Si Airbus a des problèmes de rentabilité, ça n’a rien à voir avec le covid19.

Les airbus ne se commandent pas d’un mois sur l’autre.

Parce que vous croyez que beaucoup de gens mènent grand train, sans blague ?! Après, si c’est votre truc, grand bien vous fasse mais j’ai l’impression que votre côté collectiviste vous amène à ne pouvoir vous empêcher de souhaiter le même régime pour tous que celui qui a vos faveurs (et encore, tout ça, ce ne sont que des mots).

Exact . Souvenons nous du grand JJ Rousseau : " Les plaisirs qui s’achètent ne sont pas de bonne qualité " . Ca fout en l’air toute notre grotesque société de consommation .

En effet @gégé, et donc continuons de voter car ils vont nous aider à y aller plus vite comme ils n’ont eu de cesse de le faire jusqu’à présent !!! Tout ce qui se passe est très bien en fait ! Je serais assez d’avis, histoire de tester la chose pour convaincre d’éventuels indécis un poil récalcitrants, de désigner des cobayes chez qui on forcerait les doses de ce traitement en les contraignant au maximum à la sobriété (et parallèlement en les faisant travailler de plus en plus pour des rémunérations de plus en plus réduites, cela va de soi !), et après ça on aviserait.
P.S : vous devriez aller chanter votre petite ritournelle aux caisses de certaines enseignes alimentaires à des gens qui ont du mal à boucler les fins de mois alors qu’ils ne se permettent rien de superflu, et venir nous faire ensuite un retour d’expérience.

Awrassi, vivre chichement, quelle horreur, mon cher ! Pour moi, c’est une expression, un luxe, une vue de l’esprit que peut se permettre une certaine bourgeoisie. C’est un cache-misère pour une personne qui en a été, qui ne sait pas être un pauvre et qui tombe dans une relative misère. Il conserve certains artifices de l’art de vivre de son milieu, de sa culture qui le sauve de la misère absolue tant qu’il ne dépasse pas la ligne rouge (parce-que sanglante) de l’entre-soi, même non conscient, de la classe dominante.

Awrassi, vivre chichement, quelle horreur, mon cher ! Pour moi, c’est une expression, un luxe, une vue de l’esprit que peut se permettre une certaine bourgeoisie. C’est un cache-misère pour une personne qui l’a été, qui ne sait pas être un pauvre et qui tombe dans une relative misère. Il conserve certains artifices de l’art de vivre de son milieu, de sa culture qui le sauve de la misère absolue tant qu’il ne dépasse pas la ligne rouge (parce-que sanglante) de l’entre-soi, même non conscient, de la classe dominante.