Depuis le 11 septembre 2001, il ne s’est pas passé un jour sans qu’on parle de l’événement qui a inauguré le troisième millénaire. Depuis, les réseaux sociaux et les auteurs sérieux ont pris la main sur la version officielle, de plus en plus fragilisée, et de nouveaux éléments sont venus alourdir l’accusation. Une accusation que Laurent Guyénot développe dans son nouvel ouvrage, paru chez Kontre Kulture dans la collection Comprendre.

En neuf chapitres percutants – le coupable récalcitrant, l’avion volatilisé, la désintégration des tours, les crypto-sionistes néocons, la guerre d’Irak, l’emboîtement des complots, les empreintes et le profil israéliens –, une fois la version officielle démolie, pulvérisée, le livre dessine une version largement plus cohérente, plus politique, plus profonde, et plus sombre aussi.

Voici un indice supplémentaire que les opérations du Pentagone et du WPU ont été organisées par deux groupes distincts. Le vol AA77 a décollé de Washington (aéroport de Dulles) avant de s’écraser sur le Pentagone à proximité immédiate. Il a facilement pu être injecté virtuellement dans les exercices menés le jour même par le North-East Air Defense Sector (NEADS) du North American Aerospace Defense Command (NORAD), qui comportait des détournements d’avions virtuels. Les vols AA11 et UA175 prétendument écrasés sur les Twin Towers ont également pu être injectés virtuellement dans les mêmes war games, mais dans ces deux cas, il se trouve que l’aéroport Logand de Boston d’où les avions ont prétendument décollé sous-traitait sa gestion des passagers à Huntleigh USA Corporation, une société rachetée en 1999 par International Consultants on Targeted Security (ICTS), firme israélienne dirigée par d’anciens officiers de l’armée ou du renseignement israéliens, parmi lesquels Menahem Atzmon, trésorier du Likoud et ami proche du futur Premier ministre Ehud Olmert (2006-2009). Par conséquent, on peut dire que les empreintes ADN d’Israël se trouvent non seulement sur les tours du WTC pulvérisées ce jour-là, mais également sur les vols qui sont réputés s’y être écrasés, ainsi que sur la liste des prétendus pirates de l’air des avions. (Page 76)

Le tremblement de terre du 11 septembre 2001, un mouvement tectonique humainement programmé, nous en ressentons les effets encore aujourd’hui, car il peut mener à une possible Quatrième Guerre mondiale, comme à un réajustement du monde sur des bases plus saines, c’est-à-dire moins américano-sionistes.

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Disponible chez Kontre Kulture !

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