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Pendant que Macron exhibe ses médailles, les Français crèvent aux urgences

On ne pouvait pas faire pire dans le genre concomitance symbolique. Après la cérémonie de clôture des JO, voici celle des hostos.

 

Pendant que Macron flanqué de sa cour LGBT se félicitait de ses 50 médailles gagnées personnellement, et qu’il en donnait quand même une, pas chien, en or, à tous les Français, comme on leur jette un os, des Français lambda crevaient au CHU de Nantes, dans l’indifférence oligarchique, tout au plus un bâillement, après avoir agonisé pendant parfois 50 heures dans un service en manque de moyens, de soignants et de considération politique.

C’est ça, la France derrière le village Potemkine des Jeux oligarchiques de Macron et ses amis les stars, ce syndicat international du woke et du grotesque, du crachat à la gueule du peuple, qui bosse, qui se fait ratisser et qui doit en plus applaudir les crachats des pseudo-dominants. Le message est clair, non ? La vie, c’est pour nous ; la mort, c’est pour vous.

 

 

Politique de prestige pour les uns, réalité humiliante pour les autres

Pendant ce temps, le temps des autosatisfecits et du casting d’un Premier ministre lèche-cul, avec Pécresse en testing national (on fait fuiter l’option et on note la réaction des réseaux sociaux), on continue à crever en silence dans les services d’urgences de tout le pays. Pour l’instant, les morts par assassinat ultralibéral ne sont pas comptés, comme les victimes du covidisme dans les Ehpad au printemps 2020, sacrifiées par le politique pour faire de la grippe saisonnière une pandémie mortelle et vendre ensuite du crédit social et du faux vaccin.

 

 

Au moment où les trous du cul de Libé titraient sur la nécessaire analisation du pays, on se demande bien sous l’influence de qui, Le Figaro alertait sur l’élimination des malades, généralement pauvres.

Nouveau signal d’alarme au CHU de Nantes. Les conditions d’accueil des patients au sein des urgences du centre médical sont pointées du doigt à la suite d’une série d’incidents qui a provoqué le malaise au sein du personnel soignant de l’établissement public, déjà acculé par la fermeture de nombreux lits. Quatre patients seraient décédés aux urgences en trois semaines, entre fin juillet et début août. Une de ces personnes, âgée de 72 ans, aurait été retrouvée morte dans la nuit du 2 au 3 août, après 10 heures d’attente sur un brancard. Un autre malade serait décédé après avoir attendu 50 heures que l’on s’occupe de lui.

Le temps moyen officiel d’attente pour une prise en charge d’un malade sur brancard est de 12 heures. Selon la CGT, qui fait remonter les infos du terrain, ce serait plutôt 48 heures. Il faudra donc apprendre à survivre à la fois à la maladie et à l’ultralibéralisme. L’article se termine sur une très symbolique comparaison :

« La dépollution imparfaite de la Seine a coûté 1,4 milliard d’euros. Vous imaginez ce que l’on aurait pu faire avec cette somme au sein de l’hôpital public ? »

Partout, l’effondrement des services publics envoie un signal sombre aux Français, qui résonne avec celui de la cérémonie de clôture des JO. Quand on n’entretient plus les canadairs, les incendies s’en donnent à cœur joie.
Les canadairs, ce sont nos services publics.
Les incendiaires, ce sont les mondialistes à la barre.

 

 

Le couple Brigitte-Manu, c’est Catherine II qui descend la Volga en 1787, ou la Seine en 2024...

Les assassins de la santé

 






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