« Tout ce qui est excessif est insignifiant »

L’alliance entre la NUPES et LFI n’a pas tenu longtemps : Olivier Faure veut sauver le PS de la prédation mélenchonniste et les écolos ont élu une dirigeante relativement radicale, par rapport à Jadot.

Avant de passer à la gauche Boyard, illustration de la fracture PS-LFI par le patron du PS, qui répond au Point du 15 décembre 2022 :

Du côté du parti de Jean-Luc, désormais repris en main par Bompard, la fracture est provoquée par les féministes, qui jouent objectivement contre leur camp en grossissant à dessein l’affaire Quatennens, qui, on le rappelle, se résume à une gifle.

Pour rassembler cette gauche désunie qui court à l’anéantissement, ce qui sert bien la Macronie, il reste un seul moyen : réactiver l’antifascisme. La manip incombe à l’idiot de service, le jeune Louis Boyard, qui se sacrifie – sans le savoir – en mentant sur toute la ligne.

Si on l’écoute, c’est déjà la guerre civile menée par les milices fascistes qui ont du sang sur les mains, et c’est Marine qui organise tout cela. Du pur délire qui montre le niveau dramatique, carrément lycéen, de la pensée de gauche.

Les milices de gauche protégées par le renseignement, elles, peuvent dormir tranquilles : tant que leurs exactions serviront le pouvoir profond, la justice fermera les yeux.

Dans un bel ensemble, des élus NUPES ont pris prétexte de la chaude nuit qui a suivi le match Maroc/France pour parler de « ratonnades » et « d’expéditions punitives » qui seraient menées par « l’extrême droite », oubliant de relever les exactions quotidiennes des racailles qui, elles, sont protégées par la gauche qui puise dans les banlieues son dernier réservoir de voix.

Une situation idéologique et morale intenable qui lamine la gauche sur le long terme, pour le plus grand bénéfice de la Banque. De ce côté-ci de l’échiquier politique, il n’y a plus rien à craindre. C’est du côté de la droite nationale, puisqu’il n’y a plus de gauche nationale depuis la destruction du communisme français, qu’il faut chercher la résistance au Système, et c’est logiquement là que la répression d’État s’abat.

Une répression appelée de ses vœux par tout l’arc gauchiste complice de la ratonnade antifrançaise, on en veut pour preuve cette sortie de Marine Tondelier, la nouvelle boss des Verts qui se soucie plus de Zemmour que de la paysannerie :

« Dites, Éric Zemmour et Jordan Bardella qui depuis 3 jours annonciez que ça allait dégénérer hier pour France-Maroc… Vous ne nous aviez pas dit que vous parliez de vos alliés identitaires de l’ultra-droite qui préparaient des ratonnades à l’ancienne… Des multirécidivistes en plus… »

Même affaissement politique du côté d’Éric Bompard, qui annonce que « la stratégie » de l’extrême droite « est claire : déclencher la guerre civile pour prendre le pouvoir ». Comme en Allemagne avec les trois pelés et deux nazis tondus manipulés par le renseignement ?

Pour dire la perdition totale de cette gauche collaboratrice, ce titre du HuffPost suffit :

Pour Aurélien Taché, elles sont connues. « Cela fait des semaines avec mon groupe que nous interpellons le gouvernement sur la nécessité de dissoudre ces groupes, ce n’est jamais fait », déplore le parlementaire du Val-d’Oise en pointant, même, une forme de « silence ou de complicité passive du gouvernement et des autorités » : « On a les zouaves à Paris, le GUD qui s’est reformé, à Lyon on les connaît parfaitement… Et les préfectures laissent faire. » (HuffPost)

Aurélien, cette vigie antifasciste, s’est distingué dernièrement en montrant tout son respect des autres :