Avec l’énorme mensonge de la pandémie covidique, le système médiatico-politique a franchi un cap en France : plus rien n’est impossible, question com’, désinformation, mensonge. Les Guignols avaient surnommé Chirac Supermenteur dans les années 90 ; aujourd’hui, que dire de Macron, ou plutôt de la Macronie, car c’est toute une organisation ?

Quand on écoute les gens autour de soi, on ne trouve pas un Français sur trois qui compte voter ou revoter Macron lors du premier tour du 10 avril 2022. On en trouve à peine un sur dix, et encore, il faut aller le chercher au fond des chiottes.

Les médias mainstream annoncent, sur la base d’un Macron « chef de guerre » et « homme de paix » (il faudrait choisir), alors qu’il n’a fait que harceler Poutine au téléphone, qui l’a renvoyé dans ses cordes, une explosion de son score potentiel de premier tour.

C’est tout simplement impossible, surtout quand on écoute ses lieutenants, limite demeurés, faire honte à notre diplomatie, notre histoire, notre intelligence, notre honneur.

Le petit Attal, qui veut faire monter le coût de la guerre pour Poutine, arrive juste à faire monter le coût de la vie en France, et donc la pauvreté ! On pense aussi à cet imbécile de Le Maire, qui croit faire peur à Poutine avec ses sanctions qui se retournent contre tous les Français. Mais ça, ils n’en ont rien à foutre.
Et du côté des journalistes-Système, c’est pas mieux : on a du mal à relier les faits.

La hausse des prix des carburants (on dépasse les 2 euros le litre) – et de l’énergie en général – était programmée bien avant l’intervention russe en Ukraine. Le gouvernement, devant la grogne populaire, en plein hiver, avec ses 40 % de hausse des tarifs de l’électricité, avait reculé. C’était pour mieux sauter.

Pourquoi se gêner ? On charge la mule du consommateur au maximum – on n’a qu’à mettre le bordel sur le dos de Poutine –, alors que le patron de la Banque de France nous avait avertis, en 2020 et 2021 : il faudra rembourser... les 200 milliards d’aides ou de prêts. Et comment qu’on rembourse ?

En payant plus cher les produits de consommation courante, la TVA remontant dans les caisses de l’État, ce qui paupérise mécaniquement les Français. L’astuce, c’est de poutiniser l’inflation, et la paupérisation qui figure entre les lignes dans le programme de la Banque, qui bouffe sur notre dos, et qui a d’ailleurs commencé à bouffer notre dos. La Banque est cannibale, elle se fout que vous viviez bien ou mal, du moment qu’elle augmente ses profits, et sans travailler, voyez-vous, car l’argent travaille tout seul, quand on a la main dessus.

Nous revoilà en 36 avec les 200 familles, le mur de l’argent, du beurre pour une vraie gauche !

Le candidat de la Banque, c’est Macron. Il plane complètement, refuse de débattre avec les autres candidats, la faute à son bilan désastreux, indéfendable. Pour réussir son coup, il fait nettoyer les réseaux sociaux de tout ce qui n’est pas macroniste : jamais on n’a vu autant de comptes éradiqués, sans la moindre raison objective, à part de n’être pas dans le bon camp. La guerre russe a permis à Macron de se venger de RT et Sputnik, qui lui ont fait mal sur les Gilets jaunes. Mais tous les autres petits médias indépendants, particuliers ou collectifs, ont suivi. Le nettoyage a été fait par une LREM passée chez Twitter France, qui prend 14 000 euros par mois pour faire ce sale boulot, couper les têtes qui pensent. Ils veulent vraiment un pays de crétins.

Tout, dans la campagne, les comptes, le patrimoine, sent le faux et le fake chez Macron. Même le journal L’Opinion, 100 % européiste et néolibéral, dénonce ces irrégularités :

Pour vous convaincre du niveau du foutage de gueule, regardez bien la déclaration de patrimoine de l’employé de chez Rothschild (il y est toujours, en quelque sorte), et relisez le pacte de corruption dans Faits & Documents :

Heureusement, le journal gratuit 20 Minutes nous apprend que le palais de Marrakech, d’une valeur de 65 millions d’euros, situé dans le « domaine privé le plus fermé du Maroc », n’appartiendrait pas à notre bon président, à cause de, ou grâce à, une signature au bas d’un bail qui « semble avoir été rajoutée ».

En Macronie, ce sont les milliardaires qui gagnent au Loto

Cela nous rassure : notre bon président ne s’est pas enrichi pendant ce quinquennat pourri. En revanche, il a monstrueusement enrichi ses sponsors : en France, les grandes fortunes ont engrangé 236 milliards, tiens, quasiment ce que l’État nous réclame pour ses aides et prêts de 2020, à nous consommateurs, qui avons été empêchés de travailler pendant le covidisme. « Il faudra rembourser », rappelle comme un mantra Villeroy de Galhaud, et on a déjà commencé, avec le pétrole, le gaz, la bouffe...