@H. K. Daghlian : oui sélectives. toutes. pour le cas des "femmes reac" je dirais que c’est une façon de se signaler aux hommes. les femmes légères vont afficher leurs atouts physiques et leurs promiscuité, les Virginies Vota iront vers la partie "famille" du spectre. Au final, toutes visent les mêmes hommes : les 20% du top (en terme de génétique, de status sociale, de race, de prestige du job.. ), et elles seront impitoyables.
Ce qui suffisait autrefois ne suffit plus. On vit sur la nostalgie d’une séduction et des relations hommes / femmes idéalisées et fantasmées des années 60 ou 70, la seule période ou ca pouvait exister, à cause de conditions matérielles sérieuses (société de loisir et promiscuité MAIS status sociale inférieur des femmes causée par la part faible du tertiaire et la prédominance de l’industrie lourde).. le "boulot" d’un homme était juste "avoir un boulot" (si possible bien payé), ca suffisait pour avoir une jeune nana dans la vingtaine prête à fonder une famille.
On rétorque aussi que beaucoup d’étudiants fauchés couchent, que des artistes sans le sou armée d’une guitare aussi .. je peux vous garantir que seuls les plus beaux y arrivent. Si vous demandez à une femme la dernière fois qu’elle a aperçue un homme qui lui plait dans la rue elle aura du mal à s’en rappeler.. là ou un homme pourrait voir 50 filles désirables sur son seul trajet de métro du matin.
Aujourd’hui les femmes n’ont plus besoin d’hommes. il ne reste que role d’amant (avec le prérequis physique) ou du grand bourgeois (critère financier évident).. il est juste impossible pour elles d’être amoureuses d’un mec de leurs status ou du même niveau physique.. sauf si elles n’ont pas le choix (à notre époque, ca correspond à une femme avec un physique franchement ingrat, un age très avancé ou une obésité morbide).
On a raison de parler de "marché de la séduction" désormais. qui dit marché dit phénomène de concentration.
la seule façon de jouer encore au séducteur pour un mec lambda est de le faire dans des pays ou il existe encore un écart important en terme de status entre les hommes et les femmes . ; allié à un certain conservatisme religieux qui pousserait les femmes à se marier très tot (on peut remarquer d’ailleurs que Virginie Vota, toute passionnée qu’elle soit par la famille, n’est pas mariée. un peu comme les françaises féministes de son age).