La soit-disant "peur" qu’on les gens est en réalité une angoisse dans la plupart des cas : la peur originale étant réprimée. Car une émotion n’est jamais que temporaire si elle est consciemment explorée. La "litanie contre la peur" de Franck Herbert dans Dune, c’était pas de la crotte. Après, l’inquiétude est un sentiment, qui est donc durable.
On ne peut convaincre un angoissé que sa peur est injustifiée qu’en lui donnant un mobile au moins aussi grand que la peur originale. Par exemple une peur plus grande. Pas en lui donnant les meilleures explications du monde.
La peur du pseudo-vaccin par exemple, pourrait être bien plus efficace pour forcer les gens à résoudre leur angoisse, surtout qu’elle est (pour l’instant) une décision qui est entre les mains des gens, pas une menace qui se résout au final par le manque de bol qu’on ne peut, dans la tête des gens, que mitiger par des mesures "sanitaires" sans feedback personnel sur leur efficacité.
Au fur et à mesure que les gens verront leurs enfants mourir ou tomber malade à cause de leurs piqûres, il y viendront de toute façon, par la colère. Essayons de faire en sorte qu’ils changent d’avis avant. Mais c’est pas gagné.
Tristement, les Darwin Awards risquent d’être nombreux dans les années à venir…
À part ça, proposez aux gens de poser ces trois simples questions à leur généraliste, à l’occasion : Combien de morts du COVID vous avez vues au total ? Combien de morts de la grippe depuis le début de la crise ?
Une expérience personnelle, ou même celle des gens qu’on connait et respecte personnellement est bien plus puissante émotionnellement que toutes les stats nationales.
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