Je viens de lire ce livre.
Je l’ai lu quasi d’une traite, en 4 heures disons. Il m’a intéressé, fait tourner les pages, donc je ne le chicane pas.
Naulleau marque des points de la page 166 à la page 176. Soral va trop loin avec l’affaire Mérah et le 11 septembre, c’est too much. Et ce genre de jusqu’auboutisme ne peut que polluer le reste de son discours, qui lui, tient bien la route. Il doit se méfier avec ça.
Sinon, AS s’en sort bien sur l’affaire - centrale - de la Shoah (malgré un discours forcément limité par la Loi Gayssot) et là c’est Naulleau qui passe pour un naïf et/ou un hypocrite.
Finalement les deux sont bons, et jouent leur partition. Soral m’a fait quelquefois jubiler par sa franchise, sa verdeur et son humour, et Naulleau est arrivé à me fait sourire aussi une ou deux fois, malgré un peu d’enfumage... Et la plupart du temps, Naulleau - finalement plus fin qu’il n’y parait pour un grobobo - accepte les arguments de Soral.
Bref, un ouvrage à recommander ! à conseiller pour ceux qui veulent faire connaître Soral sans trop se mouiller (lol).
Ca se lit bien, et ça fait un bon cadeau de Noel par exemple.