Il y a des découvertes indigestes, trop choquantes. J’ai déjà écrit dans ce sens à propos de Ron Unz, ce dissident californien, génie de l’informatique et animateur d’un site qui a osé partager avec ses lecteurs le fruit de ses recherches sur les idées et les motivations des révisionnistes, ou négateurs d’Holocauste, ou encore négationnistes, comme les appellent leurs ennemis. Mais c’est un sujet totalement verboten qui s’efface à la lumière d’une autre découverte capitale qui fait moins de bruit, paradoxalement, peut-être en raison de sa magnitude assourdissante. C’est trop gros. Les pages sombres de l’histoire de la Deuxième Guerre mondiale, ou les relations interraciales dans les années 1930, ou les vrais commanditaires du 11 Septembre, tout cela est passionnant, mais pas de quoi couper le sifflet à la presse.
La découverte d’Unz, elle, a de quoi réduire la presse en cendres, tout simplement. Il prouve avec des données irréfutables que les juifs vous discriminent à un point inimaginable. Tandis que vous faites la queue pour entrer par la grande porte dans le domaine réservé des élites, eux s’introduisent librement par la porte de derrière. Un petit blanc américain non juif a dix fois moins de chances d’y arriver qu’un juif. Il y en a dix fois plus, des petits jeunes doués parmi les blancs américains non juifs que parmi les gosses juifs, mais il y a plus d’étudiants juifs dans l’Ivy League que de blancs non juifs. Le système est faussé, et ce n’est pas en votre faveur. Jadis vous pouviez vous frayer votre propre chemin vers la réussite, à la manière d’Henry Ford, c’était ça, le rêve américain. C’est bien fini. Maintenant, le seul chemin pour accéder aux meilleurs postes parmi les élites américaines, passe par une poignée de collèges d’excellence, l’Ivy League. Impossible de contourner l’entonnoir. « Une proportion chaque fois plus élevée de nos cadres financiers, médiatiques, politiques et en affaires viennent d’une poignée d’universités » (toutes mes citations sont tirées de l’essai de Ron Unz). Si vous n’avez pas l’imprimatur de Harvard ou de Yale, votre futur est bien sombre. Les bonnes situations pour les classes moyennes, dans l’industrie, pour ceux qui n’ont pas de diplômes universitaire, sont rares, et les ouvriers sont payés moins qu’il y a quarante ans. Quand le 1 % des plus riches en Amérique possède autant que les 95 % de la base, c’est que le gagnant rafle tout, et ce gagnant est probablement un juif.
Les élites ont leurs obligations aussi, bien sûr. Les universités d’élite sont censées faire le tri des garçons et filles les plus aptes à mener l’Amérique à la gloire et à la grandeur. Mais vous savez d’expérience que cela ne va pas arriver ; ils vont se mener eux à la prospérité, et vous à la pauvreté et à la perdition. Les nouvelles élites vous ont lâchés, ont mené votre pays à la déconfiture, condamnent le monde (à l’exception de l’État juif) à l’échec. Ce désastre est une bonne raison de se demander maintenant comment les élites produisent leurs nouvelles générations.
La grande découverte, c’est que les WASP, la légendaire descendance des Pères fondateurs, ont perdu leurs privilèges, et même leurs chances de réussite. Unz prouve qu’un garçon américain chrétien d’origine anglaise ou allemande a dix fois moins de chances d’entrer dans les universités « crème de la crème » qu’un garçon juif quelconque. Et cela par le simple tissage tout bonnement népotique d’un réseau au niveau du traitement des dossiers de candidature. Il y a un fonctionnement clanique, et il y a des raisons justifiées d’en accuser les juifs. « Un taux de 1000 % par rapport aux blancs non juifs avec les mêmes performances aux examens. » Oh My God ! Comme l’accès aux universités de l’Ivy League est le seul moyen sûr d’accéder à l’élite, aux meilleures situations, à des postes importants, cet enrôlement biaisé garantit aux juifs une confortable sérénité pour plus d’une génération.
Dans les années 1920, les juifs accusaient les WASP de les discriminer à l’entrée des universités. Ils ne dépassaient pas 15 % des admissions. Maintenant qu’ils sont tout en haut de la pyramide, on a un aperçu de ce qu’est une vraie discrimination. Mais il y a une grosse différence : jadis les juifs protestaient avec véhémence, et aujourd’hui les chrétiens n’osent même pas rouspéter.
Tandis que les chrétiens blancs se tenaient cois, ce sont les asiatiques qui ont donné de la voix, et qui ont fait des procès aux collèges. Ceux-ci ont été forcés d’expliquer leurs méthodes de recrutement. Les magistrats et autres élites juives ont finalement permis le traitement de ces plaintes, après les avoir rejetées pendant des années, pour une bonne raison ; ils voulaient masquer cette discrimination flagrante des blancs non juifs par les juifs grâce à un tiers, fonctionnant comme SEP. C’est dans le roman de Douglas Adam La vie, l’univers et le reste, de 1982 (suite de son Guide intergalactique) que le protagoniste explique : un SEP c’est quelque chose qu’on ne voit pas, ou qu’on ne peut pas voir, ou que notre cerveau ne nous permet pas de voir, parce que nous pensons que c’est le problème de quelqu’un d’autre. SEP, ça veut dire : le Problème de Quelqu’un d’Autre (Someone Else’s Problem). Notre cerveau évacue la chose, c’est un point aveugle. Le SEP, c’est le meilleur moyen pour cacher un éléphant rose au milieu du salon : vous passez devant, derrière, autour, ou par-dessus, sans jamais le remarquer.
Le problème de la discrimination contre les Asiatiques-américains constitue un excellent SEP. Certes, comme le dit Unz, ceux-ci sont discriminés aux universités de l’Ivy League (quoique moins que les Américains ordinaires). Mais même s’ils le sont, qui s’en soucie ? Ils ne sont pas nombreux, et se débrouillent fort bien de toutes façons. Donc, pour Unz, le vrai sujet, c’est qu’on vous discrimine vous, et c’est ce qu’on arrive à vous empêcher de voir. L’essai de Unz est long, pas moins de 26 000 mots, trop long pour un lecteur moyen, aussi je liste les points les plus saillants comme suit :
les juifs ont organisé un réseau clanique qui leur permet d’intégrer les meilleures universités bien au-delà de leur proportion dans la population, mais aussi de leur part de talents individuels.
ils se sont battus contre la discrimination envers les noirs au détriment des blancs chrétiens américains. Si des minorités jadis discriminées, qu’elles soient afro américaines ou n’importe quoi d’autre, peuvent profiter des mesures de discrimination positive, tant mieux, parce ça n’affecte en rien la position des juifs, mais seulement celle des ex-privilégiés WASP, à qui on peut serrer la vis à partir de là.
si autrefois les juifs ont été pris dans les meilleurs collèges pour leurs capacités supérieures à celles des gentils, maintenant c’est le contraire, ils sont moins bons, c’est un fait criant, mais ils y arrivent quand même simplement parce qu’ils sont juifs.