et 
!
C’est le crétin négrophile du jour, l’artiste qui veut se faire bien voir par l’opinion mondiale forgée par les médias mainstream propagateurs du virus antiraciste. L’artiste Bansky, qui fait juste des pochoirs à la con, profite de la douleur afro-américaine pour placer une idée de gros naze, celle d’un déboulonnage de statue à la place d’une statue raciste, ou négrière. Et encore, tout est une question d’opinion.
- Justice pour Omar Sy, dont les films
se cassent la gueule (sans l’aide des flics) !
Les idiots parlent aux idiots
Avant l’escroc Bansky, c’était au tour du millionnaire Omar Sy, entre deux navets, de nous faire la leçon du haut de sa villa de Los Angeles.
« La mort d’Adama Traoré est aussi injuste et indigne que celle de George Floyd. Je me réjouis qu’on en prenne conscience aujourd’hui, je me réjouis de voir des dizaines de milliers de personnes venues de tous horizons sociaux entourer de leurs forces les proches d’Adama Traoré, ses frères, sa sœur, Assa »
Pire, sa femme, qui se prend pour une première dame, nous gave avec ses leçons de morale niveau 6e :
Dialogue surréaliste de la femme de l'acteur @HeleneSy avec un policier français. C'est une indécence incroyable ! pic.twitter.com/JqqoLym4zC
— Patrick Lusinchi (@vieilleeurope) June 12, 2020
Une nouvelle victime du racisme (des statues)
Les idiots parlent aux idiots, et les idiotes aux idiotes. Dans la veine du couillonavirus, nous voici en plein couillonafloydisme avec la statue déboulonnée qui se viande sur le manifestant antiraciste qui voulait faire le buzz. Ne loupez pas le cri d’horreur de femme qui découvre le crâne ouvert de la victime...
« Un manifestant antiraciste est gravement malade à l’hôpital après qu’une statue qu’il aidait à abattre ait atterri sur sa tête. Le manifestant non identifié, qui est dans la trentaine, a été frappé par la lourde statue confédérée à Portsmouth, en Virginie, mercredi soir après sa chute alors qu’il se tenait directement devant lui.
Un porte-parole local de Black Lives Matter a déclaré à WAVY : “Nous pouvions voir que son crâne était en train de se montrer, il convulsait au sol – et il a perdu beaucoup de sang. Nous demandons à tout le monde de prier pour cet homme maintenant”.
L’homme a été transporté d’urgence dans un hôpital voisin, sans autre mise à jour sur son état. Le monument visé comprenait quatre statues de personnages de l’époque confédérée, qui ont été décapitées avant d’être démontées. » (urban-fusions.fr)
Quelque chose nous dit que les people donneurs de leçons de vertu vont souffrir au tiroir-caisse après tout ce bordel. Car ce ne sont pas les racailles qui forment le public qui remplit les salles de cinéma les vendredi et samedi soir, ce sont les jeunes qui ont des cartes de multiplexes. Certes, ils peuvent être globalement antiracistes, mais chaque soutien à la famille de délinquants est une gifle à la France éternelle. Omar Sy risque de connaître les désagréments commerciaux d’un Dany Boon (tsédakiste malgré lui), pourtant pas un méchant garçon.
Pour les flics, ce sera plus dur. Les policiers honnêtes ont beau gueuler, rien n’y fait, la machine à amalgamer est en marche et rien ne l’arrêtera : flic blanc = raciste = assassin. Même si on a trouvé des exceptions !
Questions migraineuses : un flic noir qui appréhende un blanc antiraciste, c’est un raciste ou pas ? Et un flic noir qui tabasse un Noir, c’est quoi ?
Ce processus mondialiste rappelle le mouvement Me Too avec sa déferlante en France après la razzia en Amérique. À l’arrivée, ça n’a évidemment rien changé au réel, les femmes ont reçu un peu plus de récompenses dans les soirées culturelles dont tout le monde se fout, comme les minorités dites visibles pendant les Golden Globes ou les Oscars.
Attendez ! Tout ce barouf a quand même permis au général Brown de devenir le numéro un de l’US Air Force. La cause noire avance grave...
Après la vaguelette de l’émotion, tout rentrera dans l’ordre : les racailles continueront à racailler, les sionistes à jeter de l’huile dans tous les camps en lançant des accusations croisées, et les crédules des deux camps à marcher dans les combines.
Quant aux médias, on pensait qu’ils ne pourraient pas tomber plus bas, eh bien si.
Visez un peu ça :
