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Malgré la fin de la guerre froide, les États Unis n’ont eu de cesse que de poursuivre leur politique agressive et expansionniste vis-à-vis de la Russie, sous diverses formes : intégration dans l’Otan des pays de l’ancien pacte de Varsovie, indépendance du Kosovo, agitation politique dans le but de faire naitre des révolutions ’’orange’’ dans les pays satellites de la Russie, installation de bases américaines dans des états ayant fait partie autrefois de l’URSS, projet de bouclier anti missiles, etc.
L’agent américain Saakachvili, multipliant les provocations et les manœuvres, s’est lancé avec zèle dans une politique d’atlantisation de son pays, la Géorgie. Membre du Conseil de l’Europe, candidat à l’intégration dans l’Otan et dans l’UE, c’est à marche forcée que Saakachvili tente de soustraire son pays à l’influence historique de la Russie.
A la suite d’un échange de tirs entre des partisans pro russe d’Ossétie du Sud et des militaires géorgiens, le président Saakachvili a donné l’ordre à ses forces armées de lancer des opérations de grande envergure contre les rebelles sécessionnistes.
Les médias occidentaux ont rapidement présentés ces combats comme le fruit d’une intrusion militaire russe en Géorgie, passant prestement sous silence l’origine de l’intervention des troupes russes.
Se drapant dans l’alibi humanitaire, l’agent américain Kouchner se rend sur les plateaux télé afin de demander un cessez le feu et l’intervention de l’UE, qui sans muscles, en appellera forcément à une intervention de l’OTAN/ONU, accélérant ainsi la mise sous tutelle de la Géorgie, puis de l’ensemble du Caucase sous la coupe de l’Empire.
En voulant ainsi forcer la main de Moscou, l’agent américain Saakachvili, s’est lancé dans une aventure sanglante qui pourrait coûter très cher à son pays : la Russie ne laissera pas faire ce nouveau coup de force américain et mettra tout en œuvre pour stopper le développement des intérêts atlantistes dans la région.
E&R dénonce la stratégie belliqueuse et impériale des États-Unis qui au travers leur agent Saakachvili, souhaite mettre la main sur le Caucase : région stratégique de circulation du pétrole et du gaz.
E&R approuve la position russe de protection des russophones de la province Géorgienne d’Ossétie du Sud et souligne qu’une fois de plus la politique d’ingérence des États-Unis fait couler le sang.
James G. pour Egalité et Réconciliation
L’agent américain Saakachvili, multipliant les provocations et les manœuvres, s’est lancé avec zèle dans une politique d’atlantisation de son pays, la Géorgie. Membre du Conseil de l’Europe, candidat à l’intégration dans l’Otan et dans l’UE, c’est à marche forcée que Saakachvili tente de soustraire son pays à l’influence historique de la Russie.
A la suite d’un échange de tirs entre des partisans pro russe d’Ossétie du Sud et des militaires géorgiens, le président Saakachvili a donné l’ordre à ses forces armées de lancer des opérations de grande envergure contre les rebelles sécessionnistes.
Les médias occidentaux ont rapidement présentés ces combats comme le fruit d’une intrusion militaire russe en Géorgie, passant prestement sous silence l’origine de l’intervention des troupes russes.
Se drapant dans l’alibi humanitaire, l’agent américain Kouchner se rend sur les plateaux télé afin de demander un cessez le feu et l’intervention de l’UE, qui sans muscles, en appellera forcément à une intervention de l’OTAN/ONU, accélérant ainsi la mise sous tutelle de la Géorgie, puis de l’ensemble du Caucase sous la coupe de l’Empire.
En voulant ainsi forcer la main de Moscou, l’agent américain Saakachvili, s’est lancé dans une aventure sanglante qui pourrait coûter très cher à son pays : la Russie ne laissera pas faire ce nouveau coup de force américain et mettra tout en œuvre pour stopper le développement des intérêts atlantistes dans la région.
E&R dénonce la stratégie belliqueuse et impériale des États-Unis qui au travers leur agent Saakachvili, souhaite mettre la main sur le Caucase : région stratégique de circulation du pétrole et du gaz.
E&R approuve la position russe de protection des russophones de la province Géorgienne d’Ossétie du Sud et souligne qu’une fois de plus la politique d’ingérence des États-Unis fait couler le sang.
James G. pour Egalité et Réconciliation
