La Serbie "bientôt" dans L’UE :
Achat de Rafales (fini les chasseurs russes), Mine de lithium australienne (RIO TINTO), futur métro français (ALSTOM), aéroport français (VINCI), Déchetterie moderne française (SUEZ).
Maintenant ils autorisent es Gay Pride à Belgrade, protégées par le gouvernement et je n’ai pas vu que les Serbes envisageaient d’adhérer aux BRICS.
Je vis en Serbie et je vois bien ce qui se profile à l’horizon malgré les protestations locales ou les analyses bancales extérieures qu’on observe un peu partout.

Répondre à ce message

C’est toujours un soulagement de ’’s’informer’ auprès d’analystes/commentateurs qui, au moins, ne présentent pas de signes de maladie mentale...Cela se fait rare.

Répondre à ce message

Certes le déploiement de la flotte russe du Pacifique est impressionnant sur le papier avec 400 navires déployés du côté russe, néanmoins on est droit de se demander si les Russes on bien tiré les leçons des déboires de leur marine déployée en mer Noire, qui en est réduite à un rôle de figuration dans le port de dégagement de Novorossiysk, après son retrait de Sébastopol. Il s’agit tout de même d’une première historique que l’absence de la flotte russe dans cet endroit symbolique repris de haute lutte sur les Ottomans en 1783. Il apparaît que les grandes unités navales sont très exposées aux attaques de drones sous-marins, technologie où les Américains ont massivement investi au vu des résulats pleins de promesses enregistrés dans le conflit ukrainien. Il faut aussi préciser que la participation des Chinois est restée symbolique avec seulement 4 navires déployés en observation des manoeuvres du côté russe. N’ayant jamais combattu, la marine chinoise essaie d’appendre de leurs collègues russes l’art de la guerre navale. Le désastre économique annoncé du côté allemand est bien réel, mais ce sont les Allemands eux-mêmes qui en sont les principaux responsables et non les Russes, qui représentent certes un marché important, notamment dans l’énergie, mais secondaire, eu égard au PIB russe, par rapport à d’autres puissances comme la Chine. les Allemands ont beaucoup plus perdu en Chine qu’en Russie, du fait du changement de paradigme économique voulu par XI, qui se démarque de ses prédécesseurs, en revendiquant un retour à la glorieuse époque de l’indépendance maoïste. Il s’en suit un effondrement de la consommation intérieure, dont pâtissent les groupes allemands encore installés en Chine, notamment les constructeurs automobiles, qui partagent avec leurs homologues chinois les retombées du marasme affectant le véhicule électrique, comme en Europe. Les jeunes diplômés chinois des universités cherchent désespérément un job à la sortie des universités (taux de chômage de 50%, pour neuf millions de nouveaux diplômés par an). Inutile de préciser, que les entreprises allemandes ne sont pas état de leur offrir des postes, vu qu’elles sont toutes sur le départ, comme leurs homologues occidentales. Le reflux du capital n’a d’équivalent que le flux d’investissement en Chine dans les années 80. Même la presse russe commence à avouer que l’économie russe va souffrir des conséquences du marasme chinois. Il va falloir que l’Allemagne se réinvente, comme l’Europe du reste.

Répondre à ce message

C’est drôle que Xavier évoque (à 22:56) le Polonais qui est allé dans l’espace (Mirosław Hermaszewski, en 1978).
Cet honnête homme (décédé en décembre 2022) était un rescapé du massacre banderiste d’une sauvagerie au-delà de l’imaginable, commis par l’UPA ukrainienne en mars 1943 dans le village de Lipniki (il y a des photos de cette horreur !) : sa mère l’avait perdu dans un sous-bois quand elle a pris une balle dans la tête à bout portant par un banderiste, son père revenu dans le village avait miraculeusement retrouvé le bébé, avant de tomber lui-même sous les balles ukrainiennes…
Cette famille a perdu en tout 19 membres dans les massacres de l’UPA de 1943 ! Je pense que Hermaszewski n’avait pas la même vision des Ukrainiens et du conflit que le pouvoir polonais actuel !

Répondre à ce message

Respect.
Belle personne.
Courage on les aura.

Répondre à ce message

Ainsi l ’Otan frappe ( et par des missiles qui 300 km max qui iront demain jusqu ’à 700 voire 1000 km de portée ) la Russie su son sol depuis l ’Ukraine ( que l ’Otan occupe totalement depuis le Maidan ) et selon Monsieur Moreau la Russie devra répondre en . . . livrant des missiles russes à ses proxys lesquels s ’en serviraient contre des intérêts US ; et donc la réponse russe ne pourrait pas être à la hauteur de l ’agression subie et ne pourrait viser l ’agresseur ( étasunien , anglais ) directement . Cela ne sonne t il pas comme une permission faite à l ’Otan de poursuivre et d ’accroître ses provocations , permission révélant une certaine impuissance ? Mais enfin la Russie commence à réagir en se réservant l ’emploi préventif de l ’arme nucléaire ; déjà un progrès , mais il faudra plus .

Répondre à ce message

Il prend des risques en venant ici.

Répondre à ce message

Il faut reconnaitre à Zelinsky des talents de communicant hors pair.

Il a l’art de mettre le couteau sous la gorge de l’opinion occidentale en permanence en nous culpabilisant à longueur de semaines : "Je veux des chars, des avions, des missiles, sinon Poutine fera un malheur !".

Veut-il la paix avec la Russie ? J’en doute ou alors c’est un communicant doublé d’un comédien. C’est ainsi qu’il se présente avec sa tenue kaki comme Hitler qui déclarait ne pas quitter sa vareuse tant que la guerre ne serait pas gagnée.

Mais Poutine n’est ni un communicant, ni un comédien.

Il faudra un effondrement du régime politique de Kiev marqué par le départ de Zelinsky (ou son élimination par des Ukrainiens) pour sortir de cette guerre.

Répondre à ce message