Traduction de ce long et passionnant article : des immigrés devenus émigrés pillent chaque mois plus d’un milliard d’euros aux contribuables français pour se la couler douce en Afrique. Ici, on n’est pas des gauchistes bobos babas, pas de langue de baobab, on dit les choses.
Pour combler ce manque à gagner, le gouvernement et l’administration, au lieu de s’en prendre à ces voleurs protégés par l’antiracisme droit-de-l’hommiste imposé par les réseaux francs-maçons à la Justice, vont taxer encore un peu plus les retraités et, selon nous, les petits propriétaires et les épargnants.
La classe moyenne, en plus de ce qui se profile avec la destruction de l’économie productive derrière l’arnaque du Covid, va payer doublement. C’est aussi, majoritairement, la classe moyenne qui a envoyé le petit banquier d’Attali et de Rothschild à la présidence de la République en mai 2017.
Comme quoi, il y a peut-être un karma. Mais on ne se réjouit pas, car à cause de ces millions de Français dénués de science et de conscience politiques qui ont cru aux balivernes antifascistes du petit prince des ténèbres, nous sommes tous dans la merde, et ce sont toujours les mêmes qui font le sale boulot de sortir tout le monde de la merde : les résistants, les dissidents, les conscientisés.
Ah, et pour ceux qui diraient qu’on s’en prend uniquement aux pauvres Africains qui nous volent pour bouffer et pas aux arnaques israéliennes en France, le premier poste de délinquance financière, rappelons-le, on leur dit que ces sionistes ne passent pas par la CAF ou la Sécu, ils tapent plus haut, c’est tout, et ça n’empêche pas de dénoncer ces deux trous jamais rebouchés dans le trésor national. Avec, possiblement, à tous les étages de l’administration, des complicités.
Sachez que dès qu’une personne d’une communauté X dispose d’un pouvoir, par exemple celui d’accorder des appartements sociaux en France, que ce soit à Paris ou ailleurs mais surtout là où la pression immobilière est forte, eh bien il arrive que ces personnes très communautaires – et là on ne vise aucune communauté en particulier mais TOUTES – pratiquent ce qu’on appelle la préférence communautaire, ce qui est théoriquement interdit en France.
C’est pourquoi, avec des X qui mettent les dossiers de familles de leur communauté en haut de la pile, parfois avec un petit ou un gros bakchich (voire la fraude aux cartes grises), on retrouve des communautés entières qui occupent à bon prix des logements sociaux, sans commune mesure avec leur proportion dans la population française.
Nous avons maintes fois évoqué cet énorme problème de fraude sociale du bas en France, mais l’article qui suit de Sputnik va plus loin et démontre soit la passivité de l’administration, soit sa complicité. Il n’y a pas d’autre alternative.
Les paysans qui gagnent trois clopinettes en bossant comme des fous, et parfois jusqu’à la mort, quand ils vont lire ce qui suit, vont faire une apoplexie. On pense à tous ces Français qui cotisent sans le savoir pour des millions de petits escrocs qui détestent en plus, pour sa faiblesse, notre pays.
Il faudra donc que la force revienne au pouvoir pour que la France se fasse respecter. En 2002, après le « choc » de Le Pen au second tour de l’élection présidentielle, Jamel avait dit quelque chose de très juste : dans les cités, tout le monde avait tremblé.
Cela ne veut évidemment pas dire que que tous les immigrés sont des voleurs ou des trafiquants, puisque beaucoup vivent et travaillent pacifiquement comme la majorité des Français, avec un peu plus de difficultés certes, mais le retour de l’autorité, si Le Pen avait été élu, aurait marqué la fin de pas mal de trafics.
Une élection que de nombreuses familles immigrées, qui bossent et qui ne font rien de mal, n’auraient pas vu d’un mauvais œil. Pour la grande majorité des gens, Français de souche ou de branche mêlés, la loi et l’ordre sont la garantie de pouvoir vivre tranquillement, tout simplement. De bosser et de faire vivre leur famille. Le chaos ne profite qu’à une minorité en bas, et en haut, on le sait tous.
Le retour de l’ordre, et de l’ordre à tous les niveaux, en bas comme en haut, devant le spectacle de ce chaos quotidien qui déchire la France, est plus que jamais à l’ordre du jour.
Les vidéos et documentaires sont rares sur les filières, car il y a forcément des filières, qui organisent cette fraude massive. On ne trouve que des petits sujets qui parlent par exemple de mères de familles se déclarant « isolées » (et qui donc touchent des aides de l’État) qui ont un réalité un compagnon. C’est la fraude la plus courante dans les cités !
Mais sur les filières organisées, rien. C’est peut-être parce qu’il y a des complicités politiques de la part de responsables administratifs... dont l’idéologie interdirait, comme le dit l’article de Sputnik, de « s’en prendre aux pauvres », comprendre aux immigrés ou aux étrangers vivant chez nous !
La Sécurité sociale reconnaît l’existence de plus de deux millions d’ayants droit en trop dans ses comptes. Leur profil : des personnes de 24-60 ans qui ne résident pas ou plus en France. Le phénomène, de plus en plus documenté à mesure qu’avance la Commission d’enquête dédiée à la fraude sociale, ne semble pas passionner la presse. Analyse.
« Il y un écart non pas de 7 millions mais de 2,4 millions, qu’il nous reste à investiguer, sur lequel nous travaillons », a assuré le 27 juillet dernier Dorastella Filidori, chef de la mission de lutte contre la fraude sociale à la Direction de la Sécurité sociale (DSS).
La fraude à la Sécu n’a pas fini de faire parler d’elle. L’écart évoqué est « pratiquement de l’ordre de 10 % » avec la population française, a réagi le député du Bas-Rhin Les Républicains (LR) Patrick Hetzel, président de la Commission d’enquête parlementaire relative à la lutte contre la fraude aux prestations sociales, dans l’attente d’éclaircissements sur une telle situation.
Pour parvenir à ce résultat, alors que le directeur de la Sécurité sociale Franck Von Lenner venait de confirmer que le nombre de numéros de Sécurité sociale (ou « NIR » pour numéro d’inscription au répertoire) figurant au répertoire commun de la protection sociale en France était de 73,7 millions, la haute fonctionnaire part de 72,4 millions d’ouvertures de droits – le « même chiffre que la Cour des comptes », justifie-elle auprès du député. Ce dernier s’interroge sur l’usage de ce chiffre au rabais, auquel elle retire encore 1,1 million de dossiers qui correspondraient au « délai de mise à jour entre les bases internes » de la Sécurité sociale.
Un sous-total qu’elle compare ensuite au chiffre de 67 millions d’habitants estimé au 1er janvier par l’Insee et auquel elle ajoute, « pour avoir un périmètre comparable », les différents ayants droit vivant à l’étrangers (retraités, expatriés, personnes détachées, etc.), pour « parvenir à 69 millions ».
Des fraudeurs jeunes et ne vivant pas en France
Qui sont donc ces 2,4 millions de « fantômes » qui « passent à la caisse tous les mois », comme les a présentés à plusieurs reprises l’ancien juge d’instruction Charles Prats, magistrat au TGI de Paris, spécialiste de la lutte contre la fraude fiscale et sociale ?
L’emploi du terme de « fraudeur » pique les oreilles des hauts fonctionnaires de la DSS qui parlent plus d’éventuels « abus » de personnes « qui n’ont pas forcément réalisé qu’elles n’avaient plus de droits ouverts », ou encore d’un « ordre de grandeur » quant au chiffre de deux millions d’ayants droit aux prestations sociales en trop à leur registre.
Un « relativisme intégral » qui n’est pas sans agacer le président de la commission qui leur demande s’ils ont des « pistes » quant au profil de ces individus. Une question qui, visiblement, dérange. Le directeur de la Sécurité sociale défendra qu’il n’a « pas de réponse précise » à ce sujet, mettant en avant les conséquences de la crise du Covid-19 pour ne pas avancer de date à laquelle ses services seront en mesure de répondre à cette épineuse question.
« On a déjà exclu une hypothèse : ce ne sont pas des personnes retraitées, des centenaires », répondait juste avant Dorastella Filidori. Une réponse qui ne manque pas de piquant, dans la mesure où un rapport parlementaire de la députée LREM Nathalie Goulet et de la sénatrice UDI Carole Grandjean, rendu en septembre 2019, avait déniché pas moins de 3,1 millions de centenaires à la charge de la Sécurité sociale… alors même que l’Insee n’en recensait que 21 000 dans l’Hexagone en 2016.
« On sait que c’est une population active – donc c’est la tranche d’âge 24-60 ans qui est concernée », continue le chef de mission de lutte contre la fraude sociale à la DSS.
« Probablement, il doit s’agir, en particulier ou en majorité, de personnes qui ne sont pas résidentes en France actuellement ou qui ont quitté le territoire depuis plus ou moins longtemps. Plusieurs mois peut-être, plusieurs années. C’est ça qu’il nous faut investiguer », poursuivra finalement Franck Von Lenner.
Un problème détecté… depuis sept ans
Si la DSS se cache derrière les chiffres de la Cour des comptes (CdC), les Sages de la rue Cambon, qui certifient les comptes de la Sécurité sociale, avaient également été auditionnés en mai dernier. Notamment quant au fait que l’important surnombre – tant de personnes prises en charge par l’assurance-maladie que de cartes vitales – avait été mis en lumière par l’Inspection générale des finances et l’inspection des affaires sociales… dès septembre 2013.
Jean-Pierre Viola, conseiller maître à la CdC, avait alors avancé l’accroissement considérable des « mobilités internationales » comme possible explication des écarts constatés. La Sécurité sociale ayant été « conçue à une époque où les déplacements de populations » n’étaient pas aussi importants qu’aujourd’hui et où « les Français émigraient peu », avançait-il.
Ce rapport estimait à 6,7 millions le delta entre personnes à charge et résidant en France, et à pas moins de 8 millions le nombre de cartes Vitale en trop, soit « 13 % des cartes actives », s’étranglait la députée LR Valérie Boyer. Un nombre qui n’a cessé de fondre comme neige au soleil depuis le début des travaux de la commission d’enquête, il y a six mois. « Il n’en reste à ce jour que 152 000, d’après le chiffre de ce matin », ne manque pas de mettre en avant Franck Von Lenner, assurant que des « plans d’action » sont mis en œuvre « depuis plusieurs mois ».
Des estimations envers lesquelles les députés redoublent de prudence. En effet, lors de son audition le 11 février, Mathilde Lignot-Leloup, à la tête de la DSS, admettait l’existence d’« environ » 2,6 millions de cartes Vitale en trop en circulation. Mais 48h plus tard, un communiqué de la DSS venait contredire ces déclarations sous serment devant la représentation nationale pour affirmer que ce chiffre n’était que de 609 000 fin 2019.
Une attitude qui avait choqué les élus et pas seulement ceux siégeant à la commission.
« Je pense qu’elle n’a pas fait l’ENA mais Poudlard, l’école de Harry Potter, car je ne vois pas comment elle a pu faire disparaître aussi vite deux millions de cartes Vitale ! », avait alors raillé une semaine plus tard la sénatrice centriste Nathalie Goulet, lors de sa propre audition.
« L’ensemble des commissaires avaient été choqués de la manière dont les choses s’étaient passées, c’était assez indigne il faut bien le dire », a ainsi sermonné Patrick Hetzel, le nouveau directeur de la DSS, en tout début d’audition. De son côté, Mathilde Lignot-Leloup a quitté la direction de la Sécurité sociale pour rejoindre en juin… la Cour des comptes, où elle est devenue conseillère maître, rejoignant ainsi ceux-là mêmes qui sont en charge d’auditer les comptes de la DSS.
Là il va falloir nous expliquer : comment ce chiffre peut-il passer de 2,6 Millions à 600.000 en 48 heures alors que sous serment la directrice de la sécurité sociale nous a bien déclaré que ce chiffre était de 2,6 Millions La représentation nationale doit savoir qui dit vrai ! https://t.co/wfxgvLbDvc
— Patrick Hetzel (@patrickhetzel) February 13, 2020
Une vérité qui déplaît à gauche… et aux journalistes
Malgré la succession de ces auditions de la commission d’enquête, certains journalistes s’entêtent pourtant à ne brandir que les résultats d’un unique rapport parlementaire, celui du sénateur Jean-Marie Vanlerenberghe qui, dans une enquête présentée en juin 2019, estimait, sur la base de 2000 dossiers jugés « représentatifs », le préjudice causé par les fraudes à l’immatriculation à la Sécurité sociale par des personnes nées hors de France « entre 200 et 802 millions d’euros » depuis… 1988. En somme, que la fraude sociale n’aurait rien de comparable à la fraude fiscale, à cette « délinquance en col blanc » qu’il est, dans l’Hexagone, beaucoup plus politiquement correct de dénoncer.
En 2018, déjà, lorsque la proposition d’ouvrir une enquête parlementaire avait été évoquée, la gauche avait brandi l’argument de la « chasse aux pauvres ».
Un phénomène illustré, pas plus tard que cette semaine, par un article de LCI en réaction à un message de Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la France, posté sur les réseaux sociaux. « Arrêtons de faire des économies sur la santé des Français et luttons contre cette fraude scandaleuse ! », lâchait-il sur Facebook, mettant en avant le chiffre de 14 milliards d’euros. Ce montant annuel avait été estimé par le magistrat Charles Prats. « Une évaluation hasardeuse », un « montant fantaisiste » ont asséné les journalistes, évoquant le fameux rapport de Jean-Marie Vanlerenberghe ainsi qu’un article de Libération datant… de janvier 2019, soit un an avant le début des travaux de la commission d’enquête et de ses multiples révélations sur l’ampleur de la fraude sociale. Depuis, le magistrat, qui suit le dossier de la fraude sociale de longue date, a triplé ses estimations…
Ce type d’épisode prêterait à sourire si les prestations sociales en France ne représentaient pas, chaque année, près de 800 milliards d’euros, dans un pays où les prélèvements obligatoires sont les plus lourds du monde. De son côté, face à un déficit grandissant de la Sécu (50 milliards en 2020), le gouvernement plancherait notamment sur une nouvelle sous-revalorisation des pensions de retraite.