La Pilule
Inventée dès le début des années 1950, commercialisée à partir de 1960, son ingestion légalement agréée et promue en France à partir de 1967 (loi Neuwirth), elle contient des hormones synthétiques qui bloquent l’ovulation.
« La pilule remplace le cycle naturel de la femme par un cycle artificiel. Les ovaires cessent de libérer des ovules, rendant impossible l’ovulation et la grossesse. La glaire cervicale s’épaissit et rend difficile le passage des spermatozoïdes. La muqueuse utérine s’amincit, devient incomplète, rendant difficile la fixation de l’oeuf fécondé à la paroi de l’utérus. »
Pour faire avaler aux femmes pareille saloperie, on les abreuva par tous les orifices du Spectacle, du spectacle de leur « émancipation ».
On se mit à leur servir matin et soir, de la belle aube au triste soir, des tartines beurrées de poncifs sur « la condition féminine ». Enchainées au pénible “devoir d’enfanter l’humanité”, rien n’était plus urgent pour ces galériennes que de briser ses chaînes et mettre à la voile. Ainsi était décrit son sort.
Aucun état, pas même celui de prostituée, n’était jugé plus méprisable que celui de mère. Ce sort peu enviable était décrié comme l’aliénation suprême, et l’impératif catégorique de la « libération féminine », était de s’en délier.
Subitement, une famille nombreuse devint le repoussoir suprême, une auge pour toutes les névroses, le bourbier du Pater familias, et dans lequel une nymphe méconnue languissait de quitter sa chrysalide de lait caillé et de layettes, pour aller s’épanouir en Entreprise.
Parallèlement la droite capitaliste commençait une offensive contre les allocations familiales.
L’aversion populaire spontanée et la résistance chrétienne, sous l’égide et du Parti communiste et de l’Église catholique (les deux défendaient la famille) furent stigmatisées comme celles des « Pères lapins. »
On mesure par là, l’origine artificielle, toute la facticité de la « révolte » féministe des années 68 ss, mise en scène par l’Oligarchie et jouée par la pléthore des bourgeoises de gauche.
Néo-malthusianisme
On décréta qu’en Europe, dans tous les pays industrialisés, le bonheur et la prospérité étaient menacés par un afflux de naissance.
La Pilule devint la Panacée universelle (enfin, pas si universelle que ça), qui devait guérir miraculeusement les syndromes de l’aliénation de la femme et de la pauvreté.
Le résultat ne se fit pas attendre : chute dramatique de la Natalité dans une Europe ainsi préparée à recevoir dans son giron des populations substitutives, qui, placées dans les conditions nouvelles d’obstétrique de haut niveau et d’aides sociales, connaîtront une explosion de prolificité. Leur extraordinaire capacité génésique, n’étant plus balancée par la bienfaisante mortalité tutélaire, propagera sa progéniture. C’est ainsi qu’ils deviendront « les jeunes ».
Bizarrement, du moins pour les demi-habiles qui gobent la combine féministe dans sa doxa de « libération », la chiennerie de garde de la contraception et des avortoirs s’est bien gardée de montrer les dents devant ce véritable lapinisme, et l’arriération évidente des parturientes importées, perpétuellement en l’état gravide et puerpéral.
Au contraire pour ces gens là, l’injonction testamentaire de croître et de multiplier semblait s’imposer avec la force irrésistible de l’Avenir.
On connaît la suite.
Ce qu’on connaissait moins bien se seront ces conséquences catastrophiques pour le chromosome Y, du flot monstrueux d’urines menstruelles gorgées d’œstrogènes, quotidiennement rejetées dans les eaux usées des sanitaires et non traitées en stations d’épuration dont nous parlions dans la première partie.
Le planning anti-familial, eugéniste et raciste.
Cette organisation eugéniste, anti-pauvres, anti-blanche et anti-mâle, vit le jour lorsque la doctoresse Lagroua-Weil-Hall de la clinique Birth control créée par Abraham Sanger à New York, en mars 1955, lors d’une communication à l’Académie des sciences morales et politiques, préconisa la création de « centres d’eugénétique » où les couples pourraient recevoir conseils et prescriptions de moyens contraceptifs.
Autour de la Lagroua-Weil-Hallé, vont se regrouper toute une camarilla de femelles appartenant à différents courants franc-maçons, la plupart adjuivantes (c’est un fait), des lesbiennes intellectuelles et des gauchistes à l’hygiène douteuse, toutes des bourgeoises "de gauche".
En France, ce fut le début d’une propagande sans pareille, dans les média de l’époque, qui ne fit que s’amplifier au cours des années suivantes, et qui, après de multiples rebondissements, aboutit à la loi Neuwirth puis à la loi Veil.
Auparavant la commission Marcellin, créée à l’Assemblée pour l’étude des conséquences de la prise de la Pilule, conclut fin 1965 à son innocuité.
On le voit le combat du Planning anti-familial était bien homogène aux intérêts du capital et de son pouvoir d’Etat.
Les féministes
Pour réussir ce génocide de travailleurs européens, qui ne fut au fond qu’une application reportée du plan Morgenthau, le Capital financier fit remonter des latrines de l’humanité une espèce, qui dans l’esprit de personne de sensé n’aurait jamais dû occuper une place de premier plan.
Je veux parler des féministes.
Généalogiquement, ce courant ultra-minoritaire, vient de la plus sordide gougnoterie et des fonds de culottes douteuses des bas-bleus de la bourgeoisie protestante & levantine, ces peu ragoûtants déchets de la féminité avortée, et vivant à l’écart des foules.
La sortie à l’air libre de cette infection, eut pour effet de contaminer toute la féminité, par ce qu’elle possède de plus vulnérable, je veux parler de son entendement minuscule, entiché de balivernes et perpétuellement bâté au mondain, cette propagation menaçant d’exterminer à jamais la race originelle de la femme.
Pour ce qui est de la race virile, la calamité ostrogénique dont nous parlions en commençant, doit être comprise comme nécessité ontologique : à des néo-femmes, il faut des mâles assortis, à des pussy-riots il faut de petits chiots, apprivoisés.
Ainsi cette submersion par les Eaux féminines, qui rabougrit la virilité physique et spirituelle, n’est qu’un agent de transmutation contre-alchimique du métal masculin, qui va passer d’une nature noble en une nature vile.
Félix Niesche