L’œuvre méthodique d’extermination du peuple palestinien, massacre en direct contre des civils, en majorité des enfants, se poursuit au vu et au su du monde ; monde officiel, qui approuve en hochant gravement de la tête, monde réel qui serre les poings de douleur et de colère.
Sur Gaza comme pour l’économie la Terre est fracturée en deux plaques tectoniques : d’un côté les peuples aux mains calleuses, de l’autre leurs élites plaquées or, et pourries jusqu’à la moelle des os.
En France, tout particulièrement, par la voix de son Président qui a soutenu dès le début cette bestialité, « notre » gouvernement s’est marqué comme un des parrains des tueurs israéliens.
Cet infect gouvernement et ses valets se flattent d’avoir répudié toute espèce de patriotisme, de colonialisme, de préférence nationale, comme étroitesses d’esprit et honteuses survivances du passé : pourtant ils approuvent la fureur nationale de l’État juif, applaudissent des quatre mains au colonialisme israélien, acclament en gueulant la préférence raciale sur les rives du Jourdain !
Habituellement si prompt à parler de crime contre l’humanité, quand il s’agit de justifier des interventions dites humanitaires de pays souverains, de tolérance et de liberté quand il s’agit de faire passer des lois dégoûtantes qui insultent à la dignité humaine, ce régime du Pacte de Misère et de la pseudo-théorie du Genre, par sa complicité, est responsable et coupable.
Autant responsable et coupable que la majorité des régimes arabes et de la Ligue arabe, des poussahs Saoud et Qatarii, auxquels d’ailleurs ils vendent le patrimoine français.
En vérité ce gouvernement est responsable et coupable, il est couvert de sang. Assassin en Syrie, il patauge aujourd’hui complaisamment dans les charniers de Gaza.
Supporter le joug de ce pouvoir archi-minoritaire est la honte des hontes.
La tâche urgente de l’heure est de le renverser.
Car c’est un gouvernement de guerre civile.
Il est actuellement en train de faire passer depuis lundi une avalanche de mesures toutes plus meurtrières les unes que les autres à l’égard du peuple travailleur.
Quant au maintien de l’ordre, les interdictions de manifester visent à l’entraver plutôt qu’à le maintenir. Elles vont importer non pas « le conflit israélo-palestinien » mais la guerre inter-communautaire en France. Ils préfèrent de loin les affrontements raciaux que sociaux.
Avec la complicité évidente de nos djihadistes d’ici, nos Muslim’s brothers retour de Syrie, et leurs alliés objectifs du NPA, qui, comme à Sarcelles, tentent de faire monter la sauce. Ces gens là sont l’autre mâchoire du piège fomenté par les instances communautaires et leur pit-bull de la LDJ.
Et des CRS, transformés pour l’occasion en vulgaires Compagnies Républicaines du Sionisme.
Attendre 2017, reviendra à coup sûr à tomber sous la dictature de Manuel Valls.
Ce ministre personnage, qui pleurait à chaudes larmes lors de l’arrestation de Monsieur Strauss-Khan, passera à la postérité pour avoir osé identifier l’indignation contre le sionisme génocidaire à l’antisémitisme, qui est considéré comme un crime.
Parce que, ne nous y trompons pas, ce Plomb durci bis est l’acte Un de la Tragédie planétaire à venir.
Je ne sais quelles sordides tractations ont lieu en coulisse, entre USA, Israël, Iran, pour la guerre contre l’EIIL en Iraq, mais c’est bien la Troisième Tuerie qui a commencé. Les commémorations de la Première ont mis l’eau à la bouche des rapaces impérialistes, qui se précipitent dans la guerre comme seule issue pour se sauver de la chute.
Celle du Capital financier qui ne s’est jamais relevé de son effondrement de 2007 dit des Subprimes.
Et la guerre est déjà en Europe. L’Ukraine c’est le Gaza des européens. Les USA cherchent avidement un prétexte pour agresser la Russie.
Qui dit guerre, dit nécessairement dictature. Et en France M. Valls depuis longtemps fut pressenti pour ce rôle par les banquiers. La prise du gouvernement par le ministre de l’intérieur préfigurait la prise de la France par le premier ministre.
Attendre sagement 2017 sera notre perte, permettez moi de donner à nouveau cet avis, que malheureusement, il me faut bien le reconnaître, j’ai tendance, malgré mon optimisme foncier, à partager.