Aucune présidence américaine ne saurait se passer de la traditionnelle cérémonie en l’honneur du « rétablissement de la paix entre les juifs et les Arabes » qui se tient à la Maison-Blanche, sur la pelouse sud.
D’abord, Jimmy Carter avait fait pleuvoir sa bienveillance sur Begin et Sadate ; ensuite, Bill Clinton a poussé Arafat et Rabin l’un vers l’autre ; et maintenant, Donald Trump adresse fièrement son sourire rayonnant à Bibi et à l’ABZ (Abdullah bin Zayed des Émirats arabes unis) assis devant lui.
C’est une excellente séance photo et un symbole puissant. « Le président américain sauve les juifs de la furieuse sauvagerie arabe », ou « La Pax Americana fait la paix entre les nations ». Il pourrait remporter le prix Nobel de la paix ; la chose a une certaine valeur électorale ; cela entrera dans les livres d’histoire. Venant juste après l’ouverture de la première ambassade d’un État musulman à Jérusalem (celle du Kosovo), cette cérémone a fait de Trump un important artisan de la paix et un grand bienfaiteur des juifs, car Israël n’a rien payé pour cette réalisation.
Pour la paix avec l’Égypte, Israël avait payé avec le Sinaï ; pour l’accord avec Arafat, Israël avait autorisé la création de l’Autorité nationale palestinienne (ANP) ; pour le dernier accord, rien du tout. À moins que vous ne comptiez son aimable autorisation pour que la superpuissance vende ses avions à réaction aux Émirats arabes unis, ou le report de l’annexion de la vallée du Jourdain, ce que Bibi tenait à repousser de toute façon. Une grande réussite pour Israël, sans aucun doute.
C’est un merveilleux cadeau pour le Nouvel An juif, ou Roch Hachana, qui a commencé ce vendredi 18 septembre 2020, mais il y a peu d’allégresse dans l’air en Israël. La cérémonie, diffusée en intégralité à la télévision israélienne, n’a pas apporté beaucoup de joie ou de réconfort aux Israéliens. Exactement à la veille de Roch Hachana, le vendredi, l’État juif est revenu à l’incarcération totale du confinement. Les écoles resteront fermées ; les gens ne pourront pas s’aventurer à plus de 500 mètres de chez eux. Les restaurants et les magasins seront fermés. La Méditerranée sera déclarée hors d’atteinte, malgré le temps clément et l’eau tiède.
Israël sera la première nation à entrer dans son deuxième confinement pour cause de coronavirus, tout comme Israël a été la première du monde occidental à entrer dans le premier bouclage. Une autre première mondiale, et il est certain que d’autres nations la suivront dans le désastre, comme elles l’ont fait la première fois. Les professionnels, les chefs des principaux hôpitaux, les experts en infectiologie de premier plan, se sont opposés à cette mesure ; ils ont déclaré qu’il n’était pas nécessaire d’adopter une mesure d’une telle portée. Le chef du Centre médical de Rabin a déclaré : « Un enfermement complet n’est pas nécessaire ». Cette année, moins de gens sont morts en Israël que l’année dernière à la même période, mais le Premier ministre a décidé de boucler le pays de toute façon, pour répandre l’obscurité parmi les nations.
En attendant, l’incarcération va durer trois semaines, aussi longtemps que les grandes fêtes, la séquence des fêtes d’automne commençant avec le Nouvel An et se poursuivant avec le Jour des Expiations et se terminant avec le Simchat Torah. Cette année, les juifs ne feront pas la fête ; les familles juives ne se réuniront pas autour de tables de fête en trempant des pommes dans du miel pour s’assurer une bonne et douce année. Ils ne se réuniront pas du tout, car leurs responsables Covid leur interdisent de se réunir, ou même de sortir sauf pour une expédition précipitée vers le magasin le plus proche, et même de quitter leur domicile.
Les juifs d’Israël pratiquants sont fermement opposés à tout reconfinement, et plus encore lors des fêtes juives, en particulier lors des fêtes les plus importantes de l’année juive. Ils ont vaillamment combattu la police pendant le premier épisode. Lorsque le gouvernement a décidé d’instaurer la seconde mesure d’enfermement général, le ministre juif orthodoxe Yaakov Litzman a démissionné du gouvernement. Le nouveau ministre de la Sécurité publique, ancien agent du ShinBet (FBI israélien), et premier membre ouvertement gay du cabinet, Amir Ohana, a promis de faire plier ces refuseniks.
Cette année, les juifs de Terre Sainte ne souffleront donc pas dans les Shofar et ils n’entendront pas la prière de Kol Nidrey les libérant de tous péchés passés et à venir. Même à l’époque de l’Inquisition, les juifs étaient autorisés à observer leurs commandements. Ce n’est plus le cas aujourd’hui. Les synagogues seront fermées à clé, avec un maximum de 10 croyants à l’intérieur. Cela signifie que la grande majorité des juifs israéliens ne pourront pas se rendre à la synagogue pour le Yom Kippour, pour la première fois dans l’histoire connue.
Le tsar du Corona en Israël, Ronnie Gamzu, ne se contente pas de verrouiller les synagogues israéliennes. Plusieurs milliers de juifs d’Israël, des États-Unis et d’ailleurs célèbrent le Nouvel An dans la ville ukrainienne d’Ouman, où est enterré un mystique charismatique, un saint « Tsadik Hassidique », le rabbin Na’hman d’Ouman. Il enseignait qu’en célébrant Roch Hachana avec lui, on accomplit tous les commandements à la fois. Ronnie Gamzu a appelé le président juif de l’Ukraine, M. Zelensky, et lui a demandé d’interdire le pèlerinage juif à Ouman. Zelensky a immédiatement accédé à sa demande et des milliers de juifs se sont soudainement retrouvés du mauvais côté de la frontière ukrainienne, les gardes ukrainiens leur ayant bloqué le passage.
Les juifs bloqués dans les marais du côté biélorusse de la frontière ont fait un scandale et ont appelé Nétanyahou. Il a dit qu’il n’avait jamais dit à personne de les arrêter ; c’était entièrement l’initiative de Gamzu, qui avait agi en dehors de son mandat. Cette histoire pathétique illustre l’attitude du responsable israélien du Corona face à la foi – ils sont prêts à aller loin, très loin même, pour empêcher les gens de se réunir et de prier le Dieu Tout-Puissant. « Si vous vous trouvez encerclé par la police », disait un père juif à son fils dans la Pologne occupée par les nazis, « allez voir le policier allemand et suppliez-le, il vous laissera sortir. S’il n’y a pas d’Allemand, allez voir un Polonais ou un Ukrainien ; en toute dernière instance, tentez votre chance auprès du policier juif car ils sont très consciencieux » ; ainsi parlait le folklore juif.
Il semble que la force obscure (appelons-la « le Facteur X ») qui est derrière les fonctionnaires, derrière les pandémies et les fermetures de Covid, ne soit rien de moins qu’une haine de Dieu et de la religion organisée, qu’elle soit chrétienne (ils ont interdit la communion dans de nombreux pays), musulmane (ils ont interdit le Hajj), et dans une mouture très inhabituelle, même le judaïsme. En général, les juifs sont exemptés des préjugés antireligieux, car même l’athée le plus strict est juif de naissance et cela valide sa haine du Christ et d’Allah. Pas dans ce cas ; notre Facteur X est un haïsseur, dévoué à l’égalité des chances. C’est un super-Grincheux : le Grinch avait volé Noël, mais le Facteur X a volé Noël, Eid el Fitr et Yom Kippour d’un seul coup.
C’est particulièrement dur pour les vieillards qui sont ainsi condamnés à mourir seuls. Haim Ramon, ancien ministre de la Santé d’Israël, a proposé d’enfermer toutes les personnes de plus de 65 ans jusqu’à l’été prochain. « Ils pourront voir leurs petits-enfants de loin, en plein air, une fois par semaine », a-t-il proposé. Passons sur la cruauté de sa proposition pour les personnes âgées, mais son objectif correspond bien à la haine de la foi du Facteur X. Les personnes âgées sont les transmetteurs vivants de la tradition aux jeunes générations. Dépouillée de nos aînés, de concert avec la fermeture délibérée de tous les lieux de culte, notre tradition religieuse risque de s’éteindre, et nos enfants grandiront dans un monde sans Dieu, sans la grâce, sans la pitié.
En Angleterre, le gouvernement a déjà promis un Noël sinistre ; il est interdit aux gens de se « mélanger » dans les rues et dans les parcs ; les citoyens sont encouragés à dénoncer leurs voisins qui enfreignent la fameuse « règle des six » – c’est-à-dire que plus de six personnes ne peuvent être ensemble ni à l’intérieur ni à l’extérieur. Ainsi, deux couples avec deux enfants s’arrêtant chacun pour bavarder dans un parc seront arrêtés pour infraction à la loi, a joyeusement annoncé Priti Patel, le ministre de l’Intérieur des fiers Britanniques. Les pratiquants devront observer une « distanciation sociale » et les services devraient se terminer le plus rapidement possible, les fidèles étant encouragés à partir « rapidement » après. Pas étonnant que l’archevêque de Canterbury, le « pape » de l’Église anglicane, ait été horrifié et ait demandé au gouvernement de reconsidérer sa position.
Toute cette terreur a été déclenchée malgré le succès évident de la méthode suédoise, car la Suède a évité le confinement et maintenant elle n’a pas de « deuxième vague » (quoi que cela signifie), et elle a eu moins de malades et de morts que n’importe lequel de ses voisins nordiques.
Il semble bien que les organisateurs de « pandémies » veuillent sérieusement nous faire souffrir. Qui sont-ils, outre qu’il s’agit de sadiques et de satanistes ? Pourquoi devrions-nous continuer à traiter les créateurs du virus et les promoteurs des mesures punitives comme deux entités distinctes ? Nos experts en matière de confinement sont-ils des opportunistes chanceux qui sont tombés par hasard sur le grand œuvre de leur vie, ou ont-ils également créé les circonstances de leur succès ? Ne devrions-nous pas faire intervenir l’exemple du Rasoir d’Occam et les considérer comme une seule et même entité ? Ne devrions-nous pas considérer que le virus pourrait avoir été créé et semé par les entités mêmes qui profitent des résultats ?
On pourrait nous rappeler ici le 11 Septembre, lorsque les personnes à l’origine de l’attaque étaient probablement celles qui ont profité des fruits de la guerre contre le terrorisme, notamment le déplacement de 40 millions de personnes au Moyen-Orient, la crise des réfugiés en Europe, la destruction de l’Irak et de l’Afghanistan, le commerce mondial des stupéfiants, le Patriot Act américain, la surveillance massive, la montée d’Israël et la chute des Arabes. L’introduction des boucs émissaires, à savoir la bande de troglodytes d’Oussama ben Laden, n’a aucun sens avec le recul. De même, l’histoire des Chinois mangeurs de chauves-souris semble superflue dans le cadre de la progression du régime covidique mondial. Il est logique de faire le lien entre les auteurs de l’attaque du virus et les responsables du confinement, et de les considérer comme une seule entité, notre Facteur X.
Nous observons que le Facteur X veut nous séparer et nous isoler, parce que la religion, les fêtes et les rassemblements familiaux unissent les gens. « Aucun homme n’est une île », déclarait John Donne, un homme d’église lui-même, mais le Facteur X veut que nous soyons chacun sur des îles séparées dans un vaste océan. Il est plausible qu’il veuille que les humains s’éteignent, en tant que race, qu’ils cessent de se reproduire, qu’ils se suicident, qu’ils n’aient aucun espoir, aucun Dieu, aucun voisin à aimer.
Le Facteur X, c’est qui ?
Qu’est-ce que ce Facteur X rabat-joie ? Serait-ce la Chine, qui a libéré un virus et qui a ensuite été la pionnière du verrouillage comme modèle brillant pour y faire face, afin de miner l’économie occidentale ? Il est peu probable que la Chine puisse influencer les esprits occidentaux à ce point. Elle peut fabriquer des iPhones, mais son impact sur le discours occidental est quasiment nul.
Dans son article tout récent, notre cher Ron Unz a établi un lien entre le Facteur X et la guerre froide entre les États-Unis et la Chine. Il a prudemment démantelé le dossier contre la Chine. Alors que les autorités sanitaires nationales chinoises n’ont appris l’existence de l’épidémie croissante de la maladie de Wuhan qu’à la toute fin du mois de décembre, fin novembre, une unité de l’Agence de renseignement de la défense américaine (DIA) avait déjà diffusé un rapport secret décrivant une épidémie « cataclysmique » à Wuhan. Cela signifie que les Chinois ne pourraient pas être les coupables, alors que la connaissance précoce de la DIA implique une conclusion très sinistre. Selon les mots de Ron Unz, « à moins que nos services de renseignement n’aient été les premiers à utiliser la technologie de la précognition, je pense que si cela a pu se produire, c’est pour la même raison que les pyromanes sont ceux qui ont la connaissance la plus précoce des incendies futurs. »
Les agences de renseignement peuvent être assez maléfiques pour avoir libéré le virus mortel sur le monde. Ils auraient pu être assez bêtes pour ignorer la possibilité et la probabilité que le virus frappe leur propre peuple. Ils peuvent être assez abrutis pour ne pas avoir tenu compte de cette probabilité. Ils pouvaient faciliter l’arrivée d’un homme d’affaires iranien malade (dont le nom est connu des services iraniens) de Wuhan à Téhéran. Mais il est difficile d’imaginer qu’ils puissent imposer les confinements, faire pression sur le FMI et l’OMS pour qu’ils soutiennent ce plan, organiser des faux rapports, massivement et aussi combattre la religion et Dieu. Je respecte (si c’est le terme qui convient) les espions pour ce qu’ils sont, mais je considère qu’ils seraient dépassés dans une entreprise d’une telle ampleur. Ils pourraient en faire une partie (empoisonner les puits, utiliser leurs applications d’espionnage), mais le tout est quand même trop gros pour eux.
Notre ami Gregory Sinaisky dans un long article se demande qui pourrait fabriquer les pandémies et pourquoi. Il se tourne vers les campagnes médiatiques, élément clé du méga-événement, et demande : « Y a-t-il quelqu’un qui soit capable d’organiser une campagne médiatique mondiale soutenue par les gouvernements et les organisations internationales ? », et il répond : « Oui, nous pouvons être sûrs que de tels acteurs existent car nous avons un exemple récent d’une telle campagne médiatique qui a de toute évidence été créée artificiellement. D’ailleurs, cette campagne visait également à convaincre la population que nous sommes en danger immédiat et qu’il faudra prendre des mesures drastiques pour nous sauver. Je veux parler, bien sûr, de la campagne de Greta Thunberg. »
C’est une observation judicieuse. La campagne pour Greta Thunberg annonçait en effet l’opération Covid, bien qu’à une échelle beaucoup plus réduite.
Sinaisky attribue la responsabilité des fausses pandémies aux « ploutocrates américains [qui] contrôlent commodément la plupart des médias du monde et disposent d’un vaste réseau de fondations "caritatives" et d’ONG affiliées dans le monde entier. Ce réseau est utilisé depuis des générations comme un outil pour influencer les médias, les institutions éducatives, les gouvernements et les organisations internationales, pour l’ingénierie sociale et le contrôle idéologique... Nous appellerons simplement toutes les fondations, ainsi que les groupes de réflexion et les ONG, le Réseau d’influence ploutocratique. »
Les ploutocrates américains (c’est-à-dire les über-riches américains) contrôlent-ils tout cela ? Je pense qu’ils seraient bien étonnés de l’apprendre, surtout avec la précision « depuis des générations », si nous gardons à l’esprit le fait que les États-Unis n’étaient pas un facteur très important avant la Première Guerre mondiale. À mon avis, les riches ne sont pas si intelligents que ça. Mais le réseau existe bel et bien ; j’appelle ses obscurs contrôleurs les « Maîtres du discours ».
Sinaisky affirme qu’ils ont provoqué les pandémies en raison du problème de la dette élevée, ou de leur incapacité à poursuivre le pillage colonial. Par ailleurs, un commentateur notable de son texte suggère que cela a été mis en route à cause de la surproduction de capital. En d’autres termes, le taux des prêts bancaires est si proche de zéro, voire négatif, que toute la machinerie du capitalisme a été submergée par un flot de capitaux tel qu’il fallait une guerre majeure, voire une pandémie mondiale, pour l’éponger.
Enfin, Sinaisky affirme que « l’atomisation de la société, la rupture de la solidarité communautaire, l’érosion de tous les liens non monétaires entre les gens, la destruction des relations familiales et l’affaiblissement des liens de sang, c’est un projet ploutocratique de longue date. Aujourd’hui, en utilisant cette fausse pandémie, les ploutocrates sont allés encore plus loin, ils nous entraînent à nous voir non pas comme des amis, non pas comme des frères, non pas même comme une source de profit, mais surtout comme une source d’infection mortelle ». Je me demande ce qui lui fait penser que tout cela constitue un objet du désir ploutocratique ? Certes, les riches veulent faire de l’argent et avoir plus de pouvoir, d’accord. Mais est-il nécessaire pour eux d’atomiser la société ? Avec qui vont-ils socialiser, eux et leurs enfants, dans un monde en ruines ?
Je ne suis pas sûr qu’il existe une agence humaine avec de tels objectifs. Un facteur non humain serait un coupable bien plus approprié. Autrefois, un tel coupable s’appelait Satan, et il existait de puissantes organisations, alias les Églises, qui combattaient Satan. Dans un film charmant, Le Cinquième Élément de Luc Besson, « L’Amour » vainc « l’Ombre », le mal personnifié qui était sur le point d’anéantir la Terre. Appelez le Satan, appelez l’Ombre, cette chose a sûrement des collaborateurs humains dans les médias grand public. J’ai écrit à ce sujet dans un article intitulé L’ombre de Zog. En effet, il faudrait démêler tout cela, dans les médias, pour y faire face.
La Suède, ce pays chanceux qui a échappé au confinement et à ses conséquences, a été sauvée par un rare faux-pas médiatique (cette histoire n’a jamais été publiée bien qu’elle soit connue de nombreux Suédois). La propagande sur le Corona a été menée par le même journal libéral appartenant à Bonnier, le DN (Dagens Nyheter), qui avait joué la carte Greta Thunberg. (Les intuitions de Sinaisky l’ont bien servi : en effet, le Covid c’est une nouvelle opération Greta multipliée par un facteur 50). La campagne de Greta visait par-dessus tout à mettre en accusation le trafic aérien, c’était son cheval de bataille, le flygskam. L’idée était que les gens arrêtent de prendre l’avion pour réduire les émissions de carbone. Maintenant, nous n’avons plus de vols du tout, ce pourquoi ce mouvement a disparu après avoir atteint ses objectifs.
En février 2020, le journal DN avait organisé un voyage culturel d’une semaine en train-couchettes dans le nord de l’Italie pour l’élite libérale qui suivait Greta. Une couchette dans ce train coûtait au bas mot dix mille euros. Le groupe avait grimpé dans les Alpes italiennes, puis était redescendu pour le Carnaval de Venise avant de rentrer chez lui, plein à craquer d’expériences intéressantes et d’infections par le coronavirus. Quelques jours après le retour du train à Stockholm, la maladie s’est mise à faire des ravages. De nombreux journalistes libéraux qui voyageaient à bord du Corona Express (comme on appelle le train maintenant) sont tombés malades, et leurs proches avec. Cet incident a causé la mort de nombreux juifs âgés, parents ou oncles de ces journalistes libéraux. C’est devenu un phénomène médiatique, et les médias juifs ont rapporté que le taux de mortalité des juifs suédois était 14 fois plus élevé que leur part dans la population (enfin, ce n’était pas aussi grave qu’il n’y paraît ; seuls neuf juifs très âgés sont morts, tous âgés de plus de 80 ans).
Comme les autorités savaient tout sur le Corona Express, le lobby libéral avait trop honte pour appeler à une quarantaine contre la maladie qu’ils avaient importée en Suède. De plus, le DN était leur seul média libéral important, puisque Bonnier avait vendu sa chaîne de télévision à une société d’État en décembre 2019, faisant beaucoup d’argent mais perdant sa capacité à influencer les gens. En raison de cette étrange combinaison de forces, la Suède a laissé sa politique de santé entre les mains des professionnels locaux, et elle est restée libre, tandis que les pays voisins ont transféré la responsabilité à des politiciens mondialistes et ont adopté la quarantaine.
Ainsi, les médias libéraux tendance Blairiste (à commencer par le NY Times et le Guardian) ont joué un rôle clé dans la crise du Corona. Ils ont été le joueur de pipeau de Hamelin ; mais qui commandait le joueur de flûte ? À mon avis, c’était une agence non humaine.
Je ne vois pas d’objection à la qualifier « d’infernale », mais beaucoup de gens préféreraient mourir plutôt que d’admettre une telle possibilité ; laissons-les libres de s’en remettre à l’explication par une civilisation plus avancée qui aurait décidé de réduire la présence humaine sur notre planète. Choisissez la théorie que vous préférez : extraterrestres, Intelligence artificielle, Réalité virtuelle, simulation informatique.
En fait, il y a une preuve scientifique... qui prouve que ce n’est pas le cas, mais que tout cela relève d’un Dessein intelligent. Un vieux scientifique russe (il a 90 ans), Simon Shnoll, a pendant cinquante ans enregistré et analysé le signal de fond du monde en tant que bruit blanc [une variété aigüe de souffle]. (L’URSS était probablement le seul endroit au monde où une telle enquête pouvait être menée. Qui d’autre paierait pour des recherches aussi inutiles pendant un demi-siècle ?) Dans un monde « réel » infini, le bruit blanc serait parfaitement aléatoire ; dans un monde « conçu », le caractère aléatoire du signal commencerait à mettre en évidence un schéma, car aucun générateur aléatoire ne pourrait produire une séquence infinie de signaux aléatoires. Il a publié ses conclusions dans ce rapport [1]. La lecture n’est pas facile, mais M. Shnoll a découvert que le bruit blanc universel n’est pas vraiment aléatoire ; il existe des corrélations particulières qui ne peuvent s’expliquer si notre monde est tel qu’on nous l’enseigne. Ce n’est pas concluant, mais ses disciples affirment que c’est la preuve que nous vivons dans un monde conçu par ordinateur.
Un monde virtuel, cela semble probablement encore plus désespérant qu’un monde angélique. Cependant, en tant qu’éternel optimiste, je crois en la capacité de l’homme à feinter n’importe quel adversaire, qu’il s’agisse de Satan, de l’Intelligence artificielle ou de l’une des civilisations les plus avancées. Le mois dernier, j’ai voyagé en Russie, et j’ai découvert un pays où la grande majorité se moque des impératifs du Covid. Ils portent leur masque dans leurs poches pour le mettre quand ils entrent quelque part, et l’enlèvent aussitôt après. L’art du sabotage est notre meilleure réponse face à notre cruel maître, le Facteur X.