C’est la réflexion profonde qui nous est venue en matant – en toute innocence – une série de photos d’actrices américaines anorexiques, une réaction probable, même si pas très saine, à l’obésité qui règne là-bas. Une curiosité malsaine de notre part, mais qui a été récompensée : l’actrice US, surtout vue en vrai, est très surévaluée. À côté, dans notre quartier, on trouve 10 Françaises mieux foutues, plus jolies, et on ne parle pas de l’intellect.

Katie à 9h45, Katie à 21h12

Regardez Katie Holmes, l’ex de Tom Cruise (recasée un temps avec Jamie Foxx), ou Renée Zellweger, la célibataire du Journal de Bridget Jones, le film le plus apprécié dans le monde par les femmes (eh oui) avec 4 Mariages et un enterrement, l’histoire d’une célibataire qui foire tous ses plans amoureux.

La bombe latino Jennifer Lopez, qui va sur ses 50 balais, est aussi très bien travaillée par son armée de coiffeuses maquilleuses. La beauté est un travail quotidien. Mais aussi une affaire d’image : l’image compte désormais plus que le réel, sachant que dans les films, les corrections numériques sont devenues une habitude. Cela augmente la facture générale, mais c’est une exigence de star, qui recule ainsi sa date de péremption.

Femme de ménage à gauche, bombe sexuelle à droite

Dans l’un de ses derniers films, l’actrice française Isabelle Adjani a englouti une partie de ses émoluments dans les retouches numériques. Du coup, la vérité d’un visage, ou d’un corps, compte moins qu’avant. Les stars ne se montrant plus au milieu des gens (et pour cause), cela permet d’aller plus loin encore dans le décalage entre le réel et l’image. Notez que ce n’est pas le problème des actrices qui ne jouent pas sur leur physique : Yolande Moreau, Corinne Masiero...

On va pas toutes les mettre – les photos – mais l’évolution technologique risque de faire disparaître l’actrice « belle » pour la remplacer par une création numérique. Aujourd’hui, le rapport entre le réel et le non-réel dans l’image d’une actrice doit être dans les 80/20, mais ça risque de basculer assez rapidement, pour se retrouver avec du 50/50, voire du 20/80. Jusqu’à l’actrice éternelle, qui ne grossit ni ne vieillit.

Oui mais celle-là, elle ne suce pas ! Le propos est certes brutal, mais il exprime une autre réalité : les réalisateurs et les producteurs veulent de la chair. On ne couche pas avec une image numérique, on ne bande pas pour un gif ou un flash. On le voit avec Final Fantasy : Les Créatures de l’esprit, un exploit technologique sorti (pour son malheur) le 15 août 2001, un film d’animation japonais dans lequel les infographistes s’étaient arrachés les cheveux pour rendre la chevelure de l’héroïne réaliste. Pour cela, il avait fallu recréer les ondulations réalistes de 200 000 fibres.

Pour en revenir au sujet initial, à savoir la guerre USA/France en gonzesses, l’avantage de la France c’est que notre pays d’assimilation produit tous les types de femmes possibles, de la Noire à la Blanche en passant par la Nordique et la Méditerranéenne, sans oublier les mélanges intermédiaires, ce qui fait que les mecs disposent d’un choix très étendu et qu’il y en a pour tous les goûts. Et comme la France a toujours bien traité ses femmes – merci Marie – eh bien c’est le meilleur pays du monde pour elles. Les féministes qui trouvent que c’est pas encore assez peuvent aller en Arabie saoudite pour gueuler leur révolte. Il faut raison garder.

Alors bien sûr, on va dire et les pays scandinaves, où elles sont quasiment les reines ? Oui mais là y a maldonne : trop de pouvoir aux femmes ça provoque une augmentation du nombre de puceaux et de pédés. Pour résumer, le féminisme ça mène aux Femen et les Femen au suicide. Personnel et civilisationnel.
Dans la nature c’est pareil : si on éradique le renard, le lapin pullule, et il n’a plus aucune valeur, il devient mou et con. C’est la présence du renard qui rend le lapin agile, vigilant, et qui lui assure une chair succulente.

Floria

Regardez la beauté de cette athlète française, Floria Gueï, dans tous les compartiments du jeu :