C’est assez curieux de voir parler en bien de Branco, alors qu’AS le démolit, à juste titre, dans le dernier entretien publié sur le site. Juan Branco est, de mon point de vue comme de celui d’un grand nombre de gens engagés à droite comme à gauche (mettons, du RN au PRCF) un agitateur et un agent provocateur qui travaille pour le pouvoir profond. Deux événements m’en ont convaincu : la non-affaire Griveaux sortie avec un retentissement disproportionné au moment de la vraie affaire Christophe Girard, mettant en cause les réseaux pdc de la Mitterrandie. J’ai voulu faire la part du hasard, mais alors Branco a brandi l’affaire de la Fondation du Patrimoine avec Malherbe. Or là, il s’est rétracté aussitôt comme un escargot à qui on a tapoté les antennes, effaçant ses messages sur Twitter, etc. Bah oui, la FDP = Goldman Sachs. On change d’échelle, là, ce n’est plus la rigolade à Griveaux. Ce sont les "vrais méchants" qui tiennent le vrai pouvoir... et qui le lui ont fait savoir illico-branco.