La Russie c’est seulement 145 millions d’habitants ! Sa vulnérabilité c’est sa démographie, même si elle le voulait elle ne serait pas en mesure d’envahir physiquement l’Europe. Par ailleurs envahir l’Europe pour quoi faire ? Il n’y a rien en Europe ! Ce petit bout de terre est sur le plan des ressources nécessaires au développement d’une société industrialisée exsangue ! Ce qu’il y a de fascinant chez les Européens, c’est que peu importe qu’ils soit de gauche, de droite, d’extrême-gauche ou d’extrême-droite...ils sont tous convaincus que l’Europe serait un pays de Cocagne que tout le monde envierait, et souhaiterait s’y installer voire envahir ! Or si il est vrai que l’Europe est riche en talents, compétences, savoir-faire...elle est en revanche très pauvre en matières premières ! De plus désormais largement désindustrialisée l’Europe n’offre plus non plus de perspectives d’emplois intéressantes pouvant attirer les travailleurs étrangers. Les flux migratoires actuels sont largement artificiellement créés par les réseaux Soros, mais ne sont pas naturels, et c’est pour cette raison par ailleurs que le profil de beaucoup de ces "néo-migrants" est inquiétant ! Souvent de jeunes branleurs, parfois avec un profil psychologique clairement perturbé, qui viennent en Europe en pensant qu’ils pourront baiser de la Blanche, toucher les aides aux migrants... ! Dans ces flux migratoires il y a peu de mecs sérieux, matures, qui viennent en Europe avec en tête le projet sérieux de bosser dur, d’économiser de l’argent...pour leur famille.
Par contre, la Russie pourrait être tenter d’apporter une aide logistique discrète à des mouvements dissidents d’Europe de l’Ouest...mais à mon avis il ne faut pas non plus compter sur cela ! La Russie s’efforce d’être dans le strict respect du droit, et ne veut pas s’immiscer dans les affaires intérieurs des pays. Sa stratégie restera donc celle actuelle : instrumentaliser la stupidité et l’hubris des dirigeants occidentaux actuels jusqu’à l’épuisement matériel et financier de l’Occident qui s’effondrera de lui même sous le poids de son pourrissement et de ses contradictions.
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