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Masochistes au point de ne venir en France que pour s’y faire discriminer ?

« Selon que vous naissiez homme blanc ou femme noire en Afrique ou en France, vous savez que vous avez plus de chance » vient de déclarer sur LCI, madame Élisabeth Moreno, native de la République du Cap-Vert, et présentement ministre français en charge de « l’Égalité entre les femmes et les hommes ». À quand un ministère de l’Égalité entre les petits et les grands, les gros et les maigres, les blonds et les roux ?

 

Madame le ministre en charge de « l’Égalité entre les femmes et les hommes », vient donc de faire un constat qui avait jusque-là échappé à l’esprit humain. À savoir que la population qui a créé un pays depuis des siècles ou même des millénaires, celle des indigènes, des primo-occupants, de ceux qui, par définition, sont de « souche », est naturellement davantage chez elle que les pérégrins. Un « privilège » universel qui est « jaune » au Japon ou en Chine, « noir » en Afrique et arabe en Arabie…

Question incidente à madame le ministre français en charge de « l’Égalité entre les femmes et les hommes » : au Cap-Vert, et plus généralement en Afrique, y-a-t-il beaucoup de présentateurs blancs, d’hommes politiques blancs et pourquoi pas de femmes blanches ministres en charge de « l’Égalité entre les femmes et les hommes » ?

Plutôt que ces incessantes et arrogantes jérémiades quasi quotidiennement assénées par certains néo-Français semblant être à ce point masochistes qu’ils paraissent n’être venus en France que pour s’y faire « discriminer », ne serait-il pas plus juste et honnête de leur part de dire :

« D’être venu vivre chez vous m’a privilégié car j’ai pu avoir accès à un statut que je n’aurais pas eu chez moi. J’ai en effet pu profiter des infrastructures nées du labeur et des sacrifices de vos générations passées. Celles de ces paysans blancs qui ont défriché et bonifié votre terre, celles de ces mineurs de fond blancs qui mouraient de maladie avant 40 ans, celles de ces centaines de milliers d’ouvriers blancs qui ouvrirent vos routes, vos canaux et vos voies de chemin de fer à la pioche, celles de ces millions d’hommes blancs morts pour défendre la terre de leurs ancêtres, et dont les descendants ont aujourd’hui pour dernier "privilège" celui de devoir payer des impôts pour financer la CMU et pour loger, nourrir, éduquer, soigner, habiller, un nombre indéterminé de "citoyens du monde" venus, tels des coucous, profiter de nids qu’ils n’ont pas bâtis.... »

Mais il y a aussi un « privilège noir ». C’est celui de pouvoir cracher sur un footballeur blanc sans que cela provoque de réel émoi… Imaginons l’inverse !!! Ou de pouvoir, comme Madame Afsa Aksar, vice-présidente de l’UNEF dire :

- « On devrait gazer tout (sic) les blancs (resic) cette sous race. »
- « Tout ce que j’ai à dire c’est les blancs (sic) arrêtez de vous reproduire. »
- « Non à la mixité avec les blancs (sic). »
- « Je suis une extrémiste anti-blanc. »
- « Le monde serait bien mieux sans les blancs (sic) », etc.

Ou encore, comme madame le député Obono qui a légitimé la formule « Nique la France », et à laquelle l’on pourrait légitimement poser la question de savoir ce qui arriverait à un Blanc qui, au Gabon, son pays de naissance, s’aventurerait à dire « Nique le Gabon »…

Là est le vrai « privilège ». Celui d’être au-dessus des lois, de ne pas être « inquiété » pour de tels propos par les ligues « antiracistes » subventionnées par les impôts des « privilégiés » blancs, ni poursuivi par certains juges dont la principale activité semble être de guetter le moindre « dérapage » verbal des hommes et des femmes blancs, et de « droite », afin de pouvoir les traîner devant les tribunaux… Celui aussi, d’être recruté, non plus au mérite, mais selon ces discriminants quotas « raciaux » non officiels, et qui écartent de bons candidats malheureusement nés leucodermes, au profit de médiocres impétrants ayant eu la chance, eux, de naître mélanodermes en France…

Mais tout cela aura une fin le jour où se lèvera un chef qui, tel Cicéron devant le Sénat romain, osera dire aux arrogants forts de notre faiblesse et parce que nous sommes à genoux : « Quo usque tandem abutera, Catilina, patientia nostra ? (Jusques à quand, enfin, Catilina, abuseras-tu de notre patience ?) ».
L’église pourra alors être remise au centre du village…

Bernard Lugan

 

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