Le Petit Dictateur, c’est Emmanuel Macron, élu en 2017 par 66 % des électeurs au second tour, après un premier tour à 24 % extrêmement controversé, question chiffres. Mais il est trop tard pour revenir sur ce sujet hautement sensible. Quatre ans plus tard, après avoir utilisé Buzyn pour flinguer le soin français en général et le Pr Raoult en particulier, Macron utilise Olivier Véran, un apparatchik néolibéral aussi ambitieux qu’agressif et méprisant, pour briser la santé mentale et physique des Français, qui ont du mal à comprendre encore pourquoi on les traite de la sorte.
Depuis deux ans, ces barbares tentent de nous faire croire que la grippe saisonnière est devenue une pandémie ultramortelle, et qu’il faut, pour se protéger, se faire vacciner un nombre incalculable de fois. Évidemment, tout est faux : il s’agit pour le pouvoir politique de retrouver une légitimité, par la force s’il le faut ; pour le pouvoir médical de retrouver une autorité perdue sur les Français qui ont choisi la prévention et l’automédication ; et pour le pouvoir médiatique d’échapper à l’immense remise en cause de la net-information horizontale.
C’est pourquoi le discours de ces imposteurs se durcit de jour en jour, sous la pression de leurs sponsors qui sont, on le rappelle, le Big Pharma (qui vend du faux vaccin à prix d’or à des gouvernements corrompus qui s’endettent et nous font payer la note), le Big Tech, qui profite de la destruction du soin public (hôpital, médecin de ville soignant, et on souligne soignant, ce qui a été interdit par Buzyn au printemps 2020), et qui veut rafler les data personnelles de santé pour la privatiser à mort, et la Big Bank qui tient les gouvernements essorés avec la dette, les anciens disaient l’usure.
Il est donc logique, devant la résistance des peuples, même s’il ne s’agit que de 10 ou 20 % des gens, que le pouvoir durcisse sa position et essaye de punir les non-vaccinés, de les désocialiser et de les désigner à la vindicte populaire comme les responsables d’une pandémie fabriquée de A à Z. Ça marche si mal qu’il faut mentir chaque jour, et chaque jour de plus en plus, afin que le pékin moyen croie à la version dominante, la version hurlée dans ses oreilles. Les médias mainstream, qui dépendent de l’État, soit économiquement soit politiquement, s’alignent et font le sale boulot de relais des ordres de la Kommandantur.
Le gestapiste du vaccin parle aux non-vaccinés
C’est donc tout logiquement qu’on retrouve le sous-dictateur Véran sur France Inter, sans aucune contradiction majeure, pour délivrer son message de haine à l’encontre des résistants, ne voyant même pas qu’il est dans la peau du Boche en 1942. Écoutons maintenant ce que la Gestapo sanitaire a à nous dire, avec la question de la pseudo-journaliste bigpharmatisée qui fait honte à son métier :
Corrompu : « Les patients qui sont en réanimation qui ne sont pas vaccinés pour certains d’entre eux continuent d’assumer leur choix préalable de ne pas se faire vacciner, considérant qu’ils ont pris moins de risques. C’est faux, c’est faux, et au bout du compte, avec des vagues qui se succèdent, delta puis maintenant omicron, on ne peut pas continuer à considérer que ce choix de ne pas se faire vacciner serait un choix qui n’aurait pas de conséquences. »
Collabo : « Mais pourquoi ne pas aller jusqu’à la vaccination obligatoire puisque les Allemands vont le faire, là, dans les mois qui viennent ? Pourquoi nous on n’y va pas, jusque-là ? »
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— France Inter (@franceinter) December 18, 2021
Le service public au service du Big Pharma
La question que l’on se pose : pourquoi France Inter oppose-t-elle une collabo à un Véran qui fait finalement son job de VRP du Big Pharma ?
Cela ne sert à rien d’avoir deux avis identiques : une interview sert à quelque chose quand on pose des questions non complaisantes à un invité, par exemple pour le coincer dans ses approximations, voire mensonges. On ne dit pas que Véran ment, puisqu’il est cohérent avec les choix mondialistes dictés par les grandes entités sus-citées. Mais il serait facile de lui opposer les médecins traitants en hôpital qui voient passer la moitié au moins de personnes doublement vaccinées, et atteintes de la grippe, comme chaque année d’ailleurs, une grippe qu’on peut appeler delta, omicron ou saisonnière, ce n’est pas le problème.
Si France Inter fait interviewer un vaccinateur ultra par une collabo du vaccin, on ne peut rien apprendre d’autre que le dépliant gouvernemental de propagande, mâtiné de menaces, du genre « on va pourrir la vie des non-vaccinés », ce à quoi des millions de Français se préparent, beaucoup étant prêts à prendre le maquis contre l’Occupant. L’Occupant ? C’est la clique mondialiste antifrançaise qui a mis la main sur l’État, et qui s’en sert pour déprotéger les Français, briser leur moral, détruire leurs services publics, les asservir et les punir économiquement (dette, inflation, fisc, chômage).
Quand nos syndicats dits de gauche auront compris ça, ils se sortiront les doigts du cul, même s’ils sont bien au chaud.
Corrompu : « La transformation du pass sanitaire en pass vaccinal doit nous permettre d’éviter d’interrompre les activités du quotidien pour les 90 %, les 91 % de Français qui sont déjà vaccinés. »
Collabo : « Mais précisément, comment seraient sanctionnés le non-respect d’une vaccination qui deviendrait quasi obligatoire, par une amende, par exemple ? »
Corrompu : « Vous ne pouvez pas accéder à des établissements ? Vous ne pouvez pas aller dans un bar, dans un restaurant, dans un cinéma, dans un théâtre... »
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Ensuite, le corrompu annonce au collabo qu’il faudra un pass sanitaire pour aller travailler dans son entreprise, ce qui va naturellement favoriser le travail à distance, puis la dislocation des collectifs, sans oublier la surveillance via les GAFAM.
Corrompu : « Se poser la question d’un pass non pas vaccinal cette fois-ci mais sanitaire pour aller travailler, est une question légitime »
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Finalement, le sous-dictateur VRP du Big Pharma craque et arrête de tourner autour du pot :
Corrompu : « C’est simple, c’est clair, c’est limpide, c’est assumé, nous voulons que les Français se fassent vacciner. »
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Pour nous aussi c’est simple, c’est clair, c’est limpide, c’est assumé, nous voulons que les Français résistent à ces fous et reprennent leur liberté. Le sous-dictateur VRP du Big Pharma termine sur une menace, qui aura des conséquences sur le long terme, et là on parle pour les enfants des parents intoxiqués, pas forcément (encore) d’épuration.
Collabo : « Un mot sur la vaccination des enfants, parce que la France, elle semble un peu à la traîne face à l’Espagne qui est en pointe dans ce sujet, l’Italie, le Portugal vont emboîter le pas, pourquoi est-ce que la France paraît plus frileuse sur le sujet de la vaccination des 5-11 ans ? »
Corrompu : « Si tout va bien, le 22 décembre après-midi, nous démarrerons la vaccination des enfants dans les centres adaptés pour les enfants. »
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Précisons à ce stade de la scélératesse que le 22 décembre 2021, c’est le jour où le Comité d’orientation pour la stratégie vaccinale du Pr Fischer, lié à la nébuleuse Rothschild, rendra ses conclusions. C’est du complotisme ? C’est Véran et la fondation Edmond de Rothschild qui le disent.
Qui sont les collabos de France Inter qui font honneur à la profession de valet ?
Carine Bécard et Éric Delvaux sont deux grands valets qui se sont substitués aux deux journalistes qui auraient dû être en charge de l’émission L’Invité du week-end. Malheureusement, les ordres venant d’en haut, les deux vrais journalistes ont été remplacés par deux valets, c’est plus sûr, y a moins de risque de question pénible, d’hésitation, et de tirage d’oreille après l’émission.
Quels conseils donneriez-vous aux promotions actuelles de l’IFP ?
D’aimer le journalisme follement, de ne vivre que pour ça. Sinon on n’arrive pas à tenir. Il faut que ce soit ancré très profondément, que ce soit une passion viscérale. Il faut avoir une curiosité complètement dingue, savoir se faire repérer, avoir une demi-seconde d’avance sur l’actualité. Il faut aussi savoir faire des compromis. Reconnaître que l’on est hyper-chanceux, de pouvoir aller dans des endroits où tout le monde rêve d’aller. Le journalisme c’est aussi travailler en sachant qu’on ne plaît pas à tout le monde. Dernier conseil : connaître son objectif de qualité, et accepter de se battre.
Savoir faire des compromis, surtout avec les mondialistes qui veulent piquer nos gosses pour en faire de la chair à data, ça gâche pas un peu le CDI, Carine ?