Par rapport à la remarque de la demoiselle de la radio : "ça va être compliqué de faire comprendre..."
comme a pu le dire Dale Carnegie (famille de l’oligarchie) dans les années 20 : "Il n’y a rien de plus difficile à déraciner qu’une croyance".
Comment s’y sont pris les révolutionnaires de 1789 et ensuite, et sur combien de temps, de Vatican I (1870) à Vatican II (1962-65), pour faire admettre que l’Église n’était plus ou ne devait plus être LE système de croyances du peuple, en l’occurrence français ?
Ce qui me fait dire que ce n’est pas par les dialogues (ou débats) sans fin, ni même par les "révoltes" particulièrement molles de la population - au regard du crime de masse dont nous sommes témoins - que nous allons nous replacer sur les bons rails.
Il va falloir un sacré "coup de force" (pardon c’est un peu viril comme terme), ou coup de barre pour les marins, pour remettre le navire France en face de la vague, car pour l’instant il risque de se retourner...
Sinon, leur machine de propagande déjà en place, qui littéralement infeste les esprits des plus jeunes du coup persuadé(e)s d’être sur la bonne voie (celle du progrès) - féminisme etc. -, va emporter tout le monde.
C’est une guerre et une guerre à mort comme disait Tonton.
Comment contrecarrer la marche mondialiste, fruit de 2 siècles d’ingénieries, de manière radicale puisque nous sommes maintenant littéralement au seuil de la mort (chantage à la piquouse) et qu’il faut en sortir vite, en passant d’une conviction à une autre ?
Pour essayer de dialoguer avec des covidés, la réconciliation est difficile, je ne m’énerve pas, ça me désole, mais la réponse est toujours "on préfère arrêter là".
« Vingt siècles d’histoire sont là pour attester qu’on a toujours raison d’avoir foi en la France. » (De Gaulle), je termine sur cette note positive.
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