révolter. La preuve : les immigrés qui bossent pour l’agriculture française l’été ne brûlent ni les champs ni les vergers.

On reformule donc la proposition : la violence visible vient principalement des immigrés car ce sont eux qui sont principalement touchés par la pauvreté et le désœuvrement. Il y a 150 ans, quand il n’y avait pas de rappeurs (euphémisme), la violence provenait du lumpenprolétariat des faubourgs pourris des grandes villes. Violence d’ouvriers Blancs, forcément. Elle a toujours existé, ce qui ne l’excuse pas, mais l’explique un peu.

 

 

N’oublions pas que c’est grâce à elle que l’homme a survécu à toutes les galères : climat brutal, prédateurs affamés… La violence, comme la chasse ou la pêche, est un reliquat du passé. Ce qui auparavant était nécessaire à la survie est devenu aujourd’hui un passe-temps, un hobby, disent les Américains, qui s’y connaissent. Il faut la voir ainsi dans nos contrées occidentales. Un revival sportif, qui maintient le mental et la musculature en mode veille. Au cas où l’humanité régresserait plus bas que le Moyen Âge… Alors forcément, ceux qui n’entretiennent pas leur violence ne comprennent pas. Ça fait désordre. Mais la violence n’est pas le désordre.

Christophe Nick :

« J’ai alors compilé des centaines de données, calculé les coefficients de corrélation entre plusieurs variables pour arriver à la conclusion claire et nette qu’il n’y avait pas de lien de causalité entre immigration et criminalité, ni entre chômage et criminalité ou entre jeunesse et criminalité. La délinquance résulte d’une somme de facteurs. […] Nous sommes allés trouver le journaliste John-Paul Lepers, qui ne croyait pas en notre hypothèse. Comme tout le monde, il partait avec son préjugé en tête. Et tant mieux, c’est ce qui fait que le film fonctionne. »

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Tintin en Palestine

 

LOL, John-Paul Lepers, le Tintin à mèche longue et pensée lente du Vrai Journal de Karl Zéro des années 2000, bardé des idéaux les plus éculés de l’antiracisme des années 90, ratatinés et par la gauche, et par le réel. Comme si Lepers pouvait avoir un préjugé identitaire sur la question. Lui qui se dirige (on sent une certaine crainte surmontée, quand même) avec de VRAIS Arabes, dans une VRAIE cité, à côté d’une VRAIE voiture (non-brûlée). Soudain… il ne se passe rien. Les Arabes ne jettent pas John-Paul aux pits enragés dans la cave du HLM. Vivement le prochain doc sur ces millions Français arabes qui ne partent pas faire le djihad en Syrie, ou sur ces milliers de juifs qui ne sont pas millionnaires ou escrocs à la taxe carbone.

Dernière tentative en date du PS – qui fait financer sa propagande débile par le service public – de revaloriser l’image des immigrés, parce que si les caisses sont vides, ses urnes aussi. Et qui dit urnes pleines, dit caisses pleines ! Après avoir ingurgité ce documentaire irréel, on n’a pas l’impression d’habiter la même planète. Les racailles sont sympas, et les patriotes plus dangereux qu’un ex-enfant soldat libérien sous crack atteint d’Ebola. Laissons-là Lepers et sa mèche révolutionnaire, fasciné comme tous les bourgeois par la fange. Après le mensonge sur la délinquance, qui du coup disparaît grâce à la démonstration gauchienne, on se demande même où elle est passée, on s’intéresse aux antifas de Canal, ces fiers porte-drapeau de la révolution.

Des antifas qui n’ont jamais semblé aussi près du pouvoir, non pas de la gauche socialiste, qu’ils exècrent, comme presque tout le monde, c’est même pour ça qu’on l’a mise là, mais de ceux qui donnent les vrais ordres. Pendant que Hollande et ses ministres se débattent avec la crise (que leurs maîtres ont provoquée), rôle ingrat de papier collant pour scotcher les mouches du mécontentement, les antifas, qui n’ont jamais eu de projet constructif, s’en prennent aux vrais révolutionnaires, qui leur ont piqué et la rue, et la révolution.

 

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Faut savoir !

 

Tragique : se battre pendant des années pour du vent – le Grand Soir – et lire sur un site vraiment dissident qu’on s’est fait berner par le Très Haut Cynisme, y a de quoi être en colère. Pour les éloigner de la dure vérité, on leur jette un projet d’aéroport à défoncer, une construction de barrage à ralentir, croquettes pour calmer la faim. L’éleveur malin de ces chiots malheureux entretient la rage en sous-nourrissant la meute.

Le propre des antifas – à part l’antifascisme il n’y a rien – c’est de ne pas avoir de programme, mais d’être un contre-programme de ce qu’ils appellent l’extrême droite, qui elle vise le pouvoir réel, et non les pantins que ce dernier agite pour faire diversion. La défense des valeurs (religion, patrie, travail, famille, discipline, respect), est la vraie résistance contre le projet de destruction des valeurs porté par la gauche libérale logique (de loges). Guerre idéologique fondamentale, et ultime. Dans ce combat, paradoxalement, les antifas sont du côté de la police, assujettie au ministère de l’Intérieur, propriété du lobby depuis 2004 et la prise de pouvoir de Nicolas Sarkozy. En plusieurs interventions, à son corps défendant, le documentaire va démontrer cette collusion.

 

 

Le militant de La Manif pour tous :

« La France appartient au peuple, et le gouvernement n’entend pas le peuple ! On est en dictature messieurs écoutez ça ! On vient récupérer notre pays ! »

La voix off :

« Et vous allez vous révolter, vous allez faire la révolution ? »

Cet intervieweur méprisant, à qui on a volé sa révolution, c’est Thierry Vincent. Ce journaliste qui n’a pas l’air d’avoir inventé l’eau tiède, a de manière surprenante accès à des informations policières de premier ordre.

Thierry, en voix off :

« Nous avons pu consulter la liste des appels téléphoniques de serge Ayoub le 5 juin 2013, le jour de la mort de Méric, plus précisément au moment de la bagarre mortelle survenue à 18h43. »

« J’ai récupéré d’autres éléments inédits, les photos des tatouages sur les corps des skinheads prises par la police juste après leur arrestation. »

« La France n’avait pas connu cela depuis 40 ans, comme nous le confirme ce policier qui surveille ces groupes au plus près. »

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La profession de journaliste se paupérise gravement

 

Tout journaliste un peu sérieux sait qu’il faut se méfier des intoxications venues de la DCRI. Pas Thierry, qui se substitue aux as du renseignement.

« Kevin Pioche n’était pas seul… Le numéro d’immatriculation du véhicule a été transmis à la police qui n’a pas donné suite, j’ai identifié le propriétaire du véhicule, et je décide de faire ce que la police n’a pas fait, aller lui parler. »

Et quand Thierry va voir l’identitaire qui a cassé la mâchoire d’un antifa :

« Nous nous sommes rendus à son domicile dans la campagne lyonnaise pour l’interroger sur sa version des faits. »

Thierry :

« Bonjour excusez-moi de vous déranger je m’appelle Thierry Vincent je travaille pour Canal+… Vous avez été condamné pour avoir frappé un antifasciste. »

Damien, l’Identitaire en question, qui a déjà purgé sa peine :

« Y a eu un échange de coups, de coups réciproques.

– Mais c’est quand même l’antifasciste qui est blessé.

– Si il sait pas se battre c’est son problème quelque part… Quand on agresse un militant identitaire il faut s’attendre à avoir une réponse en face. »

Quand des « fascistes » rétorquent que l’extrême gauche s’attaque à eux physiquement, pour connaître la vérité, qui Thierry va-t-il trouver ? 

« Selon ce policier spécialiste des violences politiques, les accusations des militants d’extrême droite sont infondées. »

Mais le meilleur reste la partie du doc sur les militants anonymes de Reflex, les militants fascistes, eux, étant filmés et nommés :

« J’ai pris rendez-vous avec le groupe Reflex, un groupe antifasciste d’extrême gauche qui figure parmi les meilleurs observateurs de la mouvance d’extrême droite en France depuis 28 ans. Leurs responsables sont inconnus de la police et de l’extrême droite qui cherche à les identifier depuis des années. Ils ne sont jamais exprimés devant les médias… Reflex c’est un peu le service de renseignement des antifas, dans l’ordinateur de Xavier, des centaines de fiches sur des organisations ou des militants d’extrême droite, des informations glanées en se rendant à leurs manifestations. »

Rebaptiser les rois de la fiche « meilleurs observateurs de la mouvance d’extrême droite », saluons la performance ! Des militants « d’extrême gauche » que personne n’arrive jamais à voir ni à attraper, et qui font « des photos » incognito, ça s’appelle une succursale des RG, cher Thierry. Qui ne se demande même pas qui finance cette entreprise de fichage collectif – un exercice totalement illégal selon cette pauvre CNIL – depuis 30 ans, soit l’émergence du FN dans les médias (11 % aux européennes en 1984) !

 

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Bienvenue chez les RG d’extrême gauche

 

Il y a donc proximité idéologique et fonctionnelle entre militants antifas et surveillance intérieure, soyons objectifs, de la résistance à la destruction des valeurs. Antifas n’existant que contre lesdits fascistes, qui ont, eux, un contenu idéologique, alors que les antifas ne sont que des auxiliaires de police en civil, même pas payés. C’est la piétaille du lobby trotskiste au pouvoir médiatique, les gardiens d’un ordre occulte, antirépublicain, très éloigné de la gauche, puisque émanant du pouvoir bancaire. Les antifas roquets des banques, on aura tout vu. D’ailleurs, le gauchiste vieillit mal, on le voit à travers les vieux militants roulés dans la farine, toujours en retard d’une guerre, et qui font pitié. Si on peut comprendre l’engagement antifasciste d’un jeune, qui ne maîtrise pas encore la rhétorique manipulatoire des médias, pour un vieux, c’est plus inquiétant. Non pas qu’il faille devenir conforme ou bourgeois, mais le fait de grandir sans valeurs, cette colonne vertébrale de l’homme, transparaît moralement et physiquement. Ceux qui prônent un « ni Dieu ni maître », les pauvres en transcendance, ont en général un dieu et un maître cachés, qui les manipulent en rigolant. La chair à bâton des loges et des lobbies ! Les antifas sont là pour transformer une revendication profonde basée sur des valeurs en menace sur les libertés. On les fait effectivement penser que la liberté s’obtient en détruisant les valeurs, présentées comme une censure du moi (alors qu’elles sont une exigence, une élévation), sinon ils ne feraient pas le sale travail pour leurs maîtres invisibles.

 

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Thierry Vincent, qui ne cache pas sa préférence antifa : « Après l’interview Serge Ayoub explose de colère, il a menacé de casser notre caméra, nous avons déposé une main courante auprès de la police. »

 

Les antifas sont en réalité des guêpes dressées, et lâchées sur les Français épris de droiture pour les faire tomber dans le piège de la réponse violente. Frapper une guêpe, on l’a vu, revient à fabriquer un fasciste. Un jeu de contrôle de nerfs. Avec ce harcèlement amplifié par les médias du même camp, les antifas espèrent déclencher une contre-violence, qui sera aussitôt versée dans le lourd dossier de l’extrême droite, connecté opportunément aux années 30. Montrer en permanence que l’extrême droite représente le camp de la violence, pour prouver par opposition (mais sans le dire) que le pouvoir de gauche libéral sioniste est bien démocratique. Antifas, des provocateurs même pas stipendiés par le pouvoir caché : le prestige symbolique hérité de la Résistance (les autres ayant hérité de Vichy et de la Shoah) suffit à les rémunérer, la pauvreté tenant lieu de pureté militante. Du moins, c’est ce que la dominance leur fait croire. Nous ne raillons pas l’engagement et le bénévolat, mais le détournement indigne de ce désir de justice, à l’origine de tant de sacrifices, qui devrait habiter tout homme. Le sacrifice de ces naïfs exposés fait le bonheur de cyniques planqués.

 

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Olivier Roudier, de la Ligue du Midi : « Nous on supporte plus maintenant d’être agressés en permanence, d’être stigmatisés. Il faut savoir, les antifas, leur fonds de commerce, c’est la chasse. Et Clément Méric était un chasseur, un chasseur d’identitaires, un chasseur de patriotes. Et ben parfois, la chasse, parfois y a des frais. C’est Méric qui a fait les frais. Personne n’a une pensée pour chaque jour les victimes autochtones, les de souche, qui meurent sous les coups de la racaille, ou sous les coups des antifas… »

 

Les antifas chassent, comme le dit Rodier, avec les fichiers de la police qui n’a même pas besoin de les infiltrer, puisque le job est le même : surveillance et dénonciation. Moyens informatiques et relais médiatiques (Canal+), et les larbins des banques sont miraculeusement changés en combattants de la liberté et de l’antinazisme. Sauf que de combattre les néonazis aujourd’hui, ou les nationalistes, fait des antifas, objectivement, les petits soldats du lobby. Et quand Thierry Vincent affirme que les militants d’extrême gauche ne s’en prennent qu’aux biens matériels, symboles du capitalisme (les banques !), mais jamais aux personnes, c’est encore plus drôle : ce sont les banquiers qui tirent les longues ficelles de ces petites marionnettes, à qui on laisse « le droit » de défoncer quelques vitrines bancaires, pour satisfaire leur faim de justice sociale. Si les antifas savaient pour qui ils travaillent, et bénévolement…

C’est donc le lobby antifasciste (c’est plus acceptable que sioniste) qui laisse ces activistes casser quelques vitrines pour avoir l’impression de faire la révolution, alors que ça ne coûte rien au lobby, et permet d’entretenir l’illusion ; la vraie révolution, elle, forcément nationale, fait autrement peur au principal lobby antifasciste. Elle suppose la fin de la mainmise de la communauté régnante sur les leviers du pays : finance, économie, politique, information. Par ordre d’importance.

 

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La voix off : « Aujourd’hui dans certaines villes de France comme Lyon, l’extrême droite radicale se sent assez forte pour essayer d’imposer sa loi. Dans l’ancienne capitale de la résistance à l’occupant nazi, elle tente d’établir son fief. »

 

Ben oui. Aujourd’hui, Lyon la catholique résiste à l’occupant sioniste, donc la tradition de la résistance à l’occupant est tout à fait respectée, et les antifas sont de fait les collabos, ceux qui dénoncent et travaillent avec la Kommandantur !

Les antifas, sur le principe des paléogauchistes de Charlie Hebdo, se battent contre les flics et les curés… sans se rendre compte qu’ils font le sale boulot de police politique pour les nouveaux curés : les rabbins du lobby !

Voir aussi, sur E&R :

Sur Thierry Vincent, voir aussi :

Comprendre la fonction objective des « antifas » avec Kontre Kulture :

 
 






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25 Commentaires

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  • #1057256
    Le 12 décembre 2014 à 14:17 par bébert
    Antifas : des flicaillons… même pas payés !

    J’ai toujours pensé que l’antifa était par nature un être qui souhaitait pouvoir défouler sa violence sans risque. Couvert par le pouvoir. Sans réel objectif, sans défense d’idéal vrai qui lui coûte : simplement pouvoir se donner des justifications mentales d’apparence positive. L’antifa n’a pas de profondeur de réflexion, il est dans un brouillard mental, il veut juste défouler sa colère. Mais sans prendre de risque. En clair : l’antithèse du Chevalier.

     

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  • #1057408
    Le 12 décembre 2014 à 16:12 par anti falses
    Antifas : des flicaillons… même pas payés !

    l’antifa et sa vision hollywoodienne de la vie ...
    ils me font penser à des vrp "agressifs" reprenant les méthodes des hitlers jungens , la seule différence est qu’ils ont inversé le look ...
    ils manient les techniques communicatives de la sociétée du spectacle.
    le clou du spectacle est la proportion du nombre des arrestations par rapport à d’autres "happenings" , on sent là , les avantages d’un syndicalisme dévoyé .

     

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  • #1057444
    Le 12 décembre 2014 à 16:34 par Marko
    Antifas : des flicaillons… même pas payés !

    En face de chez moi, commence le quartier bobo de la ville. On y trouve à tous les poteaux des autocollants antifas que je m’amuse à enlever. C’est aussi un quartier où des plaques "devoir de mémoire" sur la déportation fleurissent un peu partout. Bobos+antifas+shoa = tous ensembles !!

     

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  • #1057811
    Le 12 décembre 2014 à 23:06 par Antoine
    Antifas : des flicaillons… même pas payés !

    Alors les cocos et les soces d’Anal-Pute, un mot, une pensée, une prière (rêvons !) pour les cent millions de morts des communistes et les cinquante des nationaux-socialistes ?
    Ou bien on se contente de rappeler les vieilles rengaines (Saint-Bartélémy - 3000 morts, Pinochet - 3200 morts, Franco - 200000 morts (qui évitèrent sans doute un régime sanguinaire communiste qui aurait exterminé, fidèle à l’habitude de ces gens, des millions d’Espagnols).

    Non parce qu’au concours du plus sanguinaire et du plus massacreur, vous surpassez largement toutes les épidémies, toutes les guerres, tous les cataclysmes qu’a connus l’humanité.

     

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  • #1058274
    Le 13 décembre 2014 à 15:57 par nicolas
    Antifas : des flicaillons… même pas payés !

    Il serait intéressant de savoir quel est l’ origine du mouvement " Antifa ? " .
    Avec des questions simples comme :
    - " D’ou vient ce mouvement ou plus basiquement ce mot ANTIFA ? Qui l’a crée ? sachant qu’ il n’existait pas il y a seulement 10 ans.
    - Et surtout d’où sort " leur logo" rouge et noir ,qui l’a crée ? et comment ce visuel s’est il imposé comme unique emblème des mouvements "Antifa " de toute l’europe ( mouvement europeiste ?)
    Qui paye pour ses banderoles drapeaux et tous les autres supports de communication des ANTIFA ?
    Sans parler des slogans dont 1 talmudiste -" ni pardon ni oublie " et 1 espagnol "- no pasaran" ???
    Bref ça ne vient pas de la rue et n est pas qq chose de spontané , c’est donc forcément financé par quelqu un ou quelque chose ..
    Si il existe encore de vrais journalistes d’investigation , c’est plutôt sur ce genre d’enquête qu ils devraient se lancer.

     

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    • #1059118
      Le Décembre 2014 à 15:32 par Lucien Cerise
      Antifas : des flicaillons… même pas payés !

      La mouvance « antifa » apparaît d’abord sous le nom des « anti-Allemands », initiative de l’OTAN en Allemagne au début des années 1990, juste après la chute du mur de Berlin, pour fabriquer de manière synthétique une extrême-gauche allemande pro-américaine, pro-israélienne et surtout masochiste au plan identitaire puisque ce sont des Allemands qui revendiquent d’être anti-Allemands.
      Pages Wikipédia :
      http://fr.wikipedia.org/wiki/Anti-A...
      http://de.wikipedia.org/wiki/Antifa

      Les images de manifestations de la vidéo ci-dessous et les slogans sont très clairs.
      « Antifascist actions : Solidarity with Israel »
      http://www.youtube.com/watch?v=UKEf...
      « Deutschland abschaffen », « Supprimer l’Allemagne » ; « Für Israel, gegen old Europe », « Pour Israël, contre la vieille Europe » ; « Antiamerikanismus angreifen », « Attaquer l’antiaméricanisme » ; « Imagine there is no Deutschland », « Imagine qu’il n’y a pas d’Allemagne » ; « Deutschland verraten ! », « Trahir l’Allemagne ! » ; « Nieder mit dem Regime im Iran », « À bas le régime en Iran », « Antifa means solidarity with Israel », « Antifa signifie solidarité avec Israël ».

      Depuis quelques années, l’OTAN essaie de faire un copié-collé en France de ce qu’il a créé en Allemagne. Comme ça ne prenait pas, ils ont été obligés de sacrifier un gamin pour lancer un mythe fondateur, ce qui a donné l’affaire Méric. Je récapitule tout ça dans un article :
      « Clément Méric, victime d’un coup monté ? »
      http://www.egaliteetreconciliation....

       
    • #1071389
      Le Décembre 2014 à 22:11 par Soldat du Christ....
      Antifas : des flicaillons… même pas payés !

      Ils ont vraiment du mal avec des recrus de plus en plus jeunes et une jeunesse qui lit de plus en plus et qui sait comprendre de mieux en mieux les pièges de cette merde anti-soi (pas de chance car beaucoup d’Antifas fuient ce mouvement d’ados en mal de revendications...)
      Pour adhérer à des logiciels d’amour du pays et anti-europeïste même s’ils restent communistes cela ne durera pas très longtemps vu l’arnaque du communisme...

       
  • #1058487
    Le 13 décembre 2014 à 20:32 par omerre
    Antifas : des flicaillons… même pas payés !

    ca me plait ce genre de doc sur canal plus , parceque c’est tellement exagéré que c’est contre productif pour les initiateurs de ce documentaire
    il faut laisser couler , ca va se retourner contre eux ,ca exaspère une grande partie de la population
    et ca fait pousser nos idées
    merci anal pute , ne changez rien

     

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  • #1058634
    Le 13 décembre 2014 à 23:33 par Mojo Risin
    Antifas : des flicaillons… même pas payés !

    Une copine, pour me "dénazifier", m’a proposé de regarder le documentaire de Christophe Nick. J’ai passé une très bonne soirée à base de rires et de fou-rires. Tout seul, parce que elle, elle prend ça au sérieux. Faut dire que les "interviews" avec les maires et le sociologue de service sont impayables.
    J’ai évité le débat avec ma camarade. La propagande ne mérite pas un mot de trop. En revanche, je l’ai informé que j’appréciais Serge Ayoub.
    Puis je suis allé, au pas de l’oie, me coucher.

     

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  • #1058902
    Le 14 décembre 2014 à 11:38 par truc en ski
    Antifas : des flicaillons… même pas payés !

    Je connais de vrais "antifas"... ils sont palestiniens !

     

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  • #1059688
    Le 15 décembre 2014 à 15:24 par neribu
    Antifas : des flicaillons… même pas payés !

    Emission qui n’a qu’un seul intérêt : démontrer par A + B que les journaleux qui ont fait l’émission sont des menteurs et des manipulateurs.

    L’air de rien (mis à part les noms des vilains, mais qu’est ce que vous voulez, on ne se refait pas) toutes ces tanches se tirent une balle dans le pied... l’affirmation que l’immigration et l’insécurité n’ont rien à voir et que si l’ext.gauche casse et saccage c’est la faute à Le Pen ou aux fachos, c’est qu’ils n’ont rien compris et qu’ils restent dans leur zone habituelle germano-pratine.

    De plus en plus de gens s’en rendent compte et commencent à comprendre la manœuvre.

    Moi je dis, continuez... encore et encore... plus dure sera la chute.

     

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  • #1068124
    Le 25 décembre 2014 à 22:49 par Godwin
    Antifas : des flicaillons… même pas payés !

    « non, il n’y a pas de lien entre immigration et violence. Ce qu’ont oublié ces petits bourgeois de gauche, c’est que ça, tout le monde le sait, même le FN et les identitaires honnêtes. C’est la misère qui est à l’origine de la violence »
    PARDON ?!
    Je rêve. On dirait des propos sortis tout droit de la machine de propagande su Système. ._.
    Cacher la dimension interethnique de la violence qui sévit en France (appelée euphémiquement « la délinquance ») relève de la tartufferie manifeste ; pourquoi vous lancer dans cela ? Je ne comprends pas, il n’y a pas à cacher la réalité, la télévision s’en occupe déjà très bien.

    Et puis prendre les États-Unis à l’appui de ces affirmations, c’est vraiment de la chutzpah de haut vol quand on pense aux émeutes au caractère clairement racial qui s’y déroulent (cf. les violences suite à un acquittement quand le tué est noir ou assimilé et l’accusé est blanc ou assimilé, aujourd’hui comme hier)…

     

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