Egalité et Réconciliation
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Des professionnels de la psychiatrie dénoncent les risques de "l’éducation sexuelle" des enfants

Le pédopsychiatre Maurice Berger alerte l’opinion sur « l’éducation sexuelle » des enfants :

 

 


 

Nous, professionnels de la psychologie et de la psychiatrie, du psychotraumatisme et de l’enfance, dénonçons les risques de « l’éducation sexuelle » et des « droits sexuels » mettant en danger les enfants, sous couvert d’idéaux de « prévention » et d’« égalité ».

De fait, les plans gouvernementaux français sur « l’éducation à la sexualité », prenant source dans des textes internationaux portés par l’OMS, le planning familial et l’ONU, dont nous critiquons la dangerosité pour les enfants, sont en cours d’application dès la maternelle en France.

Ce site Internet a été développé pour alerter, informer, donner un lieu d’expression et d’échange aux professionnels et être facteur de ressources documentaires. Nous revendiquons, au regard des risques inhérents à de tels programmes, que soit entendu et pris en compte l’avis des professionnels spécialisés dans la psychologie, tout particulièrement de l’enfant et du psychotraumatisme.

Une pétition intitulée « Stop à la dangereuse imposture des “droits sexuels” et de “l’éducation sexuelle” » a été créée.

 


 

Pétition

Stop à la dangereuse imposture des « droits sexuels »
et de « l’éducation sexuelle »

 

Nous professionnels déclarons :

La « Déclaration des droits sexuels » de l’IPPF (Fédération Internationale des Plannings Familiaux), la publication des « Standards européens d’éducation à la sexualité » de l’OMS élaborés par divers lobbies, sont à l’origine du déploiement par nos décideurs politiques français d’une nouvelle forme « d’éducation à la sexualité » destinée aux mineurs à partir de la maternelle sur toute la France en 2017 [1], et qui a déjà commencé à être mise en place.

Nous, professionnels de l’enfance et/ou du psychotraumatisme, pédopsychiatres, psychiatres, psychologues, médecins, pédiatres, psychanalystes d’enfants, psychothérapeutes, éducateurs, travailleurs sociaux, infirmières, enseignants, réfutons formellement le postulat selon lequel les enfants doivent être éveillés physiquement ou psychiquement à la sexualité par le moyen d’une éducation quelconque.

Nous savons que la rencontre précoce de l’enfant avec la sexualité adulte ou conçue par des adultes peut être fortement traumatique et va à l’encontre du respect de son rythme affectif et cognitif, de sa croissance psychique, de sa maturation. La notion de minorité sexuelle légale située avant 15 ans correspond bien à la reconnaissance de ce danger.

L’ « éducation à la sexualité » qui figure dans ces textes internationaux est proche de la corruption de mineurs, la corruption étant constituée par le fait d’inciter l’enfant à des exhibitions, à des masturbations ou à des relations sexuelles. Or les « Standards pour l’éducation sexuelle en Europe [2] » incitent les enfants avant 4 ans à « jouer au docteur » ; à 6 ans au « plaisir et (à) la satisfaction liés au toucher de son propre corps (masturbation, autostimulation) » ; et de 9 à 12 ans informent sur « la première expérience sexuelle, le plaisir, la masturbation, l’orgasme, les différences entre l’identité sexuelle et le sexe biologique », « décider consciemment d’avoir ou non des expériences sexuelles » (p. 46). Et bien d’autres propositions encore.

Contrairement à l’affirmation du Rapport à l’Egalité du HCE [3] (Haut Conseil à l’Egalité entre les femmes et les hommes), qui déclare qu’ « il est temps de changer de paradigme et de parler d’une sexualité synonyme de plaisir et d’épanouissement personnel » (p. 7 du rapport 2016), nous considérons qu’il est temps de s’occuper sérieusement de protéger de façon effective les enfants des intrusions sexuelles des adultes et des maltraitances de tout type, et aussi de les éduquer vers la maîtrise de leurs pulsions, et non vers une libération sexuelle tous azimuts déconnectée de l’affectif. Les besoins de protection psychique des enfants ne changent pas parce que des adultes prônent pour eux-mêmes une plus grande liberté sexuelle.

Nous estimons gravissime ce changement de paradigme, car les adultes n’ont pas à « éduquer » les mineurs, quel que soit leur âge, à la « sexualité » et au « plaisir sexuel » dans leur lieu de scolarité. Cette attitude intrusive ne prend pas en compte la notion d’immaturité sexuelle de l’enfant. Car nous savons qu’il faut que l’enfant ait acquis une maturité psychique suffisante grâce à l’éducation parentale et aux interdits familiaux, pour ne pas être débordé par ses excitations sexuelles (et par sa violence), maturité qui n’est acquise que très progressivement.

Nous rappelons que les conséquences pour les enfants d’une entrée précoce dans la sexualité des adultes, qu’elle soit actée dans des abus réels (attouchements, viols) ou vécue à cause d’un climat transgressif (qui par des suggestions, des allusions, des informations données trop précocement, font baigner l’enfant dans une ambiance sexualisée), sont bien connues [4]. Les pédopsychiatres et psychologues d’enfants savent combien ceci entrave le développement psycho–affectif de l’enfant et entraîne une excitation avec des attitudes corporelles érotisées, des provocations sexuelles, mais aussi des traumatismes psychiques tels que des inhibitions, des troubles anxieux divers, des phobies. Quant aux abus sexuels, le plus souvent supposés acceptés par un enfant alors qu’il n’a pas la maturité nécessaire pour être consentant, ils sont à l’origine de nombreuses pathologies psychiatriques à l’âge adulte (dépression, anxiété, violence physique ou sexuelle subie ou agie, suicide) et de problèmes de santé majeurs durant la vie entière. De plus, nous savons qu’un grand nombre d’incestes sont commis sans violence, un membre de la famille débutant ses actes en expliquant à sa future victime que « c’est pour faire son éducation ». Et nous rappelons que protéger en faisant de l’information et de la prévention n’est pas éduquer à la sexualité, que lutter contre les violences sexistes n’est pas déconstruire (ce qui est une violence en soi) le travail d’identification sexuelle en construction chez l’enfant.

L’enfant, pour se construire et s’organiser psychiquement, a besoin que la différence des générations soit posée clairement au travers d’interdits. Or quand un adulte, qui plus est en situation d’autorité, parle à un enfant de sexualité en dehors de toute demande de sa part, l’intrusion qu’il réalise dans la vie psychique a une tonalité incestueuse : l’adulte mêle l’enfant à ses propres pensées sur le sexe et il est alors dans le registre de la séduction et non de l’information.

Notre société a le devoir de réfréner les pulsions sexuelles [5] et agressives de l’enfant par l’éducation, et non d’autoriser et de stimuler leur déploiement par un quelconque mode éducatif. Le rôle de l’État est-il de promouvoir l’excitation, d’apporter à chaque individu toujours plus de revendications à la « jouissance » sans limite ?

Et est-ce le rôle de l’État de s’immiscer dans la sphère intime des familles, des enfants et des adultes, par le traitement de questions d’ordre privé, car on peut difficilement nier que les questions de sexualité sont du domaine du privé, non seulement des adultes mais aussi des enfants ?

Enfin le rôle de l’État n’est pas de venir entraver les constructions identitaires familiales sur lesquelles l’enfant doit pouvoir s’appuyer dans le respect du processus de filiation et de transmission intergénérationnelle. Lutter contre les inégalités homme-femme et contre les discriminations dont une personne peut faire l’objet à cause de ses choix sexuels n’a rien à voir avec la théorie du genre qui affirme que notre identité sexuelle est une construction sociale qu’il faut déconstruire. Nous soulignons ici la confusion volontairement établie entre l’égalité (de droit) et l’identique.

Nous démontrons, dans le récapitulatif historique ci-joint concernant cette « éducation à la sexualité », l’existence d’une filiation entre les idéologies pédophiles de l’Institut Kinsey, la « Déclaration des droits sexuels » et les « Standards européens sur l’éducation à la sexualité ». Véritable imposture, ces textes mélangent la prévention aux risques sexuels que sont les abus sexuels sur mineurs, les MST, les risques de grossesse précoce, préventions essentielles, et une exposition des enfants à la sexualité (celle des adultes) avant qu’ils ne soient en âge de pouvoir en intégrer psychiquement quelque chose. L’éducation a pour fonction de réfréner le monde pulsionnel de l’enfant. Face à ces textes, nous pensons que l’État doit pouvoir soutenir la nécessité de contraintes, de limites, de lois morales, et empêcher que règne la loi du plus fort et du plus séducteur.

Nous déplorons l’existence de moyens délivrés pour « éduquer » les jeunes à la sexualité alors qu’il existe en France un déni majeur des violences sexuelles sur les mineurs : seulement 5% des plaintes pour viol sur mineurs aboutissent à une condamnation et peu de victimes sont protégées de leur agresseur, en particulier lorsqu’il est un membre de leur famille. La priorité nous paraît être un véritable plan de protection des mineurs vis-à-vis des violences sexuelles.

Nous considérons donc comme indispensable de réfléchir avec des professionnels psychologues cliniciens et pédopsychiatres expérimentés, aux informations qui sont à délivrer aux enfants en fonction de leur âge afin de déterminer ce qui peut être abordé en public, dans une classe ou un autre lieu éducatif, sans faire effraction dans la vie psychique des enfants et adolescents, et de modifier les projets ministériels en conséquence. Il s’agit d’un principe de précaution minimum dont on ne peut que regretter qu’il n’ait pas été respecté.

C’est pourquoi notre groupe fait cinq propositions :

1) Arrêter toute « éducation à la sexualité » en classe maternelle et primaire. On laisse les enfants tranquilles. Il existe suffisamment de brochures bien faites sur comment on fait les enfants, adaptées à leur âge, et qu’un mineur peut regarder chez lui ou dans les bibliothèques, seul ou avec ses parents, s’il le souhaite et au moment où il le souhaite. Et rien n’empêche de proposer un ouvrage (un de plus alors qu’il en existe déjà beaucoup de bien faits) pour aider les parents à parler de sexualité avec leur enfant en réponse à ses questions, ou de leur proposer des espaces de discussion pour cela.
Ceci n’empêche pas des interventions de prévention des abus sexuels sur mineurs au sein des écoles, qui doivent continuer à être développées en apportant une information adaptée à l’âge de l’enfant.

2) Arrêter totalement de parler de la théorie du genre selon laquelle les notions d’homme et de femme ne sont qu’une construction sociale qui doit être remise en question et, pour cela, déconstruite. Le risque de passer d’une discussion concernant la manière dont les rôles des hommes et des femmes sont en partie socialement déterminés à une confusion purement idéologique entre les identités sexuelles masculine et féminine est trop grand. Et on laisse ces interrogations aux adultes.

3) Pour les adolescents :
- maintenir l’obligation qu’à partir de 14 ans, les élèves assistent aux cours consacrés à l’indispensable prévention concernant les MST, la contraception et les grossesses précoces, la possibilité de prendre une contraception et d’avoir recours à l’IVG sans accord parental, la pilule du lendemain, la possibilité de dire « non » à des sollicitations sexuelles, l’interdiction des relations sexuelles avec un mineur de moins de 15 ans et entre mineurs s’il existe une grande différence d’âge, l’interdit de l’inceste, les différentes sanctions pénales, etc.
- mais limiter cette formation à des données scientifiques, limite que les adolescents demandent si on se donne la peine de les écouter. Et développer des espaces de relation privée pour ceux qui ont besoin d’informations plus personnelles dans un cadre qui ne soit pas traumatique pour eux. Dans l’ensemble, les adolescents trouvent que les infirmières scolaires répondent à ce besoin de compréhension et de relation de confiance. Il serait donc nécessaire qu’il y ait suffisamment d’infirmières dans tous les établissements scolaires publics et privés.

4) Créer au niveau national et régional des comités (ou « conseils ») de régulation (ou de vigilance), totalement indépendants des ministères concernés et des Comités d’éducation à la santé et à la citoyenneté (CESC), comités auxquels pourraient s’adresser les enseignants, élèves, parents, qui considéreraient qu’il existe des anomalies dans l’enseignement auxquels ils ou les enfants assistent, en particulier chaque fois que l’intention initiatrice et séductrice semble l’emporter sur l’information ou qu’il est estimé que les jeunes ont accès à des informations traumatiques ou inadaptées. Ce comité serait composé de deux psychologues cliniciens ayant une compétence en psychologie de l’enfant et/ou de pédopsychiatres, d’un représentant des parents, et d’un membre de l’Éducation nationale ou des services de santé. Aucune de ces personnes ne devra avoir pris de position idéologique ou prosélyte concernant les thèmes cités ci-dessus, et elles devraient obligatoirement être extérieures à l’établissement d’où émaneraient les critiques. Les CESC de chaque établissement et les délégués de parents d’élèves et de classes devaient être mis au courant de l’existence de ce comité par le chef d’établissement.
Quant au conseil national, il recenserait les situations dont les conseils régionaux seraient saisis afin de tenter d’améliorer le dispositif national, et évalueraient la pertinence du fonctionnement de sites comme « onsexprime » et des organismes partenaires.

5) Retirer les termes « droits sexuels » et « éducation sexuelle », « éducation à la sexualité » ainsi que les références directes et indirectes aux textes « Déclaration des droits sexuels » et « Standards pour l’éducation sexuelle en Europe », ainsi qu’à leur contenu, de tous les supports ministériels français.

Signer la pétition

 

 

À ne pas manquer, Marion Sigaut en conférence le 18 juin à Paris :

Notes

[1] http://www.haut-conseil-egalite.gouv.fr/IMG/pdf/hce_rapport_education_a_la_sexualite_2016_06_15_vf.pdf

[2] Standards européens d’éducation à la sexualité sur https://www.sante-sexuelle.ch/wp-content/uploads/2013/11/Standards-OMS_fr.pdf

[3] Rapport n°2016-06-13-SAN-021 publié le 13 juin 2016 sur http://www.haut-conseil-egalite.gouv.fr/IMG/pdf/hce_rapport_education_a_la_sexualite_2016_06_15_vf.pdf

[4] Les professionnels formés à la psychologie de l’enfant et du traumatisme pourront y reconnaître les théories de Racamier sur l’incestuel et les dommages psychiques décrits.

[5] Ce sont des pulsions qui appartiennent au psychisme, elles sont des pulsions de vie et elles n’ont rien à voir avec la sexualité des adultes.

Approfondir le sujet avec Kontre Kulture :

Voir aussi, sur E&R :

 






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29 Commentaires

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  • #1744084

    Pour des raisons diverses et variées je ne porte normalement pas les psychiatres dans mon cœur. Mais là, remercions ce professionnel de la chose d’avoir demandé (?) a E&R de lui donner la parole ou de laisser E&R la mettre en ligne.

    Faites tourner les mecs. Cette vidéo va sur ma chaîne YouTube et sur mon Mur Facebook.

     

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  • Enfin ! Le silence des professionnels de l’enfance à ce sujet m’avait toujours sidérée.

     

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  • #1744183

    Je certifie que tout ceci est vrai. Mon fils, en 5ème été instruit sur la sodomie, dans tous ses détails et est revenu de l’école choqué et déstabilisé. J’étais hoirs de moi et en ai fait part au collège concerné mais le mal était déjà fait.Ma fille va rentrer en 6 ème, je vais essayer de refuser les cours d’éducation sexuelle mais ne sais pas encore comment.

     

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  • Maurice Berger est un honnête homme, doux, posé et profondément humain.

    Il faut qu’il soit un des leadeurs pour ce combat noble de l’humanité.

     

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  • Le sexe c’est notre intimité la plus intime. L’Etat qui vient foutre son nez là-dedans dès notre plus jeune âge déjà par principe c’est scandaleux. L’Etat étant ce gros monstre froid où les déviants sexuels pullulent, son éducation sexuelle ne peut être que dégénérée, c’est le sexe froid de la dictature marchande...
    C’est le sexe vraiment névrotique, le sexe comme chose qu’on peut choisir comme on choisit sa nouvelle voiture(théorie du genre), le sexe froid et calculée pour le carriérisme(pas trop faire d’enfant pour les femmes), le sexe comme pseudo-jouissance mécanique, le sexe banalisé avec un marché qui veut s’étendre jusque chez les enfants pour le plus grand plaisir de tous ces hommes de pouvoir qui ne savent plus comment réchauffer cette horreur refroidie qu’il y a entre leurs jambes...

     

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  • Un petit post-scriptum pour les plus jeunes d’entre vous ou pour ceux qui auraient du mal à croire à ce que dit le Docteur Berger (mais lui même et beaucoup d’autres sont passés d’abord par cette phase d’incompréhension et de négation) :

    il y a une dizaine ou une douzaine d’années les travaux du Docteur Berger sur la violence vis à vis des femmes et des jeunes enfants étaient encore largement répercutés par les hebdos "grand public", genre Le Point, l’Express ou Marie-Claire et dans diverses enceintes plus ou moins spécialisées, notamment politiques et administratives.

    Le docteur Berger figurait dans les rangs des "vrais médecins" (pour reprendre l’expression bien connue des parents qui ont des enfants "différents"), en compagnie du docteur Didier Pleux (celui qui a écrit sur les "enfants-tyrans") et d’un troisième dont le nom m’échappe maintenant mais qui avait attiré l’attention sur la nécessité de surveiller les comportements violents des très jeunes enfants. Ce dernier médecin s’était fait "lapider" par les medias mainstream.

    Vraiment encore un grand merci à Marion Sigaut et à ER. Du point de vue politique aujourd’hui, c’est un peu "Waterloo, morne plaine" mais il y a de quoi s’occuper ailleurs.

     

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  • je vis au perou, ma fille a 4 ans .
    Son ecole voulait lui faire un cours d education sexuel avec sur la meme feuille la coupe d un penis adulte, un vagin, un spermatozoide et un ovule, et un garcon et une fille.
    Je me suis pris la tete avec la prof et la psy dans une rencontre parent prof, qu en expliquant tout les details de la reproduction ils allaient automatiquement etre obligé d expliquer l acte de penetration.
    A 4 ans ?
    Ils ne connaissent meme pas encore la biologie primaire (systeme sanguin, systeme nerveux, digestif....)

    Elle me repond : oui mais ils posent des questions.
    moi : et apres ? elle peut aussi me demander ce qu est la physique quantique ou la relance keynesienne, mais il y a un age pour chaque chose

     

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  • Bon..Il me restera le fin fond de la Kabylie pour mon fils,là d’où sont originaires mes parents.Car je vois mal,à leurs yeux, leur petit fils subir des sévices psychologiques et physiques pour pédophile de tout poil...Finalement,la bi-nationalité à parfois du bon dans ce cas présent...La Caf...Qu’ils se la mettent où je pense puisque c’est économiquement que les malheureux et les non avertis seront pris au piège.Que ces derniers le veuillent ou non d’ailleurs... !
    Pétition signée me concernant....

     

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  • comme le psy italien dont vous aviez publié la video, qui disait que Macron était un psychopathe, et sur l’analyse duquel Marine Le Pen a bâti sa stratégie du débat du second tour, avec le succès qu’on connaît ?

     

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  • Dans le collège de ma fille, les préservatifs sont en libre service. Allez-y les gosses c’est open bar.
    Dans le collège précédent, devant ma surprise d’autant de visites à l’infirmerie, je me suis fait répondre par la principale qu’elle devait avoir mal au ventre alors qu’elle se faisait procurer préservatifs et test de grossesse à mon insu.
    La principale est allée pousser le vice jusqu’à prétendre que passant elle même les commandes c’était impossible que ma fille ait obtenu un test de grossesse, alors que Madame était parfaitement au courant de la situation.

     

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