Chaque matin, en nous réveillant, on a l’impression d’entrer dans un cauchemar. On réalise en se frottant les yeux que la France est dirigée par des fous qui n’ont qu’une idée en tête : détruire notre pays.

On sait tous qu’il est mille fois plus facile de déconstruire que de construire. Notre-Dame a brûlé en une journée, il a fallu cinq ans pour la reconstruire, et encore, pour en faire un temple franc-maçon.

Les Français lucides, qui souffraient déjà de cette tyrannie, du moins qui l’avaient ressentie dès le départ, ont été très seuls en 2017 et 2020. Aujourd’hui, ils sont beaucoup plus nombreux, devant l’’évidence des destructions, et on n’est pas loin de la fameuse masse critique léniniste.

Aux USA, cette masse critique a été atteinte et vient de faire basculer la direction mondialiste, même si ses racines sont encore profondes. L’Amérique n’est pas sauvée. Trump s’emploie à la relever, et le travail est colossal. Le virus woke est beaucoup plus dangereux que le virus du covid, les deux étant fabriqués en laboratoire, universitaire pour l’un, scientifique pour l’autre.

Chez nous, la contamination au virus woke (wokovirus ?) n’est malheureusement pas à son apogée, le retard chronique sur la maison-mère – les États-Unis – expliquant ce décalage. Le woke, c’est-à-dire la dictature des minorités, est partout, et ces minorités perdent toute raison en détenant autant de pouvoir, dont elles se servent pour faire la guerre à la majorité, et donc au pays.

Le pouvoir mal acquis rend fou. Celui de Musk est raisonnable, car cet homme l’a construit jour après jour de ses mains, et avec sa tête. Les gens de pouvoir chez nous, incarnés par une gouvernance israéliste et LGBTiste, ne l’ont pas mérité : ils en ont hérité pour des raisons d’appartenance communautaire. Ils n’ont aucun égard pour la majorité, qu’on appelle aussi le peuple.

Tous ces représentants médiatiques, politiques et culturels ne représentent même pas 1 % de la population, et pourtant, ils imposent leur idéologie ravageuse aux 99 % restants, progressivement dépossédés de tout pouvoir et de toute liberté réelle par des lois iniques votées par les 1 % pour les 1 %. Et quand ces démons sont confondus et rejetés par la majorité de la population, ils n’ont plus qu’une idée en tête : la vengeance.