Il est possible que certains hommes politiques eussent cru dans l’Union Européenne comme une réelle superpuissance, et qu’il était alors valable de casser les nations (casser des oeufs, tant pis sur le type moyen ne comprend pas, ses gamins nous remercieront). Mais entre colusions et autres retournements de veste, en plus de la poigne des lobbies et de la mafia financière, tout bonne puisse cette idée avoir été, elle ignorait certains fondamentaux, dont l’origine réelle du projet européen.
Maintenant il est clair, bien plus qu’à un tout autre moment, que la nation est l’entité clef qui sauvera la France : l’équilibre "parfait" (ceci sans rentrer dans les détails du type de gouvernement).
Puis un jour c’est le réveil, l’un, malgré toutes ses concessions afin de garder un brin de pouvoir et ses avantages, se rend compte qu’à la fois pour vivre politiquement, et pour éventuellement remettre le pays en route si jamais il reste un brin de bon en cette personne, décide finalement de faire volte-face.
Il reste qu’on doit se demander pourquoi ils se réveillent tous maintenant. QUE maintenant...
La loi de 73... elle date de 73. C’était du rachat de crédit. On savait ce que cela allait donner lorsque l’on était un économiste qui se respectait. On n’accorde pas de prêt sur prêt sur prêt, avec intérêts toujours plus hauts, à quelqu’un qui ne parvient pas à rembourser : si la France n’empruntait pas, afin de rembourser ses passifs, elle était dans le rouge.
C’est comme MLP qui dénonce la loi que maintenant (ah bonjour, je descends de mon nuage) mais qui veut encore nous faire trinquer jusqu’en 2025.
Avec ces politiciens, ce n’est qu’une série de jeux. Des coups dans l’eau, des petites avancées, des gens trop frileux pour tout larguer, bien au confort.
Franchement, ces conneries d’élections, ça me fatigue. Autant contacter Chauprade et lui demander s’il ne connaitrait pas quelques militaires suffisamment droit dans leurs bottes pour nous faire un gentil putsch, si possible avec l’aide des Russes.
Stupide idée pour stupide idée, autant y aller, pour ce que nous avons à perdre.