C’est un sujet quelque peu délicat que nous abordons ce dimanche 0 après François, par le truchement de l’ex-footballeur de l’OM et des Bleus Dimitri Payet, qui nous avait bien sorti le popo des ronces lors de l’Euro 2016 en marquant contre la Roumanie à la 89e. Vérifiez que les enfants sont bien couchés. Et confisquez leur portable.

Aujourd’hui, on ne parlera pas trop football car l’ex-Bleu, désormais transféré dans l’équipe brésilienne de Vasco de Gama, s’est vu accuser de violences physiques et sexuelles sur une jeune avocate de 28 ans, sa propre maîtresse, pourtant. Dans les cas d’accusations de violences sexuelles, les footballeurs en activité sont souvent piégés, car ils s’offrent des filles, se filment et se font filmer (le piège du portable), puis la relation, tarifée ou pas, se transforme un viol par enchantement, la fille en question se faisant conseiller par un avocat qui sait qu’il va demander cher.

Tout se règle en général à l’amiable avec les multiples conseillers du joueur, qui sont souvent plus malins que lui. France 3 Brajil écrit :

Un nouveau rebondissement dans cette sombre affaire qui vise l’ancien chouchou du Vélodrome. À la suite des accusations de violences physique, morale, psychologique et sexuelle de Larissa Ferrari, une avocate brésilienne, Dimitri Payet a été entendu, le 16 avril par la DEAM de Jacarepagua, la Police spécialisée dans la protection des femmes. Au cours de cette audition, qu’ont pu consulter deux médias brésiliens G1 et Metropoles, l’ancien international français, actuellement sous contrat avec le club de Vasco de Gama, a donné plusieurs éléments concernant cette relation extra-conjugale.

On admire le look de « l’avocate »

Mais là, la parade de Dimitri nous a époustouflés : pour contrer l’accusation de violences sexuelles, il a révélé à la presse qu’il s’agissait de jeux sadomasochistes entre adultes. Et là où la fille est un peu coincée, c’est qu’en plus cette jolie cochonne qui répond au nom de Lala Ferrari (!) pratiquait l’uro. On ne va pas décrire cette déviance par égard pour les jeunes qui nous lisent en cachette pendant les cours d’antifrançais au lycée. Lui se sort une fesse des ronces, et elle en met une à la place.

On rappelle que Dimi est marié avec une Française qui lui a fait 4 marmots, il s’agit donc d’une relation adultère, mais ce n’est plus puni par la loi. Le petit pingouin le dit mieux que nous.

La fille de grande vertu accuse Dimitri d’avoir « commis des violences psychologiques à [son] encontre, utilisant le chantage émotionnel pour obtenir un avantage sexuel ». Et là, le clou de l’opération de chantage :

« Je suis actuellement en traitement psychologique et psychiatrique pour faire face à cette situation. Ma vie n’est plus la même. »

Il faudrait peut-être que dans les écoles de football on apprenne aux futurs pros non seulement la technique, la tactique et le physique, mais aussi le sexuel, car avec leur petit cerveau et leur gros compte bancaire, ils se font tous ou presque arnaquer par des professionnelles du chantage. Mais quand on a 25 ans, qu’on gagne 300 000 euros par mois, que les 15-25 vous assaillent en boîte avec des arguments de feu et qu’on a la tête dans le protoxyde d’azote, on comprend que le barrage puisse parfois céder.

La solution espagnole