Au début de l’entretien : "Une personne de valeur peut toujours changer d’entreprise si elle s’estime mal payée"...Des professionnels de valeur qui pointent à Pôle Emploi, il y en a des wagons.

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Bravo Ménard !
Du Mesnil est ultra-libéraliste : "L’Etat ne doit pas s’occuper de la gestion des entreprises, ils ont ont pas de leçon à donner sur ça !". Bien sur que oui, l’Etat doit fixer des règles ; les grandes multinationales n’ont pas à faire la loi sur les salariés. Sinon c’est l’URSS à l’envers !
Du Mesnil reconnait quand même qu’on est dans un système "capitalistique" et que les petites et moyennes entreprises (artisants, PME...) ont dû mal à vivre.
Ce n’est pas pour autant qu’on doit accepter que les entreprises du CAC 40 donnent des primes monstreuses à leurs actionnaires et rien aux smicard. De plus, Du Mesnil se montre en victime en rappelant les bas salaires des patrons des PME, mais il n’en est pas un.

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Message aux PME et TPE : convertissez votre trésorerie en or et ne vous occupez pas des Don Quichottes qui voudraient vous faire passer pour des vilains patrons du CAC 40.
Robert Ménard vous semblez être bien motivé dans vos nouveaux habits mais la plupart des PME n’ont rien à voir avec les 15 % des entreprises qui distribuent des dividendes. Ce débat hétérogène fut hélas contre-productif à part peut être pour votre Médiamat. Avec tout mon respect. Cordialement.

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Tout ça et pur et simplement une comédie, il ni y aura rien du tout, ni augmentation, ni prime de quoi que ce soit, ce n’ai que de la communication.

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