Si les salariés et les employeurs (enfin, les employeurs, les "vrais" patrons, car il y a des patrons remarquables, lorsqu’ils assument leurs responsabilités et risquent leurs sous, au contraire de ces pseudo-patrons-cadres-larbins surpayés et protégés par un mandat social rédigé à Chicago et un contrat de travail cumulatifs et abusifs, ces ordures américanisées, voulaient bien pour une fois se donner la main !
Il est évident qu’ils ont un ennemi commun : le financier américain. l’être le plus abominable et le plus nuisible que la terre ait jamais porté.
Entrer dans une logique de "lutte des classes" marxiste n’a aujourd’hui aucun sens. Dépassé. Que les classes sociales d’une nation s’unissent contre les traîtres en leur rang (les cadres larbins) et les financiers cosmopolites et multiculturels (parce qu’en plus ils se disent plus cultivés que leurs ouvriers !). Voilà le programme ! Vive l’ouvrier et vive le patron, unis contre les rats.
Qu’ils s’unissent donc en France (l’Europe suivra) pour lutter contre ce monstre, ce mutant sorti d’un film d’horreur (américain, évidemment) en anéantissant en passant la culture de l’horreur et de l’assassinat par drones véhiculée par le pentagone, au service de financiers de Wall-Street.