Une fois n’est pas coutume, nous relayons un article de Riposte laïque, qui nous a pourtant bien vilipendés par le passé.
Or, là, tout le monde, et pas seulement la réinfosphère, est concerné, car il s’agit d’attaque sur la liberté d’expression. Même Le Monde devrait s’offusquer. Mais faut pas rêver : la déontologie, c’est tout juste bon pour les chiens de la résistance et de la réinformation !
Pourquoi Riposte Laïque doit se mettre en sommeil quelque temps…
Nous savons que chaque matin des dizaines de milliers de lecteurs attendent avec impatience la sortie de notre lettre, qui amène une autre lecture de l’actualité que celle des médias propagandistes sur des sujets comme l’islam, l’invasion migratoire, l’imposture climatique, la dictature sanitaire, la guerre Russie-Ukraine, le conflit Hamas-Israël, le régime de Macron, l’Union européenne, les trahisons de la gauche immigrationniste et de la droite collabo, les agressions ethniques quotidiennes commises contre les Français par des envahisseurs, etc.
La plupart de nos contributeurs choisissent d’écrire à visage découvert, sous leur vrai nom, et certains, pour des raisons de sécurité physique ou professionnelle, choisissent un pseudonyme. Bien sûr, jamais un seul article de notre site n’a eu comme conséquence le passage à l’acte d’un de nos lecteurs.
Mais c’est parce que Riposte Laïque est devenu un outil de la réinformation de plus en plus lu que le régime de Macron a décidé d’utiliser les grands moyens pour le faire taire définitivement. Nos lecteurs connaissent l’acharnement judiciaire utilisé contre nous depuis plus de dix ans pour nous ruiner : des dizaines et des dizaines de plaintes, suivies d’interrogatoires policiers et judiciaires et de procès, que nous gagnons la plupart du temps mais qui affaiblissent notre trésorerie. Sans le talent de notre avocat, Maître Pichon, sans le soutien de nos lecteurs, par les dons et les achats de nos livres, nous n’aurions jamais pu faire face à cette offensive.
Mais depuis quelques jours, une nouvelle étape a été franchie par le régime. Profitant du procès de Charles Demassieux, un des piliers de Riposte Laïque, qui s’est comporté en héros pour sauver la vie d’une vieille dame de 83 ans agressée par un délinquant multirécidiviste alcoolique et toxicomane, les juges, sous les ordres du pouvoir, se sont lancés dans une énorme offensive contre notre site coupable d’avoir défendu notre contributeur.
Charles a en effet été lourdement condamné par le juge Michael Humbert : 18 mois de prison, dont 3 mois ferme, 3 500 euros de dommages et intérêts à verser à l’agresseur, cinq années d’inéligibilité, trois années d’interdiction de détention d’armes, quand le délinquant était condamné à 68 euros d’amende et à quelques heures de travaux d’intérêt général. Charles a témoigné sur ce scandaleux procès, sur l’attitude d’un juge qui s’est davantage comporté comme un militant du Syndicat de la magistrature que comme un magistrat rendant la justice au nom du peuple français.
Ce témoignage de Charles Demassieux a fortement indigné des lecteurs de Riposte Laïque, et bien plus largement des milliers de Français. Certains ont cru bon de réagir en insultant grossièrement le juge, voire en le menaçant de mort, comme l’a fait le site Réseau Libre. Une aubaine pour le régime, qui a infligé, dans la foulée, une nouvelle garde à vue de 36 heures à Charles Demassieux, et une perquisition contre Pierre Cassen qui s’est vu confisquer ses ordinateurs et son téléphone portable.
Notre fondateur paraît la victime d’un coup tordu digne des pires barbouzes. La chaîne sur laquelle il enregistrait ses vidéos quotidiennes a été bloquée et a été redirigée, au grand dam de Pierre, sur le site Réseau Libre, celui qui a proféré les menaces de mort contre le juge. Et donc, sautant sur l’occasion, le pouvoir, par le juge Grégory Weill, a diligenté cette perquisition contre lui, pendant que Charles était encore en garde à vue. Les policiers lui ont même demandé s’il était Léon, le signataire des textes les plus virulents de Réseau Libre !
L’appareil d’État, ses policiers et ses juges, qu’on suspecte de surveiller les animateurs de notre site depuis longtemps, espèrent donc trouver en fouillant dans les archives de Riposte Laïque des preuves que nous les suspectons d’être capables de fabriquer, impliquant les animateurs les plus actifs de notre site. Ce qui se profile, c’est une possible inculpation de nos dirigeants, voire des persécutions judiciaires dont nul ne sait jusqu’où elles peuvent aller. La dissolution de nos associations, la fermeture de nos sites ne peuvent être exclues, surtout quand on sait que les banques de Riposte Laïque et de Résistance républicaine ont fait savoir qu’elles nous viraient, et que le compte Twitter de RL a été fermé. Nous savons que nos communications, écrites ou orales, sont surveillées par la police politique de Macron-Darmanin-Dupond-Moretti.
Nous nous devons, dans une situation grave où la survie de notre site mais aussi la liberté de nos animateurs est en jeu, de prendre le temps de la réflexion. Or, publier un journal tous les jours avec la pression que cela représente, le temps que cela implique, n’est pas compatible avec ce recul nécessaire que la situation demande.
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