Egalité et Réconciliation
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Pourquoi le ménage doit rester une activité féminine

Les hommes sexistes disent que la femme est faite pour faire les enfants, le ménage et la cuisine. C’est vrai, mais seulement en partie : on connaît des femmes qui sont profs, thérapeutes, comptables, et même une qui est dirigeante d’entreprise. Petite, mais quand même.

 

 

Souvent, ces femmes-là font aussi les enfants, le ménage et la cuisine. Et vous savez pourquoi ? Parce qu’elles sont meilleures que nous dans ces disciplines, que par ailleurs le Comité olympique devrait accepter. Les hommes ne peuvent pas avoir des enfants, et quand ils les élèvent, se rendent compte qu’ils s’occupent mieux des jeunes que des bébés. Les jeunes, c’est rigolo, c’est un peu fou, alors que les bébés, faut être une mère pour les décrypter.

D’autre part, la plupart des hommes sont nuls en cuisine. Quant au ménage, s’ils le font, c’est en le transformant en activité sportive, à faire le plus vite possible, en se chronométrant d’une semaine à l’autre, tandis que les gonzesses sont pas très déchaînées avec un balai ou un aspi entre les mains.

Les hommes considèrent le ménage comme une tâche dégradante et salissante (c’est parce qu’il y a contact, au moins visuel, avec la saleté), alors que, fait avec grâce par une femme, ça peut être une danse, c’est-à-dire une parade nuptiale.

 

 

En vérité, depuis que le divorce est devenu une loi (féministe), de nombreux pères s’occupent des enfants, font les courses, la cuisine et le ménage, et le font sans se plaindre, tout en bossant (dur) à côté, alors que les femmes nous font croire que ça leur fait 3 boulots en même temps (dont 2 non payés) et que c’est l’horreur. Mais d’où peut bien venir cette maladie de la pleurniche ?

Les hommes divorcés découvrent que les femmes ont exagéré leur souffrance.

On a trouvé une vidéo assez emblématique du rejet du rôle de mère et de la maternité par la nouvelle génération. Ces Anglo-Saxonnes se qualifient elles-mêmes de « child free » (comme si on les avait amputées d’un poids) et se disent heureuses :

 

 

De l’autre côté de ce féminisme égoïste (mais le féminisme est un égoïsme), il y a des femmes qui s’épanouissent dans la vie de couple et de famille, tout ce qu’abhorrent les gauchistes : pour ces dernières, c’est le lieu de la tyrannie patriarcale et de l’esclavage féminin, alors que bosser sous les ordres d’un patron dominateur par essence, ça, c’est pas grave. La preuve en images...

 

 

Au bout du compte, dur choix pour les femmes d’aujourd’hui en âge de procréer : épouse idéale astreinte à l’amour d’un homme et de ses enfants, ou poutasse alcoolisée à bullshit job rackettée par une psycha interminable qui s’achève par une euthanasie salvatrice ?

Candace, Kamala et les autres