Un lâche qui brocarde un autre lâche, c’est amusant. J’aime bien le coup du « on ne t’a pas attendu pour savoir que Soral était confus … ». Ah bon ! Dis-nous en plus Georgie Boy, dis-nous en plus ! Personnellement je le trouve on ne peut plus clair. Il reste tout à fait envisageable que la confusion soit a minima le fait de certains auditeurs. Quel bal de faux culs !

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’tain, Alain,
Alain Soral, c’est quelqu’un qui est franc,
ce n’est pas les putes de la télé qui ne sont que mensonges et abrutissement
il te répond
il t’envoie chier
et c’est cool
il est souvent de mauvaise humeur
et c’est pour ça qu’on l’aime

il a son avis, et il te le crache à la gueule
et ça n’est pas n’importe quel avis

c’est un avis dont on prend conscience

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Platon ne craignait personne, car comme seul le logos l’intéressait, devoir reconnaître la supériorité des arguments de son débateur, non seulement ne l’effrayait nullement, mais était pour lui une occasion de progresser.

N’est pas Platon qui veut.

> Quel homme de pensée et d’action français sera suffisamment fort philosophiquement, armé culturellement, droit dans son courage, et pur dans son intention de redonner vie à la France, pour étre capable de mettre à profit toute idée, tout fait, et tout débat pour construire le chemin qui sortira la France de la mort ?

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François Birgorneau et sa coquille : la bourgeoisie. Parlez de la radicalité pour ensuite déclarer, avec des gestes souples et nonchalants : "Nan mais je peux pas me permettre d’aller trop loin, parce qu’après ça devient compliqué, vous comprenez".

Oui on comprend Bigorneau. On comprend que la vie est dure. Surtout pour ceux qui travaillent, et ceux qui se mouillent. On comprend que la théorie se dégonfle devant l’expérience.

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Ce n’est pas très digne et intègre ce revirement François.
Après « Dialogues désaccordés », voici « Dialogues décrédibilisés »
Quel gâchis de passer à côté d’une vidéo à six millions de vues !

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C’est dingue qui nous prennent et prennent les millions de lecteurs de Soral et d’ER pour des tarés immatures ou des cons ! Il ne sait pas qu’il a au moins trente ans de retard, le garçon Bigodo ? Si c’est pas plutôt quarante et les manifs lycéennes ? Qu’il se regonfle et vienne débattre avec Alain, qui a quelques années de bouteille de plus que lui et était marxiste convaincu quand lui en était au Chupa Chup’s. Et qu’il se donne l’immense peine de creuser le sujet Qui ?, s’il veut bien suivre le conseil de je ne sais plus quel rabbin US qui avait répondu à un journaliste que "Si vous voulez comprendre l’histoire occidentale depuis 3000 ans sans connaître l’histoire des juifs, vous ne comprendrez jamais rien."

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Pas franchement surpris de ce volte-face de François Bigoudi.
Sinon le Tabibian ferait bien de reprendre des cours de français, j’ai craqué au bout de 43 secondes chrono de sa vaniteuse logorrhée.

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Begaudeau passe son temps a se trouver des excuses bidons pour ne surtout pas debattre avec Soral du seul fait qu "on ne debat pas avec le fachisme", hors Begaudeau n ignore pas que la technique de l edredon est un echec patant, preuve en est des scores reguliers du FN/RN... Donc c est un pretexte pourrave invoque par ceux qui, dans le cadre du debat, savent qu ils vont prendre une decullotee !
Naulleau a clairement servi d exemples aux pantouflards de la pensee et de l ecriture et Begaudeau n a pas la memoire courte ! Il sait que le debat avait tourne a l avantage de Soral et que Naulleau l avait paye cher dans la foulee, devant multiplier les actes de soumissions et excuses a peine voilees pour esperer revenir ! Begaudeau est bien trop attache a son petit statut pour le risquer plus que de raison au nom de "ses idees" mais de surcroit il sait bien que face a Soral il risque fort de finir demonter ! Si Begaudeau etait convaincu par ses idees et capacites il n hesiterait pas ne serait ce que pour en finir avec Soral... Peine perdue Begaudeau a toujours ete dans l esquive et la mauvaise foi et le restera pour les raisons suscitees !

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Begaudeau est un mystère pour la science : un ado de 14 ans dans le corps d’un homme de 50.

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Pour avoir échangé avec lui en privé sur Facebook - à l’époque où j’avais encore Facebook - ce type m’avait frappé par sa façon de systématiquement revenir à ses réflexes professoraux quand je lui disais préférer les notions concrètes à celles de "gauche" et de "droite", qui sont celles qui lui tiennent particulièrement à cœur. "Vous jargonnez", "vous êtes confus", etc. Alors qu’il me semblait que les notions de "nationalisme" ou de "libéralisme" étaient des notions infiniment plus précises, plus concrètes, que celles d’une "gauche" non définie, par exemple.

Cet échange, qui a eu lieu quelques mois avant la sortie de Notre joie, a été aussi l’occasion pour moi de confirmer qu’il y a, effectivement, chez lui, une sorte de curiosité - que je pense être superficielle - pour l’animal extrême-droitard ; un peu à l’instar du visiteur du zoo venu observer, en toute sécurité, derrière la vitre blindée, la faune exotique. Et tant qu’il y aura une vitre, il y aura une curiosité.

Tout ça pour dire que ces gens-là - ces Le Bolloc’h, ces Tabibian et autres gauchistes faux cools - n’auraient, de toute façon, pas le courage de débattre face à Soral, même s’ils y étaient autorisés. Et quand bien-même leur curiosité frôlerait l’érotomanie - ce que je n’exclus pas chez Bégaudeau -, la pleutrerie reste un ancrage solide.

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