Il fallait s’y attendre, les gauchistes sont si prévisibles... L’élection ou la réélection de Donald Trump a donné lieu à un lâcher de désinformation et de haine rarement vu en période post-électorale.

Pourtant, le deuxième (et peut-être encore un derrière) mandat du Républicain pas comme les autres n’a théoriquement pas d’impact sur la vie d’un comédien français, fût-il de gauche culturelle.

C’est le cas de Jacques Weber, qui sucre les fraises depuis longtemps déjà.

Dans un autre genre, girouette celui-là, on a le prof de philo Michel Onfray, qui change d’analyse comme de chemise. Accro aux médias, il est capable de dire tout et son contraire en un temps record, comme Macron, mais en plus il se pose en opposant au Président.

Pour ceux qui n’étaient pas nés en 2020-2021, voici un florilège des déclarations liberticides de ce philosophe. Un cas unique dans l’histoire de la philosophie.

Suite à cela, et à beaucoup de sorties ravageuses, du type Jésus n’a jamais existé, Michel a eu l’honneur d’un portrait que nous re relaierons pas, car nous n’aimons pas la méchanceté. Pour être honnêtes, Michel n’a rien à faire dans cet article, puisqu’il est pour Trump.

Heureusement, nous avons la Tondelier. Elle a lancé un grand mouvement à l’intérieur du NFP (Nouveau Front populaire) pour quitter X et punir Musk, l’Oberleutenant d’Adolf Trump. Vu le manque d’enthousiasme des troupes de gauche, Marine 2 restera finalement sur X pour fighter le mal. Sa justification est rapportée dans un article du Figaro, qui a repris des couleurs depuis la victoire d’un vrai mec de droite. En France, on a Retailleau, qui terrorise les dealers de douze ans...

Marine (pas la bleue, la verte !) ne lâchera rien. Oh que non ! Ce n’est pas que le « ciel plus bleu » de Bluesky ne la tente pas mais quelle catastrophe aussi d’avoir à se priver de ce qui reste sa principale caisse de résonance (137 152 followers sur X, « seulement » 40 700 sur Bluesky). Le martyre a ses limites. Et au diable si, pour justifier cette énième tartufferie, elle se lance dans une casuistique toute jésuite. Je cite : « Le Twitter que j’aimais n’existe plus depuis longtemps mais… », parce que même au sein des meilleures intentions demeure le lourd, le pesant, le trop terre à terre « mais », « … reste indispensable à la fonction politique qui est la mienne aujourd’hui… » Une fonction ? Quelle fonction ?, pourrait-on ajouter si nous nous montrions un poil taquin (ce que la décence et le respect nous empêchent) « … C’est pour cette raison que je n’abandonnerai pas le combat sur cette plateforme, même s’il se fait à armes très inégales ».

Elle restera sur Twitter, quitte à ce que le nazisme lui passe sur le corps... s’il en a envie. Il est vrai que par rapport à l’Américaine la plus riche du pays, la grosse Oprah, Marine fait figure de délicate poétesse. On écoute Winfrey, lesbienne, obèse et noire de son état, mais ça n’a rien à voir.

« Je ne suis pas une grosse lesbienne ! » (Traduction IA visuelle)

On rappelle que cette donneuse de leçons figure sur la liste d’Epstein... Remarquez, au début, Trump aussi, mais il a vite pris ses distances avec l’employé du Mossad, même si les filles étaient jolies. Attention au pot de miel, les gars, sait-on jamais, on peut devenir président un jour...

On reste dans le registre surpoids avec Marianne James, la Oprah française, mais sans la couleur et la notoriété. L’élection de Don Adolf lui a donné l’occasion de réexister, elle qui n’a toujours eu que des seconds rôles partout, malgré sa grande gueule. Aussi forte qu’un T-34, elle fonce ici dans la division SS Viking Donald...

La presse, à sa façon, minimise le tremblement de terre politique américain. Faut pas donner des idées aux Français ! Paris Match, qui fut autrefois un grand magazine, à l’audience mondiale, est aujourd’hui devenu le cache-sexe de l’Élysée. L’importance donnée à Brigitte chasse (on peut dire cornerise, Bertrand ?) Trump loin dans le coin supérieur droit, le moins regardé.

Restons dans la presse : dans la veine QuitteX, après Mediapart, on trouve Libération, qui explique à ses lecteurs pourquoi le journal refuse le débat sur les réseaux sociaux, véritable tribunal populaire qui ne laisse rien passer. Risky !

Du coup, on a retrouvé les « valeurs » du quotidien depuis ses débuts, et par ordre chronologique : gauchisme (sous Sartre), pédophilisme, antiracisme (sous Mitterrand), néolibéralisme (sous July), LGBTisme, et israélisme (sous Dov Alfon). De sacrées belles valeurs !

Pour finir en beauté dans l’antitrumpisme primaire, la sortie de cette journaliste de la RTBF, qu’on ne se lasse pas de diffuser...

Et si ces représentants de la culture mondialiste avaient raison ?