Dès sa validation, l’utilité de la loi Fabius-Gayssot fut simple à comprendre et à qui elle profitait ! Premièrement valider, dans son existence, le dogme de la "shoah" et sa perpétuation "ad vitae eternam", pour permettre aux juifs sionistes de faire perdurer l’état d’Israël et de commettre tous les crimes en son nom (Fabius/Juif) et faire croire à la population française que l’abomination du XXème siècle est incarnée par le nazisme et non par le communisme (Gayssot/communiste).

"Is fecit cui prodest" ou selon la même jurisprudence, "Celui qui l’a fait, c’est celui qui en profite".

C’est pas cette connasse de Jean Robin qui fait l’interview ?

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Cela n’a l’air de rien, mais ce qu’est en train de dire Ménard, sur le fait qu’il lui fallait montrer pattes blanches, peut faire l’effet d’une bombe. Mais faut pas rêver. Après ça, on ne devrait plus avoir le droit de crier à la paranoïa ou de disqualifier un type en le taxant d’affreux théoricien du complot.

Oui, c’est bien Robin.

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Pour bien préciser, Reynouard n’a jamais dit que les camps de concentrations n’ont pas existé.
Il s’agit ici de la technique de la caricature.
C’est comme la "journaliste" qui a dit à Bigard : "Vous niez le 11 septembre".

Ensuite la technique de disqualification : "c’est un néo-nazi fou furieux".
Non Robert, ce n’est pas ça argumenter. Prouvez nous qu’il a des projets de meurtre, ou au moins de faire du mal à quelqu’un.
Ou prouvez au moins que ses idées sont nuisibles avec des arguments. AR-GU-MENTS.

Donc deux techniques de manipulation abusivement utilisées par les sionistes reprises par Robert Ménard.
Oui c’est vrai, Robert Ménard est bien plus honnête que Zemmour mais il en fait des concessions.

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