Merci aux intervenants... La question qui ressort finalement est celle de l’ENGAGEMENT !
On est dans le bricolage, avec Blanquer comme fossoyeur final de l’"éducation nationale" qui n’a plus rien de constructif, on doit faire le choix de ne plus seulement enfanter, mais de prendre à bas le corps le devenir de nos enfants.
C’est pas facile mais c’est passionnant quand on s’y met, car il est en fait très facile de trouver le bon angle éducatif quand on est en rapport avec son enfant : qui mieux que le parent peut juger de sa progéniture et de ses progrès ?
D’autant que les jeunes enfants apprennent très vite, qu’ils ont besoin d’être soutenus.
Dans cette optique, il faut néanmoins que les parents se réfèrent à un cadre culturel, celui qui pourra produire le(s) meilleur(s) profil(s) pour la France de demain, c’est-à-dire celui de la culture classique européenne.
Si on s’extasie encore sur les sculptures de l’Antiquité grecque ou sur l’histoire du Christ 2000 ans plus tard, ce n’est peut-être pas pour rien.
Pas sûr qu’on reparle d’Omar Sy ou de Patrick Cohen dans 2000 ans.
Alors n’ayons pas peur d’être Français et européens, et même soyons-en fiers, car on ne fera pas mieux !
La Tradition évolue seulement dans les formes, mais le fond reste intact car l’Homme est le même depuis sa chute - si chute il y eût.
Produire le Bien, le Beau, le Vrai dans notre condition juste humaine est ce qu’on nous pouvons faire de mieux.
N’écoutons pas les fossoyeurs de l’humanité qui complotent sans cesse sur notre dos, faisons fi et avançons !
Petit d’homme deviendra grand, que voulons-nous en faire, c’est tout ce qui importe.

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" Les mauvais élèves d’aujourd’hui seront les professeurs de demain."
Les hussards noirs de la République, fils de paysan s’élevant par l’instruction, vers 1880, dont les enfants seront professeurs d’université, font le chemin inverse. Qui veut aujourd’hui devenir professeur ? Un professeur qui avait parié à la hausse il y a 25 ans sur le professoral, obligé de tirer encore 20 ans, ne veut pas que ses enfants gardent le cheptel, car aujourd’hui l’enseignement est en parti une activité de gardiennage non reconnue socialement et financièrement.
Au bout du bout de l’abrutissement, on paye les gens à enseigner comment le prophète se fait sodomiser en caricature ; alors qu’après 15 ans d’école l’essentiel du troupeau serait bien incapable de parler 15 minutes de Jeanne d’arc, Napoléon ou Clovis. Même 5 minutes d’ailleurs.

Il est bon de rappeler les lois de l’Ancien Régime, de Louis XIV, 1688 et l’obligation de scolarité.

Le capitalisme comme l’expliquait Clouscard, a eu besoin d’élever le niveau d’instruction de la population. En phase de destruction, le tatouage, l’acceptation de l’Afrique en France et l’apologie du genre fera office de Légion d’honneur.
Pour avoir vu l’évolution d’un bachelier des années 1980 High class récitant ses fables par coeur avec dissertation dialectique de 8 pages au bac, aux millenials, tatoués et ne maîtrisant pas le français mais écoutant du rap, j’imagine mal le pire, la generarion grippe 19. Virer ses enfants de l’école, à commencer par les miens, est une option envisageable.
Je me demande qui a organisé ce chaos ?

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" Aujourd’hui il faut avoir 2 salaires pour faire vivre une famille"

"Il y avait une vie avant jules ferry "

Le problème et la solution sont peut-être devant nos yeux !

Merci pour votre travail et pour ce débat de qualité.

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Comment font les gens du voyage ? J’imagine que leurs enfants sont instruits au sein de la famille étant donné leur mode de vie nomade.

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A 30 minutes...
Mon fils, en CP, m’a rapporté que son institutrice leur a demandé de ne pas l’appeler maîtresse ou madame mais.... Maman S. (suivi de son nom de famille).
Hallucinant... je lui ai dit, évidemment, de ne jamais le faire...

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