et encore on est dans le portrait soft

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La vieillesse est un naufrage. Depardieu est un acteur magnifique mais un homme peu ragoûtant !

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Ceux qui sonnent l’hallali casher sur Depardieu sont les mêmes qui :
1/ Institutionnalisent la sexualisation des enfants, banalisent et encouragent le porno et les déviances sexuelles les plus glauques.
2/ Innocentent à jamais le pédo Polanski
3/ Placent au sommet de l’État un couple d’homosexuels composé d’un délinquant trans-sexuel âgé de 46/47 ans ayant détourné un mineur de 14 ans qui plus est en ayant force d’autorité. #OùestJeanMichel ?
4/ Maintiennent ouvertes les boîtes à partouzes tout en fermant les églises lors du confinement.
Etc...
Bref, pour condamnable que soit l’attitude objectivement déviante et écœurante de ce libidineux pathologique, c’est le gaulois réfractaire que l’on vise à travers lui.

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Gérard est l’exemple type de ce qui est ici régulièrement dénoncé, éducation déficiente souvent par des parents peu présents, peu éduqués et peu impliqués, scolarité en échec…
il a du talent, incontestable, mais la nature resurgit toujours…

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Gérard a dit tout haut ce que beaucoup auraient pensé tout bas à sa place. Il est hétéro, c’est cela qui gêne. Si un homo avait fait ce même genre de remarque à propos d’une personne de même sexe, personne n’aurait osé s’en offusquer de peur d’être taxé d’homophobe.Il est en voyage en Corée du Nord, et profite de la décontraction des vacances pour s’autoriser quelques écarts de langage. Kim Jung un n’a pas instruit son procès mais les occidentaux, addicts aux films porno s’empressent de le faire. En Corée du Nord, on peut encore librement évoquer le sexe des femmes , et s’imaginer la façon dont une très jeune fille pourrait se donner du plaisir en montant à cheval. Il y a des pays où les jeunes demoiselles sont mariées à 11 ans. La vulgarité de ses propos a sans doute été rapportée au sommet de l’Etat coréen mais les asiatiques considèrent que la sexualité contribue au bien être mental de l’individu . Les plaisanteries salaces de Gérard peuvent être comprises comme une façon de se libérer de la pression que les défenseurs du mouvement LGBTQ+ font peser sur la société. La normalisation de la transition de genre , la légalisation du mariage contre-nature, la pornographie, sont autant de phénomènes qui peuvent libérer la parole des hétéros qui se sentent marginalisés par la place accordée à la propagande LGBTQ+ relayée par des images de scènes de sexe homo. On ne compte plus les apparitions d’homos qui s’embrassent dans des publicités à des heures de grande écoute. La Corée du Nord doit avoir un air très excitant et la douce voix de la guide ne pouvait qu’attiser les sens de Gérard. Dans la dictature de Corée du Nord, la parole est libre en matière sexuelle tandis que dans la république française l’auto-censure est devenue la règle.

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J’ai visionné la fameuse émission Complément d’enquête, consacrée à Depardieu. Une émission, genre procès uniquement à charge, qui devrait interpeller tous les détracteurs des gouailleries, certes, un peu stupides, de l’acteur. Et nous inviter à nous interroger, sur la finalité de ce genre de procès médiatique. Et plus particulièrement sa cible : la liberté d’expression.

Une émission totalement à charge, puisque la soi-disant "enquête" n’épluche pas, avec la même minutie, la vie des plaignantes, comme elle effeuille celle de l’accusé. Or une bonne enquête, se mène à charge, comme à décharge...

Une émission qui sent la manipulation des masses qu’elle veut convaincre à condamner absolument les comportements puérils du mis en cause.

J’aurais aimé que l’on interroge une représentante du féminisme, pour qu’elle nous dise ce qu’elle pense de l’attitude très particulière, pour ne pas dire incompréhensible, de l’accusatrice Arnould, qui après un premier "incident choquant" accepte de revoir son "agresseur" en se rendant à nouveau au domicile de ce dernier. J’aurais aimé qu’on interrogeât cette responsable féministe, en lui demandant si l’attitude d’Arnould, ne portait pas un sévère préjudice, au combat féministe, contre les agressions à caractère sexuel, faites aux femmes, par les hommes. Histoire de partager un peu les responsabilités des comportements des unes et des autres...

J’aurais souhaité que l’on posât la question de savoir, si dans un monde où tout devient interdit aux hommes, il faut, à contrario, admettre tous les comportements, fussent-ils stupides, légers, insensés ou imprudents, voire encourageants, constatés côté femmes.

Enfin, j’attends avec impatience un Complément d’enquête, aussi pointilleux, sur des accusations de très longues dates, revenant régulièrement dans l’actualité, sous forme de rumeurs, visant la classe politique, pour des faits relevant de la pédocriminalité. (Par exemple)
Par pitié Messieurs les journalistes investigateurs et... (juges ?) veuillez enquêter aussi dans ce milieu-là, car à laisser s’accumuler les rumeurs, vous contribuez au développement du complotisme. Et cela est inacceptable ! Alors, au taf, S V P !

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aujourd’hui, tout est aseptisé,

pourquoi tu ne lui as pas répondu :
tu t’es victimisée toi-même

je connais des meufs, elles lui auraient éclaté les couilles
mais dans quelle époque on vit ?

’tain, c’est fade

incultes, méchants, vicieux
au moins, Depardieu, il est direct

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c’est là que tu vois que Brigitte Lahaie, c’est une très grande actrice

on se souvient d’elle

tandis que les petites pétasses qui essayent de se la jouer...

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“J’ai une poutre dans le caleçon !”

je n’aurais pas mieux dit !

avec Gégé !
le français, il faut savoir l’exprimer !

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Lorsque j’entends Depardieu et les témoignages sur sa drague lourdingue, je repense à ce livre de Jean-louis Flandrin, lu il y a longtemps : LES AMOURS PAYSANNES : amour et sexualité dans les campagnes de l’ancienne France (XVIe-XIXe siècle).

Un passage avait retenu mon attention, celui qui décrit la technique d’approche du paysan : il approche la paysanne qui lui plaît, lui pince la fesse, lui dit qu’elle est ben jolie, l’empoigne par le bras, l’emmène à l’écart des festivités du village et l’allonge dans le foin... Le consentement verbal de la gueuse n’était pas un pré-requis et pourtant, cette sexualité paysanne n’était pas considérée comme violente ni contraire à la civilisation.

Et bien le Depardieu de Châteauroux, au cœur de la France, est ce manant du XVIIème siècle à la sexualité frustre et au langage animalier, qui méconnaît totalement les civilités de l’amour courtois. Cet homme est un voyageur dans le temps, lourd comme un mur de briques, sans poésie, mais je ne vois aucune malice dans cette forme de virilité.

D’autant qu’après s’être entendu dire "non" une fois, il ne harcèle pas la femme, ne force pas sa présence, et ne glisse aucune drogue dans son verre. On peut donc reprocher au gueux Depardieu d’être un malotru crotté, mais pas un violeur. Cet afflux soudain de plaintes extrêmement tardives est suspect.

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