Deux images ont fait le tour du monde cette semaine : Poutine qui prête serment pour son 5e mandat, et le flamboyant couple Macron qui reçoit les Xi. Notez l’attitude de Xi qui néglige la main tendue de Macron, et ensuite qui regarde ailleurs en la lui serrant...

La première Dame avait l’air très en formes, le monde entier n’avait d’yeux que pour sa fabuleuse poitrine, que bien des mères de famille lui envient.

Après ce choc visuel, les Xi ont reçu une pluie froide en cadeau.

Pire que la pluie froide, la présence de l’ordure Leyen, qui trahit et pille l’UE au profit des USA, et qui n’a rien à faire dans notre pays. C’est la patronne directe de Macron, qui impose ses vues à 66 millions de Français alors qu’on n’a jamais voté pour cette méprisable personne.

Pour la petite histoire, Macron n’a rien obtenu de Xi quant au soutien de la Chine à la Russie et sur les échanges Chine-France, donc zéro sur toute la ligne. Même nanti d’une épouse magnifique, le chef de l’État français n’a aucun moyen de pression sur Xi, qui entame lui aussi, comme Poutine, un nouveau mandat.

Macron aimerait bien en enfiler un troisième, mais la Constitution ne le lui permet pas. Cela dépend de Fabius, notre grand garant de la démocratie, mais en ce moment, il s’occupe d’interdire le principe de la préférence nationale.

Un qui n’a rien contre la préférence nationale, c’est le président russe. Lui, il a compris la noblesse de la charge et l’importance des symboles du pouvoir. Quand Macron descend les Champs sur un char, tout le monde rigole ; quand Poutine passe les portes du Kremlin, c’est grandiose.

Le 8 mai, c’est la traditionnelle commémoration de la victoire des Alliés sur le nazisme, c’est-à-dire principalement celle de l’Armée rouge sur la Wehrmacht. Pour une fois, les Occidentaux ont daigné inviter les Russes.

Le président de pas-tous-les-Français a remonté les Champs et il a salué en personne les ministres et personnalités présents. Le protocole a été un peu chamboulé : Lecornu, l’homme qui veut vaincre la Russie, s’est retrouvé entre deux gonzesses.

Le pouvoir français, teinté de progressisme LGBT, n’a pas l’air d’impressionner nos ennemis russes et chinois, qui semblent se foutre en permanence de notre gueule. Nous, au niveau du peuple, on n’y peut rien, et on souffre en silence. De temps en temps, quand ça va trop loin, on essaye de prévenir les autorités que nous devenons la risée du monde, mais elles n’ont pas l’air de comprendre. Mettre en avant les minorités, c’est sympa, mais en géopolitique, ça perd à tous les coups.
La LGBTisation des esprits est en marche, il y a même des apparts LGBT maintenant :

Ce qui nous chagrine le plus, avec Macron, c’est qu’un jour il dit qu’il faut attaquer les Russes, alors on se prépare mentalement à mourir pour lui, et le lendemain, il dit qu’on n’a rien contre eux, et que Poutine a le droit de rester en poste. On ne comprend plus rien.

« Nous ne sommes en guerre ni contre la Russie ni contre le peuple russe, et nous n’avons pas non plus une approche consistant à chercher un changement de régime à Moscou. »

On sent que sortir cette phrase a dû lui faire mal au cul, car ce faisant, il renie toutes ses déclarations bellicistes passées. Xi lui aurait-il tordu le bras ?

Au moins, avec Poutine et Xi, on sait où on va, les Russes et les Chinois savent où ils vont. Comme les Français sous de Gaulle...