À quelque chose malheur est bon. Martin Kegl, qui décrochait d’une école ne respirant guère la vie, a découvert le travail du bois à l’occasion du confinement. Et là, il a réellement commencé à apprendre quelque chose.
À quelque chose malheur est bon. Martin Kegl, qui décrochait d’une école ne respirant guère la vie, a découvert le travail du bois à l’occasion du confinement. Et là, il a réellement commencé à apprendre quelque chose.
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