Difficile de ne pas se positionner en "’j’aime" ou "j’aime pas" (les fameux 2 pouces bleus du net qui réduisent les mateurs de la Toile en une plèbe romaine, anonyme, mais prompt à lever le pouce et le baisser. Comme quoi, la "vie-en-ligne" depend toujours du même manichéisme pavlovien.

Ruquier je l’ai également croisé à l’époque où je travaillotais ici et là pour les merdias de l’époque. L’homme apparait comme sympa mais hors antenne il ne l’est plus qu’avec ses très proches... idem Drucker, l’indéboulonnable animateur de ce qui reste des dimanche de France.

Qui matera T18 ? Les derniers retraités habitués à occuper leur "temps libre" (plutôt "perdu" comme disait le regretté Coluche), je suppose. Ruquier et le culturel c’est comme Dati à la Cul-ture, une incongruité censée donner l’illusion qu’il existe encore une Culture à la Malraux (?). On a eu un Lang qui a transformé la Culture en un divertissement façon kermesse permanente. Ruquier vendra la sous-culture française, ses petits camarades et ses vannes d’ado boutonneux. Rien ne change, tout se transforme... jusqu’à dilution totale dans le grand bain des jeux mondialisés. La zombification est en bonne marche.