Ceux qui regardent encore la télé publique auront eu le plaisir de voir et écouter M. Nlend/ex-Matthias Cardet dans "Complément d’Enquête" dans lequel il est interviewé en tant que complice et témoin des turpitudes de Mimi Marchand, Sarko et Ziad Takieddine, lors d’un voyage à Beyrouth qui avait résulté dans le témoignage providentiel de ce dernier, exonérant finalement Sarko de tout soutien d’un certain "dictateur" libyen remercié de ses services par quelques coups de baïonnette bien placés... Voilà qui complète opportunément le portrait du genre de personnage qu’on nous sort pour salir Alain Soral. Nous pouvons facilement juger de qui est le plus sale des deux...

Répondre à ce message

Avoir de tels ennemis est un régal...le niveau des titres en dit long...sur celui de Mathias Cardet il ne manque que le Wesh au début et le Yo à la fin...
Un monde de moutons apeurés dirigés par des bergers stupides...

Répondre à ce message

Il faudra expliquer à ces ringards que le mot "bouffon" en tant qu’insulte n’est plus en usage depuis le milieu des années 90 du siècle dernier.

Répondre à ce message

C’est assez répétitif. Il y a comme un manque d’imagination . Parfait pour un crétin. Ce serait mieux en bande dessinée, comme ça il y a des dessins.

Répondre à ce message

Éditions Grasset, préfacé par Caro. C’est signé.

Répondre à ce message

Comme on dit : beaucoup d’ennemis, beaucoup d’honneur. Quoique qualitativement parlant, en face c’est pas top....

Répondre à ce message

Petite remarque : toutes ces couvertures sont d’une laideur !
A part, à la rigueur, celle de Michel Collon mais qui reste lourde au niveau du texte.

Dans le genre première impression, c’est un manque de goût et de finesse qui m’attaque l’œil.

Répondre à ce message

Cassement de têtes pour rien, pour les torches-culs anti-Soral-Dieudo.
Ils dépensent de la salive par litres, des tonnes de papiers, des dizaines de milliers d’euros, se réunissent et planifient en secret, hommes politiques et journalistes dévoué à leurs causes et tout ça pour rien malgré tout les moyens à leurs dispositions et toutes ces énergies dépensés, ils non même pas atteint le quart de leurs objectifs.
Mais au fait, bonne de caves et chiffons du CRIF, qui est le bouffon dans cette histoire, vous ou Soral qui devient de plus en plus populaire dans plus de quarante pays et courageusement continue à nous éclairer, à nous réveiller, à nous informer et à nous instruire ....

Répondre à ce message

La définition de "bouffon" ne cole absolument pas à Alain Soral et Dieudonné. C’est même exactement l’inverse, puisque le bouffon est soumis au Roi, qualificatif correspondant parfaitement à l’indicateur de Police Mathias Cardet dit "Thomas Nlend" qui lui obéi au Roi, ou à l’oligarchie pour une rémunération.

Répondre à ce message

Pour une raison que j’ignore, on persiste à croire qu’un écrivain est nécessairement un idéologue qui a un message fondamental à exprimer. Il s’agit d’une activité commerciale comme une autre avec du marketing,….
Demande-t-on a un pizzaiolo s’il travaille pour l’amour de la « bonne pizza » ?
Même si c’est ce qu’il prétend, c’est du marketing, il veut vendre plus de pizzas.
Et c’est tout à fait respectable…

Répondre à ce message