l’idée de "libérer" une moitié de l’humanité contre l’autre est parfaitement inepte à la base... l’homme et la femme sont liés par un rapport dialectique au sein de l’espèce...

Cela ne doit certes pas nous conduire à avoir une vision figée et bêtement réactionnaire des rôles... mais enfin, tomber dans l’excès inverse n’est pas mieux... la biologie de l’espèce est ainsi faite, et c’est à nous d’apprendre à en "jouer" le mieux.

Le fait que quelques féministes "mères supérieures" soient misandres n’est pas un problème en soi... elles font partie de la diversité naturelle, et peuvent s’amuser entre elles... le problème c’est qu’elles tyrannisent aujourd’hui plein de petites nénettes qui seraient super heureuses avec un homme. Il faut conjuguer le respect des minorités et la souveraineté de la grande majorité.

Il me semble que la position russe est la bonne actuellement : dépénaliser l’homosexualité (afin de laisser libres les quelques homosexuel-le-s), mais interdire la propagande (afin de ne pas entraver la société). Cette position d’équilibre, sainement libérale, fut d’ailleurs la position de la France depuis 1791, et tout au long des 19e et 20e siècle (où c’était quand même pas le bordel) avant l’arrivée des lgbt puis néoféministes dans les années 1980.

Répondre à ce message

Les féministes radicales sont des hommasses qui passent leur temps à reprocher aux hommes le peu de féminité qu’il leur reste.

Répondre à ce message

De toute façon, à partir du moment où on laisse des lesbiennes hystériques (car le "féminisme" 2.0 est à leurs mains) décider de ce que doit être la condition de la femme et de ses relations avec l’homme, ça ne peut que mal se passer, soyons clairs...

Répondre à ce message

Le niveau de finesse conceptuelle de cette analyse la place hors de portée de 95% des feministes a qui elle est destinée.
Mais on peut la résumer en 3 mots : Jesus a raison.

Répondre à ce message

Cette fille a raison sur certains points mais elle exagère le trauma généré par le féminisme. Le féminisme, c’est comme le syndicalisme, ce fût très utile à une époque pour lutter contre certains abus et rééquilibrer les choses.
Aujourd’hui, il y a les congés payés, les enfants ne travaillent plus et les femmes ont les mêmes droits que les hommes, si elles le veulent.
Il y a des femmes PDG, chirurgiennes, ...et d’autres qui font le choix de ne pas travailler et d’élever leurs enfants : cette liberté n’existait pas, elle existe aujourd’hui et c’est une victoire du féminisme.
Mais, comme pour le syndicalisme, le féminisme s’invente de nouveau combats ridicules pour continuer à exister...

Répondre à ce message

Cette jeune femme devrait apprendre que tu as deux sortes d idée.
Celles qui franchissent le mur de la réalité et celles qui s y fracassent.
Notre société déteste cette fichue réalité. Je dois me faire vacciner avec un vaccin qui ne fonctionne pas.Tu me forces à me vacciner alors qu’il ne fonctionne pas.
Pourtant ils me disent qu il marche.
Le féminisme me dit que j opprime les femmes car je suis un homme.C est l idée .
La réalité c est que ce sont les hommes qui doivent draguer les femmes au risque de se faire éconduire de manière plus ou moins humiliante.Si de l homme ou de la femme quelqu’un opprime l autre c est sûrement pas l homme.
L Occident est en train de sombrer à cause de 2 problèmes fondamentaux à savoir la dette et le féminisme.Si tu dépenses de l argent que tu n as pas tu sombres.
Si tu ne fais pas d enfants tu finis par disparaître en particulier face aux grandes civilisations asiatiques.Apres l’hédonisme , la vie facile vient la souffrance.
Quoi de mieux que la souffrance pour raffermir les caractères disait le Marechal Petain. Travail Famille Patrie n est plus simplement une question de bon sens mais une question de survie...

Répondre à ce message

Dans les époques et périodes de décadence (fin de l’empire romain, fin du XVIIIe siècle français, belle époque, années folles, etc.) il y a toujours une féminisation quasi-caricaturale de la société, avec des hommes qui se déguisent en femme ou copient leurs manières, leurs façons de penser. Du même coup les femmes deviennent de plus en plus revendicatrices, politiciennes, haineuses et prédatrices (suffragettes, Mme de Stael, Georges Sand, le concept de femme fatale dans les années 20-30 qui domine l’homme ; à peu pres tout ce qui se fait à Hollywood depuis 10-15 ans, etc.).

Mon hypothèse : devant tant d’hommes mous et féminisés, les femmes (inconsciemment) se rebellent, provoquent ce qu’il reste de mâles (la plupart des féministes hétéros que j’ai connus étaient toujours avec des bad boys, drogués, violents ou en rêvaient) ou veulent trahir leur nation et leur culture en jetant leur regards vers les étrangers, surtout ceux de cultures ultra patriarcales et machos. On le voit partout dans les médias : les seuls hommes qui sot attaqués par ces hyènes, ce sont les hommes blancs...plus l’homme blanc est mou, plus il doit mordre la poussière. Phénomène presque biologique en somme.

Répondre à ce message

aucun homme bien né ne se compromet avec les françaises.

Répondre à ce message

Je propose un nouveau concept aux oligarques. Lâchez nous les baskets !

Répondre à ce message

Je n’ai d’intérêt pour les filles mignonnes que si elles me sont acquises. En dehors de ce cadre, les croiser m’angoisse, les entendre m’ennuie, j’ai du mal à les prendre au sérieux et je ne parviens pas à avoir d’empathie pour elles.

Elle se dit dépressive. J’ai l’impression qu’il y a un quiproquo au sujet de la dépression, certain(e)s qualifient de dépression leur vide intérieur, d’autres au contraire qualifient de dépression leur lassitude absolue d’être les seuls à posséder une intériorité dans un monde où tout est faux. Certaines "dépressions" relèvent ainsi de l’hystérie, d’autres au contraire sont une communion avec la passion du Christ.

Répondre à ce message